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Il aura fallu une masse critique de Babelio pour que je renoue avec l'univers de Marion Zimmer Bradley. J'avais lu d'elle, « Les Dames du lac », « Les brumes d'Avalon » et surtout, surtout « La Romance de Ténébreuse ».

Là elle nous emmène avant la naissance du Roi Arthur et explique comment les Dames du Lac sont arrivées dans l'île d'Avalon.

Un bon moment de lecture, qui me donne envie de replonger dans les romans cités précédemment.

Un grand merci à Babelio et aux Editions Pygmalion de m’avoir permis de retrouver l’univers de Marion Zimmer BRADLEY. Marion Zimmer BRADLEY.
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J'entame le cycle de la ré-écriture de la légende arthurienne par Marion Zimmer Bradley avec un récit qui se situe des siècles avant la naissance du Roi Arthur.
Rome a envahi l'ïle de Mona et massacré les druides et prêtresses de ce sanctuaire et généré un fort sentiment anti-romain auprès de la population celte. le soulèvement conduit par la reine celte Bouddhica à la suite de cette tuerie est évoqué.
Pour apaiser les conflits et l'incendie qui menace de la balayer, Rome a accepté que les survivants de l'ancienne religion païenne soient accueillis au Sanctuaire de la Forêt de Vernemeton et placés sous la protection de l'armée romaine.
Le récit se concentre sur l'apprentissage du rôle de prêtresse par la novice Elane, promise à la Déesse Mère. Les moeurs et les rites du peuple celte sont bien représentés. Les rites d'initiation et de confirmation sont bien décrits.
Dans le camp romain, nous rencontrons Gaius, un guerrier promis à un bel avenir au sein de l'armée romaine. Sa rencontre fortuite avec Elane et la dissimulation de son identité lui ouvre les portes d'un monde dont il revendique l'héritage par sa mère, celte. Mais l'ambition de son père romain le place dans une situation conflictuelle entre son amour pour la jeune Elane et son devoir envers sa famille.
En toile de fond, les enfants nés du viol des prêtresses lors de la chute de l'ile de Mona n'ont de cesse de voir l'envahisseur romain repoussé hors de leur territoire et leur nation détruite.
Entre complots, rites celtes et amours maudits, l'autrice brosse un portrait difficile de cette époque.
Le récit finit par en pâtir. Tiraillé entre deux mondes, le comportement de Gaius devient erratique. le revirement des personnages est mal introduit et nuit à l 'attrait du récit.
J'ai trouvé les personnages secondaires très caricaturaux. La famille de Elane est certes malmenée mais je n'ai pas compris l'attitude de sa soeur, entre autre, qui se débat et se noie, tout comme Elane, dans des amours compliqués.
Dans ce récit, l'autrice met surtout en évidence la chute des dernières tribus celtes mais aussi l'effritement des fondations de l'empire romain.
Elle tente une tragédie shakespearienne mais j'ai trouvé que les personnages manquaient de profondeur pour compatir réellement à la cruauté de leur destin.
L'attrait principal de ce roman réside dans la genèse de la mythique Ile d'Avalon et de ses non moins mystérieuses Dames du Lac.
J'ai prévu de lire toute sa saga celte et arthurienne.
J'espère donc que la suite sera meilleure.
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Lors de l'invasion romaine de l'Ile de Bretagne le Sanctuaire des Femmes de l'Ile de Mona fut détruit, les druides massacrés et les prêtresses violées. Les survivants trouvèrent refuge au Sanctuaire de la Forêt à Vernemeton où ils vivent désormais en paix sous le protectorat d'un envahisseur qui se repentit de cet acte ignoble.
Une paix nécessaire à la survie des Brittons, car leurs tribus divisées ne pourraient faire face aux invasions des hordes irlandaises et saxonnes sans l'appui des légions romaines, mais néanmoins fragile, car le vent de la révolte souffle. Les enfants nés des derniers outrages perpétrés sur l'Ile de Mona, le petit peuple, certains druides et prêtresses ne tolèrent plus les exactions de l'envahisseur romain. Une rébellion se forme et s'organise, les tribus divisées par le passé s'unissent pour faire face ensemble à l'oppresseur.
C'est dans ce contexte de guerre imminente que Elane, petite fille du Haut Druide, et Gaius, fils d'une femme d'une tribu Britonne et d'un préfet Romain, voient leur amour contrarié, refusés l'un à l'autre par leurs pères contraints à ne pas répondre aux voeux de leurs enfants par souci de leur offrir un meilleur avenir que celui auquel ils se destinent.
Elane, séparée de l'homme auquel elle s'est donnée en secret lors des feux de Beltane, se décide malgré elle, à rejoindre la Maison des Vierges pour suivre l'enseignement des prêtresses. Gaius, lui, se résigne à épouser la fille du gouverneur romain de Bretagne, ami de son père, afin de s'assurer un avenir dans les hautes sphères du pouvoir d'un Empire Romain alors à son apogée et travailler à la préservation de la paix.
Elane, informée de l'union de son bien-aimé à une autre femme, décide alors de vouer sa vie à la Déesse et de suivre le destin que lui aura révélé par Merlin lors de son initiation. Elle deviendra la Haute Prêtresse et la gardienne de cette paix précaire avant d'être accusée par son peuple de haute trahison.

