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Critique de LiliGalipette


Jean de Pardaillan a évidemment survécu au piège tendu par Fausta et il aide son ami Charles d'Angoulême à retrouver Violetta, son amante disparue. « Cher ami, […] vous êtes le coeur le plus généreux, le bras le plus terrible, l'esprit le plus fécond en ressources. » (p. 91) À la cour, il est plus que jamais question de tuer Henri III et de prendre le trône. Reste à savoir quel comploteur parviendra en premier à cette sinistre fin. Les guerres de religion ne sont pas achevées et il reste au peuple une envie de sang et de massacre. Manipulé et aveuglé par la haine, le moine Jacques Clément, fils d'Alice de Lux, espionne sacrifiée par Catherine de Médicis, pourrait être le régicide que tant attendent. Mais si Jean de Pardaillan se tire toujours des pires faux pas, il est aussi un habitué des sauvetages royaux, tout en gardant un front modeste et un coeur brave.

Fausta, en matière de complots et de machinations, pourrait largement en remontrer à la défunte Catherine de Médicis. Seul l'amour semble pouvoir vaincre et faire plier cette diablesse italienne aux aspirations royales et pontificales. Ce quatrième volume des Pardaillan ne manque pas de souffle et le feuilleton se lit avec avidité et intérêt. À peine achevé ce volume, il est impératif d'attraper le suivant !
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