C'est la dernière des séries parallèles qui produit encore des tomes, les deux autres (Kriss de Valnor et Louve) étant terminés pour rejoindre la trame de la série centrale.
Les larmes de Hel traite du problème de la maltraitance des femmes qui existait également chez les vikings. Celles-ci sont obligés de s'isoler et vivre en communauté dans une île cachée au milieu des brumes. Pour autant, les choix que feront ces femmes ne sont pas du tout justifiables quant au sort qu'elles feront de toutes les femmes soumises à leur mari. Il y aura une scène assez horrible à supporter. Je n'en dis pas plus pour ne rien dévoiler.
La série semble avoir atteint une certaine maturité car il n'y aura pas de surenchère dans l'action. Rien de très spectaculaire à l'horizon bien que le jeune Thorgal demeure courageux et brave. Une bonne partie de l'action se situe en mer et sur un bateau.
A noter qu'une prédiction alarmiste lui est faite : un rocher pourrait bien lui être fatal un jour prochain. On sait désormais comment notre héros va mourir. C'est sans doute l'information capitale de ce tome au détour d'une simple case.
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Sur le drakkar de Sveynn,Thorgal et Aaricia cherchent à fuir Harald a la dent bleue. Malheureusement les dieux sont contre eux et ils échouent sur une île sans eau ni nourriture.
Une aventure sympathique de nos jeunes héros au coeur brave et généreux. Ils vont explorer les souterrains de cette mystérieuse ile, ne craignant pas les colères divines pour trouver de quoi survivre.
C'est l'occasion de parler des violences faites aux femmes qui en sont réduites à fuir.
Le dessin est toujours efficace.
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Nouvelles aventures de Thorgal et Aaricia dans une ile mystérieuse sur laquelle ils ont fait naufrage . Sans eau, ni nourriture, en dépit de la sinistre réputation (depuis quand Thorgal quand il fait naufrage arrive sur une ile où il fait bon vivre?), Thorgal se lance dans l'exploration de mystérieuses grottes (forcément!). Trêve de plaisanterie : intrigue classique à la Thorgal, il doit sauver tous ses compagnons comme d'habitude, allié au dessin tout aussi classique de Surzhenko. Yann maintient la mythologie avec un certain panache et y mèle quelques thèmes d'actualité - la lutte des femmes envers les hommes brutaux et cruels.
Pas mal.
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Un album honnête, qui fait la part belle aux légendes vikings et aux luttes entre les dieux et les hommes. Les méchants sont méchants, les gentils naïfs ou réalistes, les fourbes vraiment très fourbes ! le message final est bien appuyé « Je reste là où mon coeur m'a menée, je délaisse une société violente, et je suis en paix avec moi-même ». C'est gentil, un peu trop peut-être ?
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La qualité des scénarios de Yann qui a su reprendre avec brio dans ce spin-off l’héritage laissé par Jean Van Hamme et Grzegorz Rosinski, tandis que le dessinateur russe Roman Surzhenko tient honorablement la barre du dessin.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
C'est rythmé, il nous plonge dans des scènes angoissantes en nous faisant ressentir diverses sensations dans certaines cases incroyables. Un très bon épisode que je vous invite à lire.
Lire la critique sur le site : Sceneario
On savait pour le tome 8 qu’il fallait bien suivre le déroulé de l’action sur le scénario de Yann et le dessin cadré Rosinski très efficace de Roman Surzhenko. Un tout qui cependant lambine un un peu.
Lire la critique sur le site : LigneClaire
Mefie-toi! L'arrogance est une force, certes, mais trop d'arrogance se transforme en orgueil... et l'orgueil mène à l'aveuglement !
Le bonheur ne se trouve pas enfoui tout au fond d'un terrier. Il se mérite en affrontant les aléas de l'existence.
Spirou et la gorgone bleue