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3,64

sur 816 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Sympathique,

Bon polar. L'intrigue est très prenante, le tueur en série est effectivement un des pires du genre et l'auteur vous accroche dès les premières pages et ne vous laisse aucun répits jusqu'à la fin du livre.

Beaucoup de suspens, pleins de rebondissements et une histoire très bien ficelée.

Attention néanmoins à ce concept de regarder des petits films en cours de lecture, c'est tellement mal fait que ça gâche totalement la lecture et ça enlève la beauté de tous l'imaginaire que vous développez dans votre esprit. Je vous garanti que vous trouverez tous les personnages bien moins charismatiques en regardant ces vidéos qu'en les imaginant.

J'ai donc très vite cesser de regarder ces vidéos et j'ai dévoré le livre sans que cela pénalise la lecture, bien au contraire. Je vous conseille donc vivement de faire l'impasse sur celles-ci pour profiter pleinement de cette histoire passionnante.

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Vu que j'aime beaucoup la série télévisée des Experts, j'avoue que j'étais à la fois curieuse et impatiente de savoir ce que ce genre d'histoire allait donner à l'écrit.
Et… je n'ai pas été déçue !
L'histoire est très prenante, et le style d'écriture très simple et direct nous emporte de suite dans l'univers de Steve Dark, le policier, et surtout celui du tueur sadique qu'est Sqweegel.

Les deux sont liés puisque Sqweegel est un tueur hors norme, classé en ‘Level 26' sur une échelle à 25 niveaux, et parmi ses crimes plus odieux et ignobles les uns que les autres, il a massacré la famille de Dark, faisant de ce dernier un homme brisé ayant quitté les forces de l'ordre.
Sauf que ce dernier va être en quelque sorte forcé à reprendre du service et poursuivre Sqweegel.

On sent vraiment le côté ‘filmographique' de l'histoire, et avec les dessins de début de chapitres et les vidéos disponibles sur Internet, on a une touche originale pour cette histoire.
Pour ma part je n'ai pas regardé les vidéos au cours de ma lecture (je ne lis pas à côté de mon ordinateur), mais ça ne m'a pas gênée pour la compréhension et le suivi de l'histoire.

Si ce n'est pas le livre le mieux écrit que j'ai pu lire, ce n'est pas le pire et il a le mérite de nous garder en haleine du début à la fin.
On a droit au suspens, aux scènes gores et glauques, à des scènes plus cocasses entre les personnages aussi, histoire d'avoir un peu de légèreté quand même !

Les personnages m'ont assez plu, Tim Riggins et Steve Dark (l'ancien chef et l'ancien subordonné) qui sont le moteur de cette histoire sont assez bien travaillés, et on en apprend pas mal sur eux et leur façon de faire, leur psychologie.
J'ai quand même été déçue quant au personnage de Sqweegel, j'aurai aimé en apprendre plus sur lui.

Globalement c'est un livre qui ravira les fans du genre, à déconseiller aux âmes un peu trop sensibles tout de même, mais qui rempli bien son rôle.
De plus la fin promet encore du suspens pour la suite, et j'avoue que je me laisserai surement tenter par les tomes suivants !
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Anthony E. Zuiker, plus connu pour son rôle scénariste et producteur des Experts que pour sa plume, parvient tout de même à composer un thriller qui tient la route.
Les deux principales qualités de Level 26 sont les personnages et les détails donnés sur l'enquête et les procédures policières. Sur ce dernier point, on se doute que Zuiker est bien renseigné : s'il souhaite que les épisodes des Experts tiennent la route, il a effectivement intérêt à connaître certains détails qui rendront les enquêtes des acteurs plus réalistes.
AU niveau des personnages, ma préférence va à Riggins. Cynique à souhait et totalement désillusionné quant à son métier, cet agent est pourtant assez sympathique et son humour (noir, certes) allège plus d'une fois un récit qui, sans lui, serait peut-être trop sombre.
Steve Dark, même s'il n'est pas aussi sympa que son supérieur, est également un agent intéressant. C'est le prototype du flic torturé, hanté pas son passé (c'est d'ailleurs le cas de la plupart des enquêteurs dans tous les polars) et souhaitant abandonner son métier, sans pourtant y arriver. Ajoutez à tout cela une fin de roman qui laisse présager des révélations sur le passé de Dark et vous aurez cerné le personnage.
Sqweegel, le serial killer poursuivi par la DAS (Division des Affaires Spéciales) est quant à lui un autre prototype : celui du monstre insaisissable. Doté d'une patience quasiment inhumaine et d'indéniables qualités de contorsionniste, Sqweegel semble presque inhumain.
Il y a, bien sûr, quelques clichés dans ce thriller. Certains passages semblent presque incroyables, notamment quand il est question des capacités de Sqweegel. Mais comme j'aime bien les polars et thrillers un peu gores, je dois avouer que celui-ci est parvenu à me plaire.
D'ailleurs, j'enchaîne directement avec le second tome.
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Hautement originale, sanglante, horriblement effrayante, une histoire à faire pâlir de jalousie les plus grands succès de Stephen King. Ce premier tome de la trilogie Level 26, aussi surprenant soit-il, m'a entièrement conquise.

