>
Critique de Titania
On ne dira jamais assez que les relations sexuelles sont comme toutes les autres, pleines de surprises et de malentendus, qui peuvent abréger brutalement d'un claquement de porte, une nuit qui s'annonçait prometteuse.
Le papa de Titeuf s'amuse avec des couples hétérosexuels de tous âges dans des situations cocasses, un petit bréviaire joyeux et tendre sur ses contemporains pas aussi libérés qu'ils ne le prétendent.
On s'y reconnaît tous à un moment donné, ce n'est pas de la science fiction. Notre auteur situe son propos entre nos fantasmes de plaisir et une réalité parfois décevante.
La promiscuité avec les enfants, les parents, les voisins ou les colocataires est un ressort comique essentiel de l'album. Les interruptions et les frustrations occasionnées mettent les personnages dans des situations drolatiques et embarrassantes.
L'influence d'Internet et de la pornographie rend pas mal d'échanges ridicules. Les hommes sont plaqués brutalement, par des femmes qui ont du mal à se faire comprendre. Notre époque est dure pour la virilité. Coincés entre des demandes contradictoires, les hommes de l'album ne savent plus quoi faire pour satisfaire des compagnes exigeantes et libres.
Les pénis ont une place de choix, petits, joufflus....comme dans la chanson, ils sont l'objet de tous les fantasmes et des plus délirants. Pour les pratiques sexuelles, tout y passe. Nos personnages ne se contentent pas de faire l'amour, ils parlent aussi, mal, trop, pas assez. Le sexe est une source inépuisable de créativité !
Après, ils en parlent encore et commentent abondamment échecs ou performances. Ces confidences sont une autre occasion de rire.
Les gags se développent essentiellement sur une planche, les chutes sont souvent inattendues.
C'est cru, léger, jamais méchant, souriez ça parle de vous, de nous !
Le papa de Titeuf s'amuse avec des couples hétérosexuels de tous âges dans des situations cocasses, un petit bréviaire joyeux et tendre sur ses contemporains pas aussi libérés qu'ils ne le prétendent.
On s'y reconnaît tous à un moment donné, ce n'est pas de la science fiction. Notre auteur situe son propos entre nos fantasmes de plaisir et une réalité parfois décevante.
La promiscuité avec les enfants, les parents, les voisins ou les colocataires est un ressort comique essentiel de l'album. Les interruptions et les frustrations occasionnées mettent les personnages dans des situations drolatiques et embarrassantes.
L'influence d'Internet et de la pornographie rend pas mal d'échanges ridicules. Les hommes sont plaqués brutalement, par des femmes qui ont du mal à se faire comprendre. Notre époque est dure pour la virilité. Coincés entre des demandes contradictoires, les hommes de l'album ne savent plus quoi faire pour satisfaire des compagnes exigeantes et libres.
Les pénis ont une place de choix, petits, joufflus....comme dans la chanson, ils sont l'objet de tous les fantasmes et des plus délirants. Pour les pratiques sexuelles, tout y passe. Nos personnages ne se contentent pas de faire l'amour, ils parlent aussi, mal, trop, pas assez. Le sexe est une source inépuisable de créativité !
Après, ils en parlent encore et commentent abondamment échecs ou performances. Ces confidences sont une autre occasion de rire.
Les gags se développent essentiellement sur une planche, les chutes sont souvent inattendues.
C'est cru, léger, jamais méchant, souriez ça parle de vous, de nous !
