AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,64

sur 816 notes
Saisissant, époustouflant, flippant, stressant, je n'ai pas assez de mots pour définir ce que j'ai pu ressentir en lisant ce livre. Attention, on devient vite addict, une fois commencé, j'ai eu du mal à arrêter de livre. J'ai aimé le côté un peu "trash" de Sqweegel, donc "âme un peu sensible" s'abstenir! Il n'a vraiment aucune limite dans sa "folie", rien ne l'arrête. Sa dernière mission est superbement bien ficelée, il a pensé à tout. Et sa/ses dernières victimes choisies sont telles des pantins dans un jeu. Elles ne sont pas là par hasard. Que dire de Steve Dark, j'ai adoré son personnage, mystérieux et si fragile à la fois. Il va une nouvelle fois entrer dans le "jeu" de Sqweegel et va se brûler les ailes à nouveau. J'ai aimé les liens http://level26.com/ que l'on trouve à la fin de quelques chapitres pour pouvoir visionner des vidéos en rapport avec ceux-ci. Je ne l'ai pas fait pendant la lecture car je voulais m'imprégner totalement dans mes pensées et mon ressenti. Mais je vais le faire à présent que j'ai terminé ce livre. Pour moi, Level 26 est un véritable petit bijou psychologique!
Lien : http://chezcookies.blogspot...
Commenter  J’apprécie          50
Efficace, tel est le premier mot qui me vient à l'esprit quand je pense à Level 26. Non pas qu'il s'agisse d'un roman extraordinaire par son originalité, je me rends bien compte que ce n'est pas le cas, même si je ne suis pas experte dans le genre thriller ou polar. Mais je me suis laissée emportée, et les vidéos proposées en parallèle du livre n'y sont pas pour rien.

En effet, une vingtaine de séquences sont disponibles sur le site www.level26.com dont l'accès est soumis à la saisie de mots de passe que l'auteur nous communique au fur et à mesure. Encore une fois, ce n'est pas du grand cinéma, mais Sqweegel, le tueur, m'a littéralement terrifiée, et c'est en grande partie grâce à lui que je suis rentrée si facilement dans cette histoire. Avec sa combinaison blanche, ses contorsions et... sa perversion, tout simplement, c'est le grand frisson. Niveau 26 !

Certains reprocheront sans doute à Anthony E. Zuiker une intrigue somme toute assez prévisible, et des vidéos qui freinent l'imagination du lecteur sans rien apporter d'essentiel, ni même de nécessaire puisqu'on peut fort bien s'en passer. C'est vrai que le coup du tueur et de l'agent du gouvernement obsédés l'un par l'autre, on l'a déjà vu et revu. C'est vrai aussi que, quand on a une tête à mettre sur un nom, il est difficile d'en imaginer une autre.

