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EAN : 9782330002466
300 pages
Actes Sud (01/02/2012)
3.16/5   45 notes
Résumé :
Suzan a traversé l’Atlantique pour rendre un dernier hommage à Adèle, qui fut la compagne de son père et que l’on enterre à Paris. Fleur, la petite-fille d’Adèle, est là aussi.
La vie de la défunte Adèle, déracinée, rescapée du ghetto de Varsovie, se déploie comme un fantôme muet sur les existences de Fleur et de Suzan, tandis que se dessine une grande fresque familiale qui mène le lecteur de la Pologne à la France et des États-Unis à l’Afrique du Sud.
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Critiques, Analyses et Avis (14) Voir plus Ajouter une critique
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Deux femmes assistent à l'enterrement d'Adèle. Il y a Fleur, son arrière-petite-fille. Et il y a Suzan, la fille de son ancien prétendant américain. Après les obsèques, les deux femmes reviennent séparément sur ce qu'elles savent de celle que l'on a inhumée.

Pour Fleur, Adèle est la fille d'immigrés polonais qui pensaient trouver en France plus de sérénité et de bonheur. Sa rencontre avec Louis est décisive : à 13 ans, la fillette sait qu'elle épousera le garçon. Et le couple traverse avec courage l'histoire des Juifs d'Europe. « Après tout, ce pays n'est pas le leur. Ne leur fait-on pas un cadeau en tolérant qu'ils y respirent ? Ainsi, on portera l'étoile jaune en se persuadant qu'elle n'est pas une marque d'infamie. » (p. 147) Adèle, épouse passionnée et mère courage, porte les siens à bout de bras et témoigne d'une rage de coeur inépuisable.

Pour Suzan, Adèle est la Française qui a brisé le coeur de son père en refusant sa demande en mariage, le précipitant ainsi vers la mort. Son ressentiment envers elle est mêlé de douleur et de remise en question. « Suzan, avant l'arrivée en fanfare de la Française, s'était convaincue qu'elle aimait son existence capitonnée, qu'elle n'en espérait rien de plus, ni de moins. Et voilà que cette vieille femme venait la narguer avec ses appétits » (p. 68) C'est là que le bât blesse : Adèle a toujours mordu la vie à pleines dents alors que Suzan a peu à peu renoncé et s'est laissée enfermer dans une vie conventionnelle. Grâce à sa tante Sophia qui vit en Afrique du Sud depuis des décennies, Suzan découvre la correspondance de sa mère et peut enfin oublier sa colère contre Adèle. « Elle n'a jamais rien fait d'aussi important que ce chemin vers ses parents. » (p. 138)

D'un chapitre à l'autre, les deux voix s'opposent. Mais finalement, Fleur et Suzan se sont trouvées et se sont libérées de l'emprise d'Adèle, une femme qui a laissé partout une trace indélébile. « Suzan les imagine lui, sa mère, Sophia et Adèle la Française sur le chemin. Elle ne peut pas les bouger comme des pions, mas si c'était possible, que changerait-elle ? » (p. 154) Désormais, Suzan et Fleur peuvent suivre leur chemin sans tomber dans les traces de pas de la superbe Adèle.

Autant le dire franchement, je n'ai pas été sensible à toutes ces histoires de femme. La toute-puissante Adèle prend trop de place, Fleur est transparente et Suzan est aigrie. En revanche, j'ai aimé la réflexion sur la place des Juifs au 20e siècle. Au début du siècle, certains ont pris le bateau pour les États-d'Unis d'Amérique et d'autres ont choisi la France. Et voilà comment les destins de familles qui auraient pu être similaires ont pris des voies différentes. Certes, l'Amérique n'est pas l'Eldorado. « Ils n'ont jamais rêvé d'Amérique, y sont venus sans désir, talonnés par les menaces, s'y sentant diminués. » (p. 143) Certes, être juif ne conditionne pas la réussite ou l'échec d'une vie. Mais l'histoire s'est chargée de montrer qu'à défaut d'Amérique, il a bien fallu survivre.

C'est une lecture en demi-teinte. le style de Carole Zalberg est très beau, je dirais même noble. Je lirai d'autres romans de cette auteure, mais celui-ci me laisse un goût d'inachevé.
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"Alors repos."
Ainsi s'achève "A défaut d'Amérique" de Carole Zalberg, comme un écho à la scène d'ouverture dans un cimetière parisien à l'occasion de l'enterrement d'Adèle, mais également aussi comme un état bien mérité pour tous les personnages qui ont traversé ce roman.