Je me suis replongée dans l'univers arthurien de Marion Zimmer Bradley avec envie et curiosité. Sans surprise, c'est avec une même passion que j'ai lu La Colline du dernier adieu, prologue au magistral Cycle d'Avalon.
La même magie, la même vague d'émotions, les mêmes sensations et sentiments, Marion Zimmer Bradley a le don de me faire vibrer, de m'émouvoir, de me faire rêver. Néanmoins je n'ai pas été saisie par l'histoire d'amour contrarié des deux personnages principaux comme j'ai pu l'être par ces mêmes récits envoûtants et tragiques lus, il y a un peu plus d'une décennie maintenant, lorsque j'ai découvert le Cycle d'Avalon. Je n'en suis pas restée indifférente loin s'en faut, j'en ai été charmée mais j'ai été surtout enchantée par l'histoire de ces femmes de pouvoirs, prêtresses au don de voyance et au rôle déterminant dans la préservation de la paix avec le colonisateur romain.
J'ai été touchée par ces femmes respectées au rôle déterminant mais surtout déterminé, contraintes à suivre le destin que leur réserve(rait) la Déesse Mère et résignées à ne pas mener la vie qu'elles ont pu désirer ; par ces femmes à la fois libres et prisonnières d'un destin présumé écrit ; par ces femmes influencées par un ordre druidique en proie à l'incertitude entre le maintien de la paix ou le soutien à la rébellion face à l'occupation romaine ; par ces femmes soumises à consentir aveuglement à d'immenses sacrifices incompris et jugés par leurs pairs comme des actes de trahison ; par ces femmes qui parfois deviennent perfides, apprennent la haine qui les conduit à la traîtrise ; par ces femmes fortes, aimantes et attachantes qui forcent l'admiration ; par ces femmes qui donnent jusqu'à leur vie pour que leur croyance et la Vérité survivent.
La vie et le combat de ces prêtresses m'ont enchantés au point que je continue mon immersion dans leur univers avec les plus célèbres d'entre elles : Les Dames du Lac. Ainsi je me replonge dans le Cycle d'Avalon…
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La colline du dernier adieu ou Comment les prêtresses de l'ancien rite breton sont arrivées sur l'Ile d'Avalon (là où elles deviendront Dames du lac), au temps où l'empire romain colonisait la Grande-Bretagne et où le christianisme naissait.
Dans les premières pages, il y a eu l'enthousiasme de retrouver un univers aimé (j'ai lu et relu Les Dames du lac), puis un ventre mou, l'impression d'une écriture un peu différente de mes souvenirs (l'effet d'une autre traduction ?), et une fin prenante à partir du moment où j'ai fait le lien avec ce que je connaissais de la suite. Au final, le verdict est une lecture plaisante qui complète ma bibliothèque.
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Avec La colline du dernier adieu, Marion Zimmer BRADLEY remonte encore un peu le temps et se place cette fois-ci juste avant les évènements décrits dans la première partie du Secret d'Avalon, dans laquelle on trouve d'ailleurs de nombreuses références au présent roman, ainsi que quelques personnages.
Mais cette fois-ci l'intrigue a pour cadre le sanctuaire de Vernemeton, situé un peu plus au nord que celui d'Avalon. Il est le lieu où s'affrontent le colonisateur romain, alors encore à son apogée, et les tenants du culte de la Déesse-Mère, défendu par les druides et les prêtresses, divisés dans l'adversité. C'est dans ce contexte qu'une tragique histoire d'amour entre un romain et une prêtresse aura pour conséquence de préparer les évènements qui se dérouleront dans les siècles à venir.
On pourrait donc croire qu'à ne pas s'arrêter de remonter le temps, Marion Zimmer BRADLEY finirait par s'essouffler, tourner en rond et nous inspirer l'ennui. Il n'en est pourtant rien, l'auteur renouvelant une fois plus son intrigue et maintenant la qualité de son écriture à un haut niveau. Elle nous offre donc ici un nouveau grand plaisir de lecture dont il serait dommage de se priver.
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Marion Zimmer Bradley, ce nom résonnait doucement dans ma tête. La grande série des Brumes d'Avalon et Les dames du lac ont fait vibrer mon adolescence. Alors quand Babélio a proposé la lecture de la colline du dernier adieu, je n'ai pas hésité bien longtemps, ce nom étant pour moi une valeur sûre... Alors soit c'est moi, soit c'est le roman, mais un de nous deux a mal vieilli, c'est clair car je me suis passablement ennuyée pendant toute ma lecture. Partenariat oblige, je suis allée au bout tout en sachant pertinemment la fin prévue pour le couple mis en place.

