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Critique de PiertyM


Les deux grands adversaires, les deux grands amoureux, les deux grandes personnalités, en déposant un moment, juste un moment, leur ache de guerre, s'offre une nuit d'amour, curieusement ce moment de faiblesse attisera bien plus fort la haine qui les habite. La poursuite de l'autre, ou sa mise à mort, deviendra plus virulente malgré que cette nuit d'amour ait donné un fruit, un être qu'on se demande comment sera-t-il, étant en même temps l'enfant de Fausta et de Pardaillan? Après avoir déjouer les termes de leur chasse à l'homme en France où règne désormais, le roi Henri IV, le huguenot, le Béarnais, les deux amoureux redevenus ennemis vont cette fois-ci se livrer bataille en Espagne sous le règne du roi Phillippe II. Sur ce terrain espagnol, avec un roi sadique et un prêtre inquisiteur D'espinosa, un homme fort rusé , en qui Pardaillan reconnait un adversaire de poigne, de même que D'Espinosa reconnaîtra en notre chevalier un adversaire qu'on souhaiterait à avoir à tout prix près de soi, Fausta arrivera à se frayer un chemin dans ce monde plus ténébreux que celui de la France, où la chaîne de complots va du premier au dernier habitant. Par contre Pardaillan se trouve coincé entre des adversaires redoutables entre les mailles desquelles il arrivera à s'en échapper grâce aussi à des amis qu'il rencontre Chico le nain, Cervantes qui voit déjà en Pardaillan le Don quichotte, César Carlos, le torero, le petit-fils du roi Philippe II qu'il veut à tout prix tué après avoir tuer sa mère et son père qui était son propre fils...

Pour terrasser Pardaillan, Fausta propose finalement à ses alliés une seule issue pour y parvenir: La folie. Il faut le rendre fou. Ça, D'espinosa détient des armes requises pour y parvenir...
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