L'histoire est narrée par deux personnages féminins : Suzan, une américaine incapable de vivre et d'aimer et rongée par un terrible secret; et Fleur, une française portant difficilement le passé de sa famille.
A aucun moment ces deux personnages ne se rencontreront, un océan les séparera toujours hormis dans cette scène d'ouverture, où Suzan épie la cérémonie de l'enterrement d'Adèle au cimetière et pourtant ne manifestera pas sa présence : "Elle ne jurerait pas qu'ils sont émus. Pas d'où elle se tient : un refuge d'ombre qui la dissimule aux regards et aux interrogations. A cette distance, on ne perçoit rien du deuil ou d'un soulagement. le petit groupe amassé autour de la tombe évoque une assemblée de longs volatiles penchés au-dessus d'une trouvaille. Collés les uns aux autres pour faire barrage au vent. Piétinant d'impatience ou de froid."
Car Adèle, Suzan l'a connue, c'est même grâce à elle que son père a retrouvé la trace de cet amour de jeunesse alors qu'il venait libérer la France de la domination allemande en 1944 et qu'Adèle était mariée et venait de perdre son premier enfant, et c'est encore grâce à elle qu'Adèle viendra leur rendre visite aux Etats-Unis.
Et autant le père de Suzan a aimé Adèle, allant jusqu'à lui proposer de l'épouser désormais qu'ils sont libres de toute attache afin de rompre leur veuvage et continuant à l'aimer malgré le refus de celle-ci; autant Suzan n'a jamais réussi à aimer Adèle, tout ou presque en elle l'énervait et l'a presque conduit à s'éloigner de son père, ou du tout moins à ne plus reconnaître l'homme qu'elle connaissait depuis toujours : "Le silence de son père, face à cet étalage de hauts faits et de fierté, avait été aussi violent pour Suzan que s'il avait déchiré sous ses yeux toutes traces de leur passé commun. C'était cela qui avait achevé de l'écoeurer."
Pourtant, c'est l'enterrement d'Adèle qui sera l'élément déclencheur pour chacune de ces femmes et les amènera à se confronter à elles-mêmes : l'une découvrira qui était réellement sa mère tandis que l'autre revivra l'histoire d'Adèle qui a traversé le vingtième siècle en survivante.

A travers des chapitres concis et percutants, Carole Zalberg retrace la grande Histoire mais également l'histoire familiale d'Adèle qui finira par s'entrecroiser avec celle du père de Suzan.
L'auteur a choisi d'alterner les souvenirs de Fleur, la française, avec ceux de Suzan, l'américaine, jusqu'à ce que ces deux femmes prennent conscience de leur passé et finissent par l'accepter pour enfin vivre pleinement leur vie.
Pour Fleur, la révélation viendra en se replongeant dans les photos et l'histoire familiale, à travers le puissant personnage d'Adèle qui traversât toutes les époques et les conflits mondiaux en portant toujours sa famille à bout de bras, sans jamais faillir et en gardant toujours espoir.
Pour Suzan, il lui faudra lire la correspondance envoyée par sa tante qu'elle ne connaît pas afin de découvrir qui était réellement sa mère, quelles étaient ses aspirations, et quelle ne sera pas sa surprise de découvrir que sa mère a beaucoup changé entre ses rêves de jeune fille, son mariage et son enfant.
La révélation du sens qu'elle donnera à sa vie ne lui viendra qu'au cours d'un voyage en Afrique du Sud pour rencontrer cette tante inconnue : "Et elle le sait à la seconde : au bout du compte, elle n'ira nulle part ailleurs que là où elle a grandi et où le monde vient d'exploser.", et à cet instant-là, sa vie pourra enfin commencer.

Il serait réducteur de penser que ce livre tourne autour de Fleur et de Suzan, car à ces deux femmes vient sans cesse se greffer une troisième : Adèle, la battante, la survivante, cette superbe héroïne si forte qui donne tout son sens à ce récit; et plus subtilement une quatrième : Kreindla, la mère d'Adèle, la voix de la sagesse.
Le choix de la couverture du livre, judicieusement choisie et belle à contempler, n'est pas innocent puisque sur cette photo quatre femmes sont perdues au milieu de nul part, un peu comme si elles erraient entre deux mondes, et c'est un parallèle particulièrement intéressant une fois la lecture achevée, puisque cette histoire est peuplée des fantômes des disparus qui vont aider, de là où ils reposent désormais, les vivants égarés dans leur vie.
L'histoire narrée dans ce roman contient également beaucoup de nostalgie mais ne sombre jamais dans l'apitoiement, bien au contraire, le personnage d'Adèle est à lui seul une véritable force de la nature et une machine humaine de vie et d'amour.

