Revue Zadig/5
10 notes
Résumé :
Cet opus de Zadig nous entraîne dans les villes et villages de notre pays, 35 000 au bas mot, qui fourmillent d’idées, d’envies et d’interrogations face aux enjeux territoriaux de demain.
Pas facile d’être maire. Vers eux convergent toutes les attentes, toutes les demandes, toutes les rancœurs aussi quand quelque chose cloche. Le maire est une assistante sociale, un pourvoyeur de réseaux pour ceux qui n’en ont pas. Un intermédiaire entre le local et le techno... >Voir plus
Pas facile d’être maire. Vers eux convergent toutes les attentes, toutes les demandes, toutes les rancœurs aussi quand quelque chose cloche. Le maire est une assistante sociale, un pourvoyeur de réseaux pour ceux qui n’en ont pas. Un intermédiaire entre le local et le techno... >Voir plus
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Que lire après Zadig, n°5 : Ces maires qui changent la FranceVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (3)
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Publié avant les élections municipales, ce numéro de Zadig met à l'honneur le rôle des maires à travers des entretiens et des reportages qui nous emmènent à la rencontre de femmes aux compétences appréciées de leurs administrés.
Des souvenirs touchants sont écrits avec soin : Philippe Delerm raconte son enfance chez différents grands-parents. Ségolène Vinson évoque quatre femmes d'ascendantes arménienne. Et Michel Pastoureau nous plonge dans « le vert du printemps ».
Des souvenirs touchants sont écrits avec soin : Philippe Delerm raconte son enfance chez différents grands-parents. Ségolène Vinson évoque quatre femmes d'ascendantes arménienne. Et Michel Pastoureau nous plonge dans « le vert du printemps ».
Encore un excellent numéro de Zadig. le récit de Philippe Delerm sur sa région d' enfance est touchant, tendre et emplie d' une grande sincérité. On a l' impression de toucher du doigt ses souvenirs. Très bon dossier sur les maires qui rend bien compte de la difficulté d' être un élu.
Christophe Boltanski démontre toute la complexité, de manière très juste, de la difficulté de vivre ensemble et avec nos différences dans un habitat regroupé.
Par contre je n' ai pas très accroché à la nouvelle de Pierre Pelot et je trouve que la petite B.D. à la fin n' a pas vraiment sa place.
Christophe Boltanski démontre toute la complexité, de manière très juste, de la difficulté de vivre ensemble et avec nos différences dans un habitat regroupé.
Par contre je n' ai pas très accroché à la nouvelle de Pierre Pelot et je trouve que la petite B.D. à la fin n' a pas vraiment sa place.
Qualité constante de cette superbe revue, tant par la qualité des textes que celle des illustrations. Une lecture facile de sujets parfois difficiles, toujours traités avec bienveillance mais sans concession à "l'air du temps ". Une vraie réussite dont on a l'impression de sortir plus intelligent...Ça ne se refuse pas !!!
Citations et extraits (2)
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J’aime parler des deux pôles de la vie : la prose et la poésie. La prose, ce sont les choses qu’on fait sans plaisir, par nécessité. La poésie, c’est tout ce qui nous dilate, nous inonde.
Edgard Morin, sociologue, p. 12
Edgard Morin, sociologue, p. 12
En France, il y a deux choses que les gens aiment bien : le département et le maire. Ce sont les institutions républicaines qu’ils ont toujours connues.
Jean Viard, sociologue, p. 72
Jean Viard, sociologue, p. 72
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