Il n'empêche, tout est une question d'ambiance, et de ce point de vu là, je trouve que l'association de ce texte écrit un petit peu comme une série télé et des vidéos correspondantes est réussi. Sans être une pépite de part son style ou son originalité, Level 26 est un petit livre sympathique qui se lit presque tout seul. Un agréable moment de lecture pour moi, sans prise de tête.
Lien : http://etemporel.blogspot.fr..
Commenter  J’apprécie          50
L'idée était séduisante, le concept original : combiner l'écrit et l'image sur une histoire bien sombre.
Au final... un roman écrit dans un style plus proche de la prose d'un adolescent que d'un écrivain (on ne devient pas écrivain du jour au lendemain parce qu'on le décide) et une histoire somme toute assez banale.
Mais le pire, ce sont les séquences filmées qui accompagnent le bouquin : risibles, mal filmées, mal jouées, bourrées de stéréotypes (je suis fan de séries TV, ça renforce mon énervement).
Un produit purement marketing.
Commenter  J’apprécie          51
Avis mitigé pour ce roman, d'une certaine manière j'ai bien aimé le personnage de Dark qui est très charismatique, torturé j'ai aimé sa façon de penser, j'ai bien aimé Riggins aussi. Pour le reste c'est quand même un gros bof. Cette histoire est un concentré de tout ce qu'on peut trouver de gore dans une mauvaise série télé, une mise en scène digne des experts et pour cause sauf que du coup j'ai pas vraiment adhérer. Il y a un trop plein, trop sur le passé de Dark, trop sur le tueur, trop d'éléments de torture, un surajout qui fait souffler. Apres ça se lit vite, j'ai souvent levé les yeux au ciel mais par contre j'ai bien aimé le lien avec les vidéos ca rajoute un peu petit plus. Je lirais la suite pour savoir ce qui va arriver à Dark et ses amis mais pas pour la qualité du scénario.
Commenter  J’apprécie          40
J'ai tout d'abord été attirée par l'auteur : le créateur de la série " Les experts". je ne suis pas fan de cette série, principalement à cause de son manque flagrant de réalisme.
Et bien, ce défaut se ressent totalement dans ce livre. Je n'ai pas du tout aimé, le côté livre multimédia, ne fonctionne pas, cela n'apporte rien au livre.
L'intrigue était pourtant original: des tueurs classés selon leur dangerosité, un tueur pire que tous, mais cependant, c'est poussé à l'extrême. J'ai envie de dire " Trop c'est trop".
Je suis un peu blasée des romans ou il y a toujours " le pire tueur psychopathe que le monde ait connu bla bla bla..." le récit manque incroyablement de réalisme, on n'y croit pas, sans s'y connaître forcément en criminologie, on comprend totalement qu'on nous mène en bateau.
Je me suis forcée à lire le livre I jusqu'au bout, mais je n'ai pas lu les autres. Ce livre n'a pas d'intérêt pour moi, les personnages sont trop loin de nous pour pouvoir ressentir quoique ce soit, le contexte est banal....Bref, ce livre est aussi soporifique et plat que la série " Les experts".
Commenter  J’apprécie          41
J'ai vraiment pris du plaisir à lire ce livre, même si j'ai plus l'impression au final de lire un scénario d'un épisode des experts plutôt que de lire un roman. Mais son manque clair d'originalité vous fera rapidement passer à autre chose.
Lien : http://leclatdesmots.eklablo..
Commenter  J’apprécie          40
Un livre écrit de la main d'un auteur des Experts ? Inutile de vous dire que je me suis jetée dessus ^^. Avant votre lecture, ce livre vous promet : de l'horreur à vous glacer le sang, de l'action et du frisson. Promesse tenue et un seul mot pour le décrire : GÉNIAL !

Dans la pyramide de dangerosité des criminel, le Level 26 – appelé Sqweegel – obtient la palme d'or c'est donc le plus dangereux. Pourquoi me demandez-vous ? Il n'a ni mode opératoire, ni victime potentielle et ne laisse AUCUNE trace de son passage. C'est donc Steve Dark qui s'est promis de l'arrêter car Sqweegel a massacré sa famille.

Ce livre obtient son premier bon point grâce à son innovation : des passages sont disponibles grâce à des codes – qui sont dans le livre – sur Internet. Personnellement, je n'ai regardé aucune de ces vidéo, mais certaine critique dénonce la petite qualité des vidéo ou carrément leur inutilité. Son second bon point est dû au suspens et à l'horreur présents tous le long du bouquin. Pas une minute d'ennuis c'est assez bien ficelé et notre moral en prend un coup. Comme je le disais sur ma chronique précédente – celle de Misery – c'est le premier roman à m'avoir donné des cauchemars ! Rien n'est épargné aux intrépides lecteurs : de l'horreur, du sanglant et du morbide. le Level 26 pousse au plus loin sa folie et son audace.

Level 26 souligne les traits fou de son plus dangereux assassin. Dommage qu'il y ait peu de descriptions à son sujet – il doit être assez intéressant d'entrer dans la tête d'un psychopathe -, par contre Steve Dark est plus décrit, plus travailler. Je vous préviens d'avance : une fois commencer dur dur de s'arrêter ! Je me pose toujours une petite question … Est-ce que folie est apparenté à intelligence suprême ?
Commenter  J’apprécie          40
Les parisiens n'ont même plus besoin d'introduction concernant ce bouquin… le métro a croulé d'affiches le concernant. le créateur des Experts (Anthony Zuiker) revient pour un nouveau frisson policier mais cette fois-ci en livre. le level 26, c'est le plus haut niveau de criminalité atteint pour un tueur (selon la classification américaine). du moins, ça l'est depuis que « Sqweegel » sévit. Il est insaisissable, inimaginablement cruel et sadique et un seul être peut l'attraper : Dark (il porte bien son nom celui-là).

La particularité de ce roman, c'est qu'il s'agit d'un « digiroman« . Vous avez donc, au cours de votre lecture, des mots-clés a entrer sur le site internet du roman (www.level26.com) pour avoir accès à une séance vidéo. le roman, quant à lui, ne casse pas trois pattes à un canard mais à la particularité de se lire très vite. On oublie toute notion de littérature et encore plus style et vous avez Level 26. Au moins, ce n'est pas prise de tête… le récit est également agrémenté d'illustrations de Duane Swierczynski qui sont d'ailleurs très sympa dans leur style.