"A défaut d'Amérique" est une formidable et émouvante histoire intergénérationnelle prenant place sur trois continents écrite par une femme, reposant sur des femmes qu'il me sera bien difficile d'oublier et qui résonnent encore dans mon esprit bien longtemps après avoir refermé ce livre.
D'humanité, ce livre n'en manque pas, et passer à côté d'un tel bijou littéraire pourrait incontestablement être considéré comme un défaut.
Lien : http://lemondedemissg.blogsp..
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avec A défaut d'Amérique, Carole Zalberg nous offre deux beaux portraits de femmes en alternant dans de courts chapitres la vie de Susan et la reconstitution de la vie d'Adèle qui vient de mourir. J'ai aimé le cheminement de Susan qui semble plus fermée et qui à force de recherches et de questionnements va se révéler et se connaître alors qu'Adèle, qui apparaît épanouie et généreuse au début du roman, révélera failles et défauts.
C'est le deuxième roman de Carole Zalberg que je lis et j'aime toujours autant son style, et surtout la concision avec laquelle elle parvient à décrire pensées, failles, interrogations et doutes de ces héroïnes. J'ai aimé ce roman mais j'ai une préférence particulière pour Mort et vie de Lili Riviera, un roman que j'ai trouvé très fort.
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Très beau roman de portraits croisés de femmes, liées par un dénominateur commun: Adèle, débarquée enfant de Pologne à Paris dans l'entre-deux-guerres, et dont son arrière-petite-fille, Fleur nous contera sa vie dans un pan de l'histoire. de l'autre côté, Suzan, l'Américaine, qui se souviendra des quelques semaines passées aux côtés d'Adèle, cet amour de jeunesse de son père Stanley, et qu'elle fera venir aux Etats-Unis pour tenter de tromper la solitude de son père depuis son veuvage.

Malgré un mode de narration en miroir ressassé jusqu'à plus soif, malgré l'histoire de famille qui reste un thème largement exploité en littérature, ce roman tout délicatement écrit est très intéressant en ce qu'il exploite jusqu'au bout les thèmes de la résignation et du renoncement de la femme.

Je cite un très joli passage page 185, très représentatif du ton du livre:

"Imaginez, un peu! Vous portez les rêves de bonheur et de paix de vos parents, vous êtes née avec le siècle et un sens aigu, presque douloureux du destin, vous avez fait des projets, entrevu, vous la femme jusque-là habituée aux carcans, ce qu'étaient les possibles d'une vie d'homme et, forte de tout cela, vous avez traversé les épreuves successives. Surtout: vous avez survécu. Et rien sur ce chemin ne devrait vous avoir changée? Oui, des femmes se couchent, cessent leur galop tels des chevaux fatigués du mors mais qui ne savent pas inventer autre chose que la docilité. D'autres, comme Adèle, continuent d'être ce qu'autour d'elles on attend qu'elles soient et s'agitent toujours davantage pour masquer le tremblement du manque (manque de quoi? Elles-mêmes, sans doute, peineraient à le définir), hurlent à tout bout de champ pour se purger, passer quelques larmes en douce. Désespérer incognito et en restant debout."

Petite déception quand même: c'eut pu être un roman plus ambitieux; la fin est assez indigente et m'a laissée sur ma faim. On restera avec ces deux questions qui ne seront pas approfondies: pourquoi Fleur se présente-t-elle dès le départ dans une logique de rupture par rapport aux autres femmes de sa famille, que s'est-il passé dans sa propre vie pour en arriver là? Que diable a-t-il bien pu se passer entre Stanley et Adèle pour que celle-ci se retrouve "à défaut d'Amérique"?
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Ce fut une lecture plutôt agréable, une découverte d'une auteure plutôt sympathique. Mais ce ne fut pas un coup de coeur.


Évidemment, il y a mon thème de prédilection, les histoires de famille à travers plusieurs générations, cela ne pouvait que me plaire! C'était d'autant plus intéressant qu'il s'agit de l'histoire de deux familles, qui se croisent deux fois pour suivre des chemins séparés.


C'est donc à travers 3 générations de femmes qu'on découvre cette histoire, même si la dernière génération est un peu oubliée, puisque Fleur est un peu absente.


Je crois en fait que j'ai eu du mal avec les personnages.


Si Adèle est une femme sûre d'elle et tellement pleine de vie et de conviction qu'elle devient rapidement insupportable, Susan elle est tellement vieillie avant l'âge aigrie qu'il faut du temps pour qu'elle devienne intéressante. Quand à Fleur, elle est presque inexistante. J'ai eu l'impression que son personnages existe uniquement pour faire des transitions pour l'histoire d'Adèle.



