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3,21

sur 578 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Vite vite mais viiiiiiiiiiiite. Oui je dois vite écrire ce billet, juste avant l'oubli. Et la fenêtre de tir est très étroite car l'oubli va venir rapidement (et en l'occurrence, c'est plutôt une bonne nouvelle).

En tout cas, je sais maintenant ce qu'il y a juste avant l'oubli : de l'ennui, de l'ennui et de l'ennui. J'ai tenu bon sur 129 pages avant de jeter l'éponge. Je n'ai même pas envie de savoir la fin, à vrai dire je m'en fiche royalement. Si j'avais su je n'aurai même pas eu envie de connaitre le début, c'est vous dire ! Mais je ne suis pas inquiète, d'ici quelques heures j'aurai tout oublié. Ouf !

J'avais choisi ce livre (soi-disant « aux allures de roman noir » dixit la quatrième de couverture, mouais… faudra revoir la définition de noir, roman transparent je dirais plutôt s'il faut vraiment donner une couleur) je l'ai choisi donc, car voyager dans les Hébrides me fait rêver. Hélas, ce fut un fiasco total : mon bateau a pris l'eau et j'ai détesté tous les passagers. Bref, une lecture désastreuse au titre prémonitoire. Un bon conseil, pour découvrir les Hébrides, lisez plutôt Peter May.
Allez, sans rancune, et Mar sin leat comme on dit là-bas, en gaélique…
Lien : http://tracesdelire.blogspot..
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Un voyage dans les Hébrides, c'était pourtant tentant pour moi qui me délecte de la beauté sauvage des pays celtes. Mais quelle déception.
Premier sujet d'agacement avec les commentaires péjoratifs de l'auteure sur le prénom de Franck que je trouve tout à fait portable et de bon goût comparé aux Jules, Gustave et autres dont on affuble aujourd'hui nos nouveaux nés.
Là n'est pas le sujet. Passons donc à l'histoire à tiroirs donc confuse de l'héroîne romancière de son état, de son héros faiseur de polars mort de façon énigmatique sur cette île déserte et de l'enquêteur de ce dernier qui serait son alter ego. Ais je bien compris et me suivez vous ?
A cela s'ajoute le "joyeux groupe" de participants au colloque ,une bande de pseudo intellectuels tête à claques (on cite Baudriller comme référence culturelle) et au fil des pages je me demande bien ce que tout ce joli monde est venu faire sur ce caillou abandonné.
Le roman d'Alice Zeniter me semble l'archétype des récits sans consistance que nous concoctent les jeunes apprenties romancières fraîchement émoulues de l'Université.
Partant du principe "si vous n'aimez pas, n'en dégoutez pas les autres", j'arrête là ma complainte.


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C'est rare que j'abandonne un livre mais celui ci bien qu'assez court m'a paru particulièrement hermétique.

je ne m'appesantirai pas plus ne l'ayant pas fini, mais c'est long (trop)
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Une histoire qui se traîne, des personnages sans profondeur, un couple où aucun ne veut renoncer à son propre rêve sans se soucier du partenaire. Le titre est prémonitoire : lecture juste avant l'oubli.
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Juste avant l'oubli de ce roman, je me hate d'en ecrire la critique afin je l'espere d'épargner à d'autres la penible experience que sa lecture.
Juvenile, maladroit, pretentieux, en un mot: Sophomorique, le dernier roman d'Alice Zeniter.
Les personnages sont creux et innatachants. L'intrigue n'en est pas une. On ne ressent aucune emotion à la lecture de ces textes incipides, meme si quelque tournures sont bien trouvées.
Le troisieme personnage du livre, c'est Donnel, un ecrivain (fictif) et supposement genial dont Alice Zeniter n'hesite pas à nous imposer la prose une page sur deux. Prose maladroite derriere laquelle on reconnait le style de l'auteur. On n'arrive pas à croire un instant qu'une foule d'universitaires se presse sur une ile deserte pour rendre hommage à ce “grand” ecrivain.
Bref, l'un des pires romans de cette rentrée que j'ai pu lire jusqu'ici.

