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Les Pardaillan tome 10 sur 10
EAN : SIE75188_2600
Le Livre de Poche (30/11/-1)
4.3/5   22 notes
Résumé :
La reine s agitait, paraissait vouloir venir se jeter au milieu du débat, apporter à son favori le secours de son autorité de régente. Léonora, plus livide sous les fards que Concini lui-même, poignardait de son regard de feu le petit roi et Pardaillan, cause première de cet esclandre inouï. Et elle excitait sa maîtresse en lui glissant à l oreille, en italien, de cette voix ardente, et sur ce ton d autorité auquel Marie de Médicis, jusqu à ce jour, n avait jamais s... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (2) Ajouter une critique
Pour ce dixième et dernier tome, la guerre des intelligences atteint son paroxysme, d'un côté la grande fausta use de sa malignité, avec bien sur l'aide du roi Phillippe III d'Espagne, pour assassiner le roi Louis XIV afin de mettre sur le trône Charles d'Angoulême, et de'l'autre côté, Pardaillan usera de toute son intelligence de vieil homme pour faire chambouler les projets de Fausta, surtout qu'ils se connaissent bien les stratégies qu'il réussira à persuader Charles d'abandonner sa quête du pouvoir...
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Charles d'Angoulême envisage de s'emparer du trône de son père. Fausta est grandement accueillie à la cour de France en sa qualité d'émissaire du roi d'Espagne. Nous avons vu qu'Odet de Valvert a le même sang noble, fier et bouillant que ses illustres cousins Pardaillan. Il vole donc au secours de sa belle Muguette qui est aux prises avec la Galigaï. L'épouse de Concini fait montre d'une intelligence fourbe et perverse pour assurer à son époux le pouvoir royal. Et, encore et toujours, Jean de Pardaillan, doit affronter Fausta qui n'a de cesse de vouloir l'occire. « N'oublions pas, n'oublions pas un instant que Fausta, dans l'ombre, rôde sans cesse autour de nous, guettant la seconde d'oubli fatal qui lui permettra de tomber sur nous, rapide et inexorable comme la foudre, et de nous broyer. » (p. 56) Comprendra-t-elle enfin qu'elle s'attaque à plus fort qu'elle ? « À chacune de nos rencontres, j'ai voulu bassement, traîtreusement, meurtrir le chevalier de Pardaillan. Et chaque fois, lui, il a dédaigné de me frapper. » (p. 309 & 310) L'ultime rencontre de la princesse Fausta et du chevalier Jean de Pardaillan s'achève dans une formidable explosion à faire trembler les soubassements de Paris. Quelle sera donc leur fin ?

Dans cet ultime volume, Michel Zévaco se garde bien de conclure les intrigues royales : l'Histoire n'a pas besoin de lui pour continuer sa marche aveugle. Mais c'est avec talent qu'il ferme les portes qu'il avait ouvertes pour ses personnages. L'avenir est enfin serein pour les Pardaillan, illustre lignée dont quatre générations ont servi le royaume de France. Et l'auteur réserve même une éventuelle possibilité de retour à l'un de ses protagonistes. Qui sait ? Quand il n'y en a plus, il y en a peut-être encore…
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Citations et extraits (3) Ajouter une citation
Ils firent une centaine de pas dans la Grand-Rue qui, à cette heure, était en effet assez animée. Pardaillan s’était mis à bavarder, à haute voix, de choses absolument banales. Et Fausta, qui, malgré tout, faisait bonne contenance et voulait se montrer bonne joueuse jusqu’au bout, se prêtait complaisamment à la manoeuvre, lui donnait la réplique avec une présence d’esprit, qui prouvait une fois de plus l’exceptionnelle fermeté de caractère de cette femme extraordinaire, et à laquelle, en son for intérieur, Pardaillan rendait un hommage mérité.

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« N’oublions pas, n’oublions pas un instant que Fausta, dans l’ombre, rôde sans cesse autour de nous, guettant la seconde d’oubli fatal qui lui permettra de tomber sur nous, rapide et inexorable comme la foudre, et de nous broyer. » (p. 56)
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« À chacune de nos rencontres, j’ai voulu bassement, traîtreusement, meurtrir le chevalier de Pardaillan. Et chaque fois, lui, il a dédaigné de me frapper. » (p. 309 & 310)
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