Camille est une jeune fille de 13 ans qui vit à Londres à la fin du 19éme siècle. L'adolescente semble calme et solitaire, n'ayant que pour compagnie sa nourrice. Son père, lui, est souvent absent, il rentre tard et prend des décisions que Camille ne comprend pas. Comme l'envoyer dans un pensionnat, chose qu'elle ne veut absolument pas ! Avant de s'endormir un soir, elle fait le voeu de dormir éternellement pour ne pas avoir à obéir à son père et aller, comme il le souhaite, dans un pensionnat.
Son voeu va être plus ou moins exaucé, car elle va se retrouver dans un monde différent. Un monde où les rêves et les cauchemars s'affrontent, mais surtout un monde où les humains ne sont pas acceptés. Seuls trois humains ont l'autorisation d'y rester, à vous de découvrir pourquoi et sous quelles conditions…
Nous rencontrons d'autres personnages divers et variés sur cette « planète ». Camille va être aidé par certains et pourchassé par d'autres. Elle va sans arrêt devoir courir pour échapper à ses poursuivants et tenter de ne pas se retrouver, comble de malchance, dans un pensionnat !
D'emblée, j'ai adoré les dessins de Londres, l'atmosphère qui en ressortait. J'ai également apprécié les dessins et couleurs dans le monde d'Evernight. C'est très agréable à lire, à regarder en détails.
L'histoire m'a plu, j'ai vite accroché. Cette bande-dessinée est un peu une présentation du monde d'Evernight, de ses occupants.
J'étais tellement dans l'histoire que la fin du livre m'a paru arriver trop vite. Je regrette donc que l'intrigue mise en place ne soit pas plus importante ou plus détaillée dans ce premier tome, et qu'il faille attendre la suite pour en savoir plus. Il est également dommage que Camille, malgré son jeune âge, ne pose pas davantage de questions, et subisse en quelques sortes ce qui lui arrive à Evernight.
Je pense me procurer la suite dès sa sortie, car c'est un univers que j'ai beaucoup apprécié :)
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Un travail graphique très beau, très détaillé, très inventif, mais trop lourd, trop présent, la lecture est difficile et l'aspect laborieux prend le dessus et nuit à la fluidité, la lisibilité du récit, je me suis extasié sur quelques détails de décors, de costumes, sans jamais être emporté par l'aventure. Les couleurs sont sombres et artificielles, les dessins sont envahis de détails, mais le récit aussi, les mystères s'accumulent, des bulles de dialogues éparpillées dans la pages avec des dialogues qui chaque ligne apportent une nouvelle question sans jamais apporter de réponse, les manigances semblent se multiplier à l'infini et le fil se perd très vite, l'intérêt aussi. La lecture en devient décousue, sans vie, et même pénible, j'abandonne.
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Une jeune fille, orpheline de mère, est désepérée parce que son père a décidé qu'elle irait en pension. Elle se réveille dans un autre monde : Evernight pays des reves et des cauchemars ou les humains ne sont pas admis. Notre jeune ados va donc vivre une aventure extraordinaire.
De beaux graphismes et une visite dans le fantastique ...
Comme toujours le premier tome pose surtout les bases.. j'attends de voir ce que nous réserve le tome 2 pour un avis plus tranché.
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En l’état, si le premier volume d’Evernight peut toujours se cacher derrière les oripeaux du traditionnel tome d’exposition, l’intérêt global décroît dès les premières pages du second, quand le tout reste quoi qu’il en soit bien léger. Reconnaissons tout de même qu’un changement de support - dans le cas présent, de la BD au roman - n’est jamais aisé à négocier, ce que cette parution Castelmore tend à confirmer, une fois encore.
Lire la critique sur le site : Elbakin.net
"J'aime ces instants qui ne comptent pas. Je les vole au temps et j'imagine d'autres mondes derrière les nuages."
Cherche, cherche dans tes rêves
Le chemin qui mène à celle
Qui brille quand le jour se lève
Et qui fait le temps immortel.
-Viens ne restons pas ici
-Mais pourquoi m'aidez - vous ?
-Entre fuyard, il faut se serrer le coudes. Et mon petit doigts me dit que tu pourrais m'être utile
Suis-moi, ne perdons pas de temps.
FESTIVAL DES UTOPIALES 2023
Battlestar Galactica
Dans la Série Battlestar Galactica, l'humanité doit
échapper à ses ennemis et se reconstruire avec
seulement 50 000 rescapé·e·s. Dans l'Histoire, on
émet désormais l'hypothèse que la survie se serait
déjà jouée avec moins d'individus encore : il y a
930 000 ans et pour une période de 117 000 ans,
1 200 survivant·e·s environ auraient représenté
toute une partie de l'humanité à venir. Ce goulet
d'étranglement serait dû à un bouleversement
climatique majeur…
Avec Ugo Bellagamba, Bonaventure, Pierre Raufast
Modération : Mel Andoryss
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