Un 4è tome bien en dessous de ce que j'espérais et tellement long à démarrer.
Bien évidemment c'est dans celui ci que
Zola aborde la religion qui reste l'objet de toute manipulation pour arriver à ses fins en politique.
Des personnages où l'en entrevoit beaucoup de mesquineries, des cancans de villages, des chefs de famille comme Mouret qui est tout à fait le cliché de l'époque à laquelle la femme reste à la maison, soumise à ses occupations de ménagère.
Zola l'a très bien décrit d'ailleurs, et en abordant aussi le thème de la consanguinité avec Marthe, la cousine germaine avec lequel elle s'est mariée.
Autant de longueurs dès le début du roman avec leurs histoires de curé ne m'ont pas vraiment intéressée, je dois avouer, avec tous ces moutons qui ramperaient au sol sous prétexte de leur faire avaler toute la supercherie de la religion à leur insu... J'ai bien souri...
Enfin au fil des pages c'est un peu plus actif et la fin s'annonce puissante, la folie meurtrière étant le principal atout de ce roman.
J'appréhende le prochain tome, la faute de l'abbé Mouret, je crois que je vais attendre un certain temps...