Il y a donc surtout ces deux femmes : Adèle et Susan. Et deux façons de vivre complètement différentes. A l'opposé même.
Adèle elle vit sa vie comme si son dernier jour était demain. Elle est vivante, remuante, elle ne s'arrête jamais.
Susan, elle, se laisse vivre. Elle ne fait plus rien, elle a laissé tomber ce qui lui tenait à coeur, pour finir par la solution de facilité.


J'ai préféré suivre l'histoire d'Adèle. Son enfance, son arrivée en France, sa force de caractère, sa vie, ses décisions…elle a beau être parfois assez imbuvable et envahissante, c'est tout de même une femme assez extraordinaire, qui a réussi sa vie. Qui a fait des choix et qui s'y est tenue. Je l'admire tout de même un peu.


Le fait qu'elle débarque à plus de 80 ans aux Etats-Unis, fraiche et guillerette, prête à s'amuser comme une folle, j'ai adoré! Elle a bien raison! Pareil pour son refus d'épouser le père de Susan. Sa raison : avoir déjà supporté un vieux dont il faut s'occuper, elle ne souhaite pas recommencer!" J'ai trouvé ça génial! Et d'ailleurs, elle a bien raison de ne pas vouloir coller à l'idée qu'on a de la vieillesse. Vraiment, sans aimer son caractère, je l'ai admiré.


Susan, elle, comme je l'ai dit, ne fais plus grand chose. Elle travaille pour gagner de l'argent et végète. depuis la mort de son père, elle est seule, amère et furieuse contre Adèle qui a osé dire non. Non à son père, ni à l'âge non au conformisme. Elle a honte d'elle et de son laisser aller quand elle se compare à une personne qui pourrait être sa mère.


Elle se rend alors compte que sa propre mère lui est inconnue. En échangeant des lettres avec sa tante, elle s'aperçoit que plus jeune sa mère ne ressemblait pas à la timide et effacée épouse qu'elle est devenue, bien au contraire!


Ce sont les compromis, la société, le laisser aller qui ont peu à peu changé sa mère pour la rendre inexistante.Elle va donc se reprendre en main, certainement pour ne pas terminer comme sa mère.


——————————————–

Une lecture agréable donc, sympathique, mais qui n'a pas réussi à me passionner.

Merci à Gwenaëlle pour cette découverte!
Lien : http://writeifyouplease.word..
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Citations et extraits (20) Voir plus Ajouter une citation
« Ils n’ont jamais rêvé d’Amérique, y sont venus sans désir, talonnés par les menaces, s’y sentant diminués. » (p. 143)
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Rien n'y avait fait : en surface, ils étaient assortis. Mais leurs racines ne pouvaient s'emmêler dans le même terreau. Sans injures, sans violence apparente, leurs êtres profonds, encouragés chacun par sa clique de morts et de vivants, se battaient comme des chiffonniers.
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Des mois auparavant, à la mort de sa mère, Suzan
avait découvert un paquet de lettres alors qu’elle
tentait de mettre un peu d’ordre dans les papiers
d’une vie. Peut-être pour ne pas écouter son chagrin
profond – Suzan adorait sa mère, n’était en rien
préparée à sa disparition – elle s’était mis en tête
de retrouver la belle Française qui écrivait à son
père dans ce touchant anglais de carton-pâte. Après
quelques semaines de recherche, elle avait pu lui
annoncer qu’Adèle était en vie, toujours mariée, et
que, renseignements pris, elle serait heureuse d’avoir
des nouvelles de ce cher Stanley. Les vieux tourtereaux
s’étaient d’abord écrit en tremblotant. Puis
téléphoné dans un échange d’anglais toujours aussi
factice et de français glané çà et là. Stanley avait suivi
de loin la maladie de Louis, le mari. Quand Adèle
à son tour était devenue veuve, elle avait enfin accepté
l’invitation à traverser l’océan.
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Le silence de son père, face à cet étalage de hauts faits et de fierté, avait été aussi violent pour Suzan que s'il avait déchiré sous ses yeux toutes traces de leur passé commun. C'était cela qui avait achevé de l'écoeurer.
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L’idylle n’a pas tenu. Le père de Suzan voulait
épouser sa belle enfin libre. Il avait reçu Adèle en
princesse, avait fait sa parade de coq déplumé mais
encore vaillant, formulé dûment sa demande. A l’issue
des réjouissances, de toute cette agitation relayée
avec gourmandise par le journal local, la
courtisée avait décidé que non, merci, c’était tout
à fait flatteur mais sans façon : elle n’avait pas envie
de s’occuper du linge ou de la santé défaillante
d’un autre vieux monsieur. Elle était rentrée chez
elle, semblant se satisfaire de son trophée de coupures
de presse et de photos posées. Interruption
volontaire de conte de fées. Stanley n’a plus eu de
rêve auquel s’agripper. Il s’est éteint quelques semaines
après
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