Cette histoire se situe avant Les dames du lac et nous conte les origines des prêtresses d'Avalon, bien avant qu'elles viennent s'installer dans l'île sacrée. Ici elles sont dissimulées dans la forêt de Vernemeton depuis que les romains ont commis le sacrilège suprême sur l'île de Mona : ils y ont assassinés tous les druides et violés toutes les prêtresses. C'était il y a une vingtaine d'années. Depuis les druides restant tentent de vivre en harmonie avec l'envahisseur pour préserver la paix, chacun enfouissant les exactions de l'autre camp. L'île de Mona pour les Brittons, le massacre perpétré par Boadicée (Boudicca ♥) pour les Romains. Mais c'est sans compter sur les Corbeaux noirs, tous ces jeunes gens nés du viol d'alors. Voilà pour le côté historique.

Pour le côté intrigue, il n'y en a guère. le fil rouge sera l'amûûûr impossible de deux personnages que nous suivrons tout du long du roman. Mais cet amour je l'ai trouvé bien plat, mièvre, malgré toutes les épreuves que l'auteur mettra sur leur chemin. Deux jeunes se débattant pour s'affranchir du tissu social qui est le leur, de l'emprise paternelle ainsi que des traditions familiales, des préjugés racistes ambiants.

Elane est Brittone, fille de druide. Gaius est Romain, fils d'un préfet de région. Leur amour désapprouvé par les parents des deux côtés, Elane va donc se vouer au culte de la Déesse. En deuxième choix. Ces personnages principaux ne m'ont particulièrement pas touchée et au final leur histoire d'amour m'a plus énervée qu'autre chose. Je subissais cette trame imposée par l'auteur et bien trop présente dans le récit. Ils m'ont paru inconsistants, sans aucune substance.

Mais bon, il y a quand même un côté qui m'a plu dans ce roman : découvrir le fonctionnement de ce culte, la formation des prêtresses ainsi que toutes les connaissances qu'elles doivent acquérir avant de prononcer leurs voeux. La magie qu'elles manipulent, le don de double-vue. Tous ces rites celtes étroitement liés aux différentes phases de la lune, aux saisons. Ça c'était sympa, mais loin d'être suffisant pour en faire une lecture agréable.

