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Un livre qui nous plonge dans la campagne du Cominges près des Pyrénées, jusqu'à parfois il y a deux cents ans.
Ce qui me frappe dans les récits de Nicole yrle, c'est la précarité de l'existence à cette époque: on pouvait mourir d'une simple bronchite mal soignée. A cela s'ajoute les guerres et la malchance... les cimetières, proches des villages, témoignent des drames des familles à travers les âges.
Beaucoup de tendresse dans ces récits, avec des connivences par delà les générations... et puis ces fameux secrets de famille dont on imagine qu'ils ont été lourds à porter.
Histoire du passé d'hommes et de femmes qui ont vécu, aimé et souffert avec leurs lots d'espérances (certains ont émigré en Amérique) et parfois de désespoirs...
A lire le livre de Nicole Yrle, on se prend à penser à nos propres ancêtres... à ce qu'ils ont pu être... et de quel visage nous avons hérité.
J'avais un peu d'appréhension à lire ces récits familiaux, mais je dois avouer que j'ai été agréablement surpris. Un peu comme pour les contes: l'art du conteur y est sûrement pour quelque chose.
Critique de becdanlo
Un livre qui nous plonge dans la campagne du Cominges près des Pyrénées, jusqu'à parfois il y a deux cents ans.
Ce qui me frappe dans les récits de Nicole yrle, c'est la précarité de l'existence à cette époque: on pouvait mourir d'une simple bronchite mal soignée. A cela s'ajoute les guerres et la malchance... les cimetières, proches des villages, témoignent des drames des familles à travers les âges.
Beaucoup de tendresse dans ces récits, avec des connivences par delà les générations... et puis ces fameux secrets de famille dont on imagine qu'ils ont été lourds à porter.
Histoire du passé d'hommes et de femmes qui ont vécu, aimé et souffert avec leurs lots d'espérances (certains ont émigré en Amérique) et parfois de désespoirs...
A lire le livre de Nicole Yrle, on se prend à penser à nos propres ancêtres... à ce qu'ils ont pu être... et de quel visage nous avons hérité.
J'avais un peu d'appréhension à lire ces récits familiaux, mais je dois avouer que j'ai été agréablement surpris. Un peu comme pour les contes: l'art du conteur y est sûrement pour quelque chose.
