J'étais en manque de Banana Fish, ce fut plus fort que moi. Malgré mon désir d'en garder le plus possible dans ma PAL (parce que oui, une fois que je serai à jour, eh bien… ça aura un côté frustrant. À l'heure actuelle, je peux au moins me dire qu'il me reste trois tomes à lire dans ma pile avant d'attendre la sortie du prochain. Bon, ça peut paraitre stupide comme raisonnement, surtout que les tomes de cette réédition sortent relativement rapidement, mais ne cherchez pas ma logique. xD), je n'ai pu résister à lire ce tome 4.
Ce volume était vraiment dur psychologiquement à lire. Bon, c'est Banana Fish, je ne devrais pas être étonnée… Mais c'est fou comme les larmes me viennent facilement dès qu'il s'agit d'Ash et Eiji… (dois-je vraiment vous préciser que les larmes me sont montées dès qu'il a été question de l'anecdote sur les citrouilles ? ou juste de certaines phrases d'Eiji qui juste me mettent dans tous mes états…?)
D'un autre côté, contrairement à ce qu'on pourrait penser, j'aime cet univers de tout mon coeur. Chaque fois que j'y suis, je n'ai pas envie d'en partir. C'est dingue comme des oeuvres (que ce soit littéraires ou cinématographiques) peuvent autant me marquer, faire parties de moi et me faire ressentir des milliers d'émotions indescriptibles chaque fois qu'il en est question…
Enfin bref. À l'heure actuelle, j'écris ceci plus d'un mois après avoir lu ce tome 4, mais je n'ai pas encore lu le cinquième… (en sachant que j'ai le 5, le 6 et le 7 dans ma PAL, que le huitième volume sort pendant les vacances et que je risque très fortement d'aller l'acheter sans même hésiter une seconde…) M'enfin bon, vous vous doutez sans doute que ce n'est pas une question d'absence d'envie, mais plutôt que je me retiens de ne pas les dévorer tous d'un coup… (et puis comme je le disais au début de ma critique, j'aime ce côté satisfaisant d'avoir des tomes de Banana Fish dans ma PAL. Ça me permet de me dire qu'il m'en reste à lire ^^')
Enfin bon, vu mon manque de Banana Fish qui s'avère, eh bien, quotidien, je risque néanmoins de craquer dans les prochaines semaines :')
En attendant, malgré mon manque d'objectivité, je ne peux que dire que cette suite est tout aussi géniale et incroyable. On ne s'ennuie pas un seul instant et je ne pourrai jamais me lasser de ces personnages... ! Je suis très clairement amoureuse de cette saga (même si la version anime >>), c'est un fait indiscutable. :')
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J'aime vraiment énormément ce manga. Il fait parti de mes grands coup de coeur. L'univers est dur, violent et n'épargne pas les sentiments, mais les personnages et la trame et le style de l'histoire... tout est immersif. je suis très attachée à chaque détail de ce manga.
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Malgré la taille conséquente d'un tome de perfect edition, je ne me lasse pas de Banana Fish, je dévore chaque tome car l'auteure est incroyable, l'histoire est addictive et en fin de tome, j'ai tellement hâte d'avoir le suivant. Avec cette épaisseur, il y a un rythme effréné de lecture qui s'active en moi. C'est sombre mais qu'est-ce que c'est intéressant à suivre. Ash n'arrive pas à se relever de la perte de Shorter, Eiji fait tout pour panser ses plaies profondes dans le coeur de son ami. Mais il faut faire face à la chasse à l'homme qui s'est mis en place par Arthur pour avoir la tête d'Ash ou son corps empaillé au choix. Comment faire pour patienter jusqu'au tome suivant ? Une petite boulimie d'autres mangas et de romans, pardi !
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- Je me souviens d’un truc… quand on est allés à Cape Code, là où il est né… tu te souviens ? Ash a voulu apprendre à Eiji à se servir d’une arme. Ils avaient l’air de vraiment bien s’amuser… à tel point que j’osais pas les déranger. C’était sympa de les voir comme ça. S’ils n’avaient pas tenu un flingue dans les mains… deux garçons du même âge qui chahutent un peu. J’ai hésité une seconde avant de les appeler. Et Ash m’a vu. Cette seconde lui a suffi pour lire dans mon cœur le fil de mes pensées. Et l’expression qu’il avait avant, que je voyais pour la première fois que son visage, a brusquement disparu. Et il a remis son masque comme s’il était obligé de se cacher derrière une apparence. Ça m’a vraiment fait mal au cœur. Pauvre gosse.
- Écoute-moi bien ! Je sais que ça ne te soulagera pas, mais… n’oublie jamais ça. Même si le monde entier était contre toi, je resterai ton allié. Je suis avec toi.
-Eiji
- Vous pourriez transmettre un message à Ash pour moi ? Dites lui de faire attention à lui. Et aussi que… où que j’aille, je prierai pour son bonheur.
-Eiji
Je suis paumé, Ash… Un jour, couvert de sang et de fumée de poudre à canon, tu descends tes ennemis sans hésitation… et un autre, tu boudes parce que je me moque de ta peur des citrouilles… Le vrai toi, il est où là-dedans ?
-(Eiji)
- Il n’y a que quand il est avec Eiji qu’il peut redevenir lui-même. Pas un chef de gang, ni un type poursuivi par la mafia, seulement un gosse de 17 ans…
Bande annonce du film Notre petite sœur, adaptation de la série de manga Kamakura Diary