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Forte déception après avoir lu « l'Art de perdre » que j'ai tant aimé. Tout oppose tellement ces deux livres que j'ai du mal à croire qu'ils soient du même auteur.
Certes l'écriture est agréable et pourtant, je l'ai terminé avec peine. A la dernière page, je n'étais toujours pas dans le roman et je m'interrogeais sur le sens.
Les principaux intriguants (Franck et plus encore Emilie) manquent de profondeur, m'ont semblé étrangers à leur histoire.
La brochette d'intellectuels réunis quelques jours sur cette île perdue aurait aussi pu donner lieu à de croquignolesques personnages et de savoureuses descriptions.
Au vu des critiques de presse élogieuses et du prix renaudot des lycéens, j'ai du rater quelque chose.
Ce roman m'aura toutefois amenée à faire des recherches et découvrir les îles hébrides. Visiblement fort pittoresques, je conçois qu'on s'y sente dans un autre monde.
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C'est donc une histoire d'amour entre Emilie, la thésarde qui se rend de son propre gré sur une île perdue des Hébrides organiser les "Journées d'étude" consacrées à son feu écrivain préféré "Galwin Donnell", et Franck, l'infirmier énamouré qui rêve de finir sa vie à ses côtés.

Le personnage d'Emilie me semble tellement égoïste, imbue de sa personne et tellement intellectualisée par l'auteur que, hum, je me demande vraiment comment il est possible que Franck parte, une bague dans sa valise, la rejoindre!

Quant au scenario mis en place par l'auteur, je suis complètement passée à côté: l'auteur invente donc cet auteur "Galwin Donnell" - maître incontesté du polar - auquel les personnages vouent, quasi tous (vous l'aurez deviné... pas Franck, ni d'ailleurs son comparse sur l'île), une admiration sans borne. Mais, il semble que l'auteur soit également tombée sous le charme de Galwin; allant jusqu'à inventer des citations en début de chapitres et des références en pied de page. Au début du livre, j'avoue avoir trouvé cela comique. Au bout des 280 pages, cela m'a solidement lassée.

Heureusement, le personnage de Franck et la mise sur papier de ses sentiments, de sa lente descente aux enfers est une petite pépite. Mais, malheureusement, trop petite par rapport au reste.

Donc, "Juste avant l'oubli", cela me fait penser à cet instant présent: celui où j'écris ces quelques lignes avant d'oublier à tout jamais cette lecture.

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Il y a trois personnages principaux dans ce roman.
Franck qui se fait des noeuds au cerveau parce qu'il n'aime pas son prénom. Il y a pire, non ? Il me fatigue avec ses interrogations sur tout. Si vous voulez savoir comment vous pourrir la vie sans raison, demandez à Franck, c'est le roi.
Emilie, compagne de Franck, qui fait une thèse sur un écrivain mort et qui est plutôt inintéressante.
Galwin Donnell qui est l'écrivain dont l'oeuvre sert de sujet de thèse à Emilie.
Et quelques autres, des intellectuels ridicules et pédants, dont les nombreuses explications de texte des romans de Donnell m'ont ennuyée au possible. J'ai d'ailleurs choisi de poursuivre ma lecture en passant tout ce qui avait trait à cet écrivain. Et comme le reste m'a ennuyée aussi, j'ai survolé le dernier tiers.
J'ai eu l'impression que l'auteur a pris l'histoire d'Emilie et de Franck, celle de Donnell et l'analyse de son oeuvre, qu'elle a secoué tout ça et que ça s'est mélangé n'importe comment sur les pages. Et hop, ça a fait un roman. Les Hébrides ne sont même pas exploitées et ce roman aurait pu se passer ailleurs, c'était pareil. Les personnages ne sont pas attachants, l'histoire de couple est banale et insipide, et le décorticage de l'oeuvre de Donnell est chiante. Ça faisait un moment que je m'étais ennuyée à ce point.
Emilie et Franck vivront-ils heureux et auront-ils beaucoup d'enfants ? Emilie ira-t-elle écrire sa thèse à Cambridge ? Je m'en fous complètement.
J'ai du mal à croire que c'est le même auteur qui a écrit L'art de perdre. Juste avant l'oubli, un titre bien trouvé. J'ai écrit cette chronique deux semaines après avoir lu le roman et si je ne m'étais pas replongée dedans, j'aurais été incapable de me souvenir de l'histoire.
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Pffft...pas mauvais mais rien d'un grand moment de lecture.
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J'ai aimé la partie où est décrit la fin d'un amour entre 1 étudiante et 1 infirmier , le reste sans doute très interessant pour l'étudiante ne m'a pas du tout plu , mais c'est 1 livre à lire
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