Bref une lecture qui ne m'a pas convaincue malgré une écriture fluide et quelques passages intéressants. J'ai trouvé l'ensemble bien fade et sans ressorts, il m'a été pénible d'aller jusqu'au point final. Autre détail qui m'a franchement irritée, c'est cette phrase écrite en gros sur la quatrième de couv : « Quand Merlin, déjà, agissait dans l'ombre... ». Marketing mensonger ! Sa présence dans ce volume est plus que fugace et en plus traitée au conditionnel...
Lien : http://bookenstock.blogspot...
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Des années que la saga de Marion Zimmer Bradley me fait de l'oeil. Mais toujours réticent pour deux raisons au moins : la première, les retours critiques sur une traduction tronquée qui tient plus de l'adaptation en langue française ; la seconde, l'intégralité des huit tomes ne sont pas traduits en français. Au bout du compte, j'ai fini par me lancer dans les quelques tomes français récents à ma disposition avec comme choix d'ordre de lecture la chronologie des évènements.

« La colline du dernier adieu » se déroule bien avant la naissance d'Arthur sur des terres où druides et romains s'affrontent pour la souveraineté. L'ordre romain nouveau, force invasive, tente de soumettre les tribus ancestrales de l'île de Bretagne qui ne reconnaissent que la Déesse.

L'ensemble de la narration est porté par la vie tumultueuse d'un couple qui n'est pas censé s'aimé. C'est l'amour interdit classique car chacun appartient à un camp opposé. de leur rencontre à leur mort, on suit Elane et Gaïus dans un roman où règne les conflits.

Mon intérêt a été piqué par vague mais dans l'ensemble j'ai eu du mal à vibrer pour cet amour toujours contrarié. Il est intéressant de voir tout le développement autour des cultes ainsi que de l'opposition que cela génère mais le tout est un peu long d'autant que, sans avoir encore lu la base de la saga, « Les dames du lac » - qui se trouve en plus être le huitième et dernier tome dans la chronologie -, j'ai eu du mal à créer du lien.
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C'est une histoire digne d'un grand drame antique ou d'une pièce de théâtre de Shakespeare : passions amoureuses et trahisons, luttes de pouvoir où se mêlent politique et ambitions personnelles. le tout sur fond d'Histoire et d'occupation de l'antique Angleterre (la Bretagne) par les Romains tandis que l'intrigue oscille entre réel et surnaturel...

Le roman sème les premières graines de la légende arthurienne, de la quête du Graal, des Dames d'Avalon. Merlin, Joseph d'Arimathie et l'Ile des Pommes sont à peine évoqués, mais on trouve déjà les grands thèmes de l'opposition entre les religions, entre hommes et femmes, entre peuples autochtones et envahisseurs, entre partisans de la paix et partisans de la lutte armée.
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M'étant lançée dans la célèbre série de Marion Z. Bradley "Les Dames du Lac", j'ai également voulu poursuivre ma lecture avec ce livre "La Colline du Dernier Adieu", livre antérieur au récit de l'Ile d'Avalon et du Roi Arthur.
En toute franchise, je ne suis pas déçue du livre mais je m'attendais à mieux, à plus de magies, de sortilèges, d'enchantements. De la magie ou autre chose, je ne sais pas, mais je n'ai pas retrouvé cette étincelle comme dans les Dames du Lac. Quand on me dit "prêtresse d'Avalon ou de Vernemeton", je pense aux ensorcellements, aux sorts, là dans ce livre c'est très peu présent. Ce n'est pas non plus "prêtresse fanatique" que j'attendais. Je ne partage pas toujours la vision des prêtresses de l'auteure. L'univers, les personnages ici, y sont moins attachants.
Ce livre est une sorte de Roméo et Juliette revisité, à la sauce romaine cette fois. Le livre, le récit, la fin est tragique!
Attention spoils !!!