Pour ce qui est de la partie « digitale » l'idée est bonne sans être extrêmement originale. le site dédié est plus que mal foutu. Vous devez vous connecter et donner accès à vos informations de boîte mail pour avoir le droit de jouer le jeu (vive les boîtes mails dédiées au spam, pour ça c'est parfait) et après avoir réussi l'inscription faut-il encore s'y retrouver. Les totaly frenchy auront du mal puisque le site est traduit seulement (très) partiellement. Pour les vidéos, seules une ou deux n'ont pas de sous-titres (pour trois mots, ça ne valait sans doute pas le coup).

En plus de tout cela et question de rajouter une petite couche à notre histoire, les vidéos n'apportent pas grand chose voir parfois vraiment rien ! C'est assez consternant de se rendre compte qu'il fallait faire du « remplissage » à moindre frais un « pont virtuel » pour montrer au lecteur/spectateur une page web défiler sur une vidéo format miniature. Outre la médiocrité de certaines vidéos, j'ai été atterrée par l'acteur principal (le fameux Dark) que je trouve particulièrement mauvais (ça casse un peu l'ambiance).

Et puis, il faut bien l'avouer, une fois que vous avez mis un visage sur un personnage votre imagination a foutu le camp et vous vous retrouvez à penser aux personnages comme aux acteurs que vous venez de voir. Un livre, c'est avant tout un moyen de développer une partie de son imaginaire et là, c'est massacré dans l'oeuf !

En bref, un roman relativement mal écrit mais qui se lit tout seul et passe bien le temps. La crédibilité de l'histoire peut souvent être remise en cause, mais bon. Mais globalement, ça passe comme une lettre à la poste un jour d'été où votre facteur est motivé pour finir sa tournée. le côté « digi »-roman n'apporte vraiment rien. Alors, pour ceux qui n'ont pas de clé 3G intégrée à leur montre Parker-Lewis pour voir les vidéos de n'importe où, passez-vous en ! 13/20 pour le roman 8/20 pour le côté interactif (et je rajoute des points pour les quelques têtes d'Alias [Kevin Weisman] et de 24 Heures Chrono [Glenn Morshower] que l'on retrouve avec plaisir) !

Lien : http://www.cappuccino-time.f..
Commenter  J’apprécie          40
J' ai donné une étoile et c'est bien payé.Je ne comprends pas que ce roman figure sur un fascicule gratuit conseillant les choix de polars et thrillers.C' est racoleur et très mal écrit à plusieurs mains par des scénaristes de mauvais feuilletons style "les experts."......etc .Ca ressemble exactement à un roman bricolé à partir d'un scénario.Le côté novateur intéractif ne rattrape pas l'extrême médiocrité de l'"oeuvre".Je suis heureux de l' avoir emprunté à la bibliothèque municipale et non acheté.
Commenter  J’apprécie          40
Il n'existe aucun tueur de l'envergure de Sqweegel, classé au niveau 26. Ce contorsionniste dément est enveloppé d'une combinaison en latex ce qui ne laisse aucune trace. « Il est capable de se dissimuler dans le plus infime recoin et d'attendre avec une patience inhumaine que sa victime soit distraite ou endormie. C'est alors qu'il se glisse hors de sa cachette et attaque avec une violence inouïe » Son obsession c'est de punir les gens pour leurs péchés car il se sent obligé de laver l'âme du monde.
Sqweegel fait une fixation sur Dark, agent du DAS, qui le poursuit depuis des années. Dark est un chasseur qui pense, agit comme les serial killers qu'il traque.
Dark mérite le châtiment suprême. Sqweegel a tué ses parents adoptifs et s'attaque à la femme qu'il aime.
Lu en quelques heures, j'ai dévoré les chapitres. Une écriture très visuelle, rapide, où les scènes s'enchaînent efficacement. le but en ce qui me concerne est atteint. J'ai hâte de commencer le suivant.
Je n'ai pas éprouvé le besoin d'aller sur le net visionner les films, j'aime assez le contact du livre dans les mains, le fait de tourner les pages. Il m'arrive bien sûr de voir les films tirés des livres mais je n'ai pas l'habitude de mélanger les genres.
Commenter  J’apprécie          40




Lecteurs (1986) Voir plus



Quiz Voir plus

Retrouvez le bon adjectif dans le titre - (6 - polars et thrillers )

Roger-Jon Ellory : " **** le silence"

seul
profond
terrible
intense

20 questions
2864 lecteurs ont répondu
Thèmes : littérature , thriller , romans policiers et polarsCréer un quiz sur ce livre

{* *}