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Critique de espacebouquinerie
J'ai trouvé ce feel good un peu particulier. L'histoire commence alors que Lucie fait une présentation très importante pour l'entreprise pour laquelle elle travaille. Son ami lui envoie un texto alors qu'elle fait cette présentation, car c'est urgent. Une nouvelle tombe alors, qui changera sa vie ainsi que celle d'Enzo, son ami.
Le personnage d'Enzo m'a touchée. Ce n'est pas facile ce qu'il vit. J'aime bien son duo avec Lucie, à tout dédramatiser, et la facilité avec laquelle il aborde les gens. Je trouve le choix qu'il fait courageux et inspirant, car ce n'est pas facile. Lucie est aussi un peu attachante, mais je me suis moins attachée à elle qu'à Enzo.
La narration est aussi donnée à un autre personnage que l'on ne voit pas tout de suite dans la vie des deux amis, Nolann. Un côté de lui n'est pas très agréable au premier abord. Il est un peu flambant, mais on perçoit aussi une autre facette, notamment le fait qu'il soit seul, ce qui fait qu'on s'intéresse un peu à lui malgré sa psychologie quelque peu déplorable. On comprend grâce à une entrevue avec son père qu'il n'a pas toujours été comme ça. Son changement est spectaculaire par la suite, lorsqu'on le retrouve à Bali avec Lucie et Enzo.
J'ai trouvé le début de l'histoire assez long. le voyage à Bali prend beaucoup de temps pour arriver, et le moment où ils le sont est assez court dans le récit, ce qui est dommage. C'était un peu plus intéressant à ce moment, mais il demeure que je n'étais pas trop emballée par ma lecture. La rencontre entre Nolann et Lucie est drôle. Une certaine tension se fait sentir (ils ne s'aiment pas beaucoup et s'envoient des piques). La plume, quant à elle, était fluide.
Je disais en début de chronique trouver ce feel good un peu particulier ; c'est parce que je n'ai pas ressenti l'apaisement, le baume à l'âme que j'ai ressenti dans mes précédentes lectures dans ce genre cette année. La fin est vraiment déchirante, mais un beau message est véhiculé.
En somme, j'ai quand même apprécié ce roman, mais le début très lent à mon avis a entaché ma lecture. Il reste que c'est un livre tout de même agréable à lire par la plume fluide, et le personnage d'Enzo est un gros point fort.
Le personnage d'Enzo m'a touchée. Ce n'est pas facile ce qu'il vit. J'aime bien son duo avec Lucie, à tout dédramatiser, et la facilité avec laquelle il aborde les gens. Je trouve le choix qu'il fait courageux et inspirant, car ce n'est pas facile. Lucie est aussi un peu attachante, mais je me suis moins attachée à elle qu'à Enzo.
La narration est aussi donnée à un autre personnage que l'on ne voit pas tout de suite dans la vie des deux amis, Nolann. Un côté de lui n'est pas très agréable au premier abord. Il est un peu flambant, mais on perçoit aussi une autre facette, notamment le fait qu'il soit seul, ce qui fait qu'on s'intéresse un peu à lui malgré sa psychologie quelque peu déplorable. On comprend grâce à une entrevue avec son père qu'il n'a pas toujours été comme ça. Son changement est spectaculaire par la suite, lorsqu'on le retrouve à Bali avec Lucie et Enzo.
J'ai trouvé le début de l'histoire assez long. le voyage à Bali prend beaucoup de temps pour arriver, et le moment où ils le sont est assez court dans le récit, ce qui est dommage. C'était un peu plus intéressant à ce moment, mais il demeure que je n'étais pas trop emballée par ma lecture. La rencontre entre Nolann et Lucie est drôle. Une certaine tension se fait sentir (ils ne s'aiment pas beaucoup et s'envoient des piques). La plume, quant à elle, était fluide.
Je disais en début de chronique trouver ce feel good un peu particulier ; c'est parce que je n'ai pas ressenti l'apaisement, le baume à l'âme que j'ai ressenti dans mes précédentes lectures dans ce genre cette année. La fin est vraiment déchirante, mais un beau message est véhiculé.
En somme, j'ai quand même apprécié ce roman, mais le début très lent à mon avis a entaché ma lecture. Il reste que c'est un livre tout de même agréable à lire par la plume fluide, et le personnage d'Enzo est un gros point fort.