Les deux héros principaux meurent, je ne sais pas si ça été utile, je ne sais pas si l'auteure l'a fait exprès. Je n'ai pourtant pas versé de larmes à la fin, quand Elane et Gaius succombent. Venons-en à l'histoire : c'est l'histoire d'une jeune fille, Elane, douce et belle comme la clarté de la lune, fille d'un druide et petite-fille du haut-druide. Nous sommes à l'époque des Romains et des Brittons, où deux religions se heurtent fièrement. Il y a aussi la nouvelle religion : celle des Chrétiens. La religion britonne est fondée sur le sanctuaire de la Forêt, la Maison des Vierges, l'Ile de la Déesse. Cette religion est composée de prêtresses qui ont fait vœux de chasteté et se vouent corps et âme à la Déesse, une sorte de divinité suprême. Il y a également des prêtres et des druides. J'ai vraiment trouvé de ce côté-là que l'auteure en faisait beaucoup trop! Les prêtresses et les druides sont littéralement des fanatiques, obsédés par leur divinité "Oh ma Déesse...Déesse, entends-nous!" Marion Z. Bradley exagère trop! Ça en devient lourd même et je m'en suis lassé! C'est exaspérant! Bref, revenons à nos moutons. Elane et son amie Dieda, une parente, se promènent un jour près de la fosse aux sangliers. Elles trouvent dans la fosse un homme blessé. Elles le sauvent, sans savoir que c'est un romain! C'est en fait Gaius, le futur amant d'Elane! Les Romains et les Brittons sont très mal vus ensemble car jadis, les Romains avaient massacré les prêtresses sur l'île de Mona. Depuis, ils ont fait la paix. Gaius, donc, sauvé et soigné par la famille d'Elane prend l'identité de Gavain pour ne pas s'attirer des soupçons. Ce nom, Gavain, est en réalité le nom donné à sa naissance par sa mère, une britonne. Peu à peu, Gaius et Elane se rapprochent et finissent par tomber amoureux. Gaius retourne auprès de son père Macellius, le préfet de Déva. Gaius veut revoir Elane. Quant à cette dernière, son destin va croiser celui de la Déesse. Gaius décide de revoir son aimée en cachette et lui annonce qu'il veut l'épouser. Mais c'est sans compter sur le refus catégorique de Macellius et de Bénédig, père d'Elane, quand ils apprennent la nouvelle. Une britonne ne peut épouser un romain, ce serait un blasphème. Contrainte de vivre sans l'être qu'elle chérit, Elane choisit donc de devenir une prêtresse au sanctuaire de la Forêt, sous le joug de Liana, la Haute Prêtresse et Kellen, son assistante.
Gaius, quant à lui, est éloigné d'Elane par son père et suit sa carrière militaire. On suit donc l'odyssée des deux jeunes héros, à travers les landes perdues et des paysages sauvages.

Personnellement, comme cité précédemment, j'ai bien aimé ma lecture mais je m'attendais à mieux! Je m'attendais à plus de magies, de fantastique! Les personnages sont moins attachants que dans sa série les Dames du Lac. Je n'ai pas du tout aimé Dieda, toujours énervante et arrogante au plus haut point, qui ne cesse de se rebeller, de répondre et d'être en confrontation avec Elane. Elle m'a saoulé. Je n'ai pas non plus aimé Liana, austère et sévère mais j'ai par contre aimé Kellen. Kellen, son assistante, même si c'est un personnage secondaire, joue un rôle très important auprès d'Elane et des siens. Elle est vraiment bienfaisante. J'ai bien aimé Gaius, Macellius, un peu Elane, mais Ardanos et Kérig bof...Ils auraient du être plus travaillés selon moi. Ils sont pour moi de simples personnages de papiers, rien de plus. Ils sont tous superficiels. La fin est tragique! Gaius meurt calciné aux côtés d'Elane qui est comme foudroyé par la Déesse. En somme, un roman pour se distraire qui ne vole pas très haut.

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N'ayant pas forcément bien compris l'ordre des romans du cycle d'Avallon de Marion Zimmer Bradley, j'ai lu La colline du dernier adieu après Les dames du Lac. Les deux oeuvres fonctionnent de façon complètement indépendante, car situées à des époques différentes, ce qui ne m'a donc pas gênée.

En revanche, comme Les Dames du Lac m'a paru meilleur, j'ai été légèrement déçue par la La colline du dernier adieu. Ce n'est pas un mauvais roman, avec son émouvante histoire d'amour impossible et sa plongée dans l'univers des celtes d'outre Manche à la fin de l'Empire romain. Mais peut-être manque-t-il d'un portée un peu plus large au final.
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Fille de Ygerne et de Gorlois, Duc de Cornouailles, je suis l'enseignement des prêtresses de l'Ile Sacrée d'Avalon pour succéder à ma tante Viviane, la Dame du Lac, je suis (la Fée):

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