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Citations sur Les Pardaillan, Bouquins 1 : Les Pardaillan - L'épopée d'.. (21)

– Ce n’est pas de l’anglais, monsieur, fit l’homme avec dédain. C’est du latin. Et ce latin là signifie que la voix du peuple, c’est la voix de Dieu.
– Voilà qui est bon à savoir, dit Pardaillan. Ainsi, en ce moment, c’est Dieu qui crie : Mort aux parpaillots !
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Où est la musique qui pourra jamais traduire le douloureux lamento de la mère qui pleure son enfant perdue !...
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Celui qui porte la parole a toujours quelque responsabilité ; celui qui présente une lettre n’est jamais bousculé que de seconde main.
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méfiez-vous des femmes. La plus douce cache une furie. Leurs cheveux fins sont des serpents qui enlacent et étouffent. Leurs yeux poignardent. Leur sourire
empoisonne.
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Si vous rencontrez un dogue enragé et que le couteau tremble dans votre main, le dogue sera blessé ; mais avant de mourir, il aura eu le temps de vous mordre et vous serez empoisonné ; au contraire, si vous frappez un bon coup jusqu’au coeur de l’animal, vous êtes sauvé.
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Il est facile de tromper un indifférent, mais qu’il est impossible de tromper une femme...
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Paris, mon cher, c’est la grande marmite où les sorcières font bouillir ensemble la bonne et la mauvaise fortune.
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Par exemple, ce qui a vieilli, c’est votre costume ! Dieu me damne ! on dirait que c’est encore la même casaque que vous portiez le jour où vous m’avez si vivement quitté... Pauvre casaque ! Que vois-je ? Un trou au coude gauche... une pièce sur le devant... et des reprises... ah ! ma foi, je renonce à les compter ! Et vos bottes ! vos pauvres bottes ! crient-elles assez grâce et merci !
Mort-Diable ! mais vous portez un éperon en fer et un autre en acier ! Eh ils n’ont même pas la même longueur ! Êtes-vous assez maigre ! Écoutez, j’ai rarement vu cheval mieux réduit à l’état osseux que le vôtre ! Mais vous êtes encore plus parfait que le cheval. Comment faites-vous l’un et l’autre pour accomplir vos étapes ? Mais, lorsque vous allez par monts et par vaux, l’un sur
l’autre, et que le vent s’engouffre à travers les trous que je vois à votre manteau, et que les ombres du soir commencent à vous envelopper tous les deux, on doit sûrement vous prendre pour un fantôme de cavalier chevauchant une ombre de cheval !
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la paix qui est parfois une arme plus redoutable que la guerre
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Premièrement, dit le vieux routier, méfiez-vous des hommes. Il n’en est pas un qui vaille beaucoup plus que la vieille corde qui devrait le pendre. Si vous voyez quelqu’un se noyer, tirez-lui votre chapeau et passez. Si vous apercevez
des truands qui attaquent un bourgeois à un coin de rue, tirez sur l’autre coin. Si quelqu’un se dit votre ami, demandez-vous aussitôt quel mal il vous souhaite. Si un homme déclare qu’il vous veut du bien, mettez une cotte de mailles. Si on vous appelle à l’aide, bouchez-vous les deux oreilles... Me promettez-vous de ne pas oublier ces paroles ?
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