La boule au ventre, les larmes aux yeux... voilà ce que je recherche tant dans tout bon thriller. Anthony Zuiker, à l'origine scénariste et producteur de la série télévisée des Experts, connaît les fils du métier, sait comment terrifier tout un chacun. Mélangeant des scènes de crimes sanglantes et inexpliquées à une atmosphère lourde et oppressante, il fait planer dans l'air une obscurité permanente. A partir de ces premiers éléments de base, il rajoute une bonne dose de mystère dans son récit, qui deviendra la clef centrale de l'histoire, l'énigme à résoudre.
Avec un criminel masqué, un inconnu cruel, qui semble venu d'ailleurs, l'auteur ancre définitivement le thème de son roman dans la dangerosité, la cruauté et l'horreur.

Pour rajouter davantage de terreur dans ses scènes, Anthony Zuiker, en tant que bon créateur télévisuel, a eut l'idée nouvelle de mettre en place une interraction entre les personnages inanimés du livre et des scènes filmés avec de vrais acteurs. Nous pouvons donc suivre chapitre par chapitre des extraits correspondants aux actions du livre, disponibles sur le site officiel du roman, Level26. Certaines descriptions du livre accordés avec les êtres humains de chair et d'os des vidéos rend plus vivant le récit, et appose sa dose d'effroi supplémentaire.

Le second tome attend déjà d'être lu, sagement rangé dans ma biliothèque. J'ai hâte de découvrir le soupçon de nouveauté que nous réserve l'auteur. le dénouement du premier tome aurait pu marquer la fin de l'histoire, mais les quelques lignes qui clos celui-ci laisse présager bien d'autres mystères.

N'ayez pas peur d'accéder à vos peurs les plus profondes, ne craignez pas l'homme du niveau 26, et foncez découvrir l'horrible histoire tout droit sortie de l'imagination d'Anthony Zuiker. Pour ma part, après avoir frémi durant une bonne partie du roman, je n'ai plus qu'une envie : me replonger dans l'univers si sombre de cette fantastique trilogie.
Lien : http://addictbooks.skyrock.c..
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Un tueur en série d'un nouveau genre (de niveau 26 sur une échelle de 25…) sévit à travers le monde depuis plusieurs années. Il ne laisse aucune trace et aucun service n'a jamais réussi à l'approcher. Quand il s'attaque à un proche de la Maison Blanche, cela devient politique et le ministre de l'intérieur met la pression sur le service en charge de ce genre de tueur, afin qu'une réponse définitive soit apportée au problème. Mais cela exige de forcer un agent spécial, le sombre Dark, à reprendre du service alors qu'il arrive tout juste à se remettre d'un drame qui l'a anéanti, et qu'il est en train de fonder un foyer.
Voilà en substance l'intérêt du livre, qui est mené tambour battant autour de ce meurtrier très intelligent et (surtout) très cruel. Je dirai qu'en dehors de sa particularité - son niveau 26 sur une échelle de Richter du crime qui s'arrête normalement à 25-, ce thriller n'a rien de bien original: on accumule les horreurs et les « c'est pas possible mais où va-t-il s'arrêter ». Mais bon ce thriller est super bien mené de bout en bout et l'enquête se tient - même si elle parait assez invraisemblable.
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Sur l'échelle de 1 à 25 classifiant les tueurs, il y en a un pour qui a tout spécialement été créé le niveau 26, un prédateur hors normes qui sévit depuis 30 ans et qui malgré ses nombreux crimes est resté jusque insaisissable : Sqweegel
Seul Steve Dark, le meilleur « chasseur » de la Division des Affaires Spéciales de la base des Marines de Quantico a réussi à l'approcher suffisamment pour voir son visage et pratiquement réussir à l'arrêter.
Mais il en a payé le prix fort : ses parents adoptifs et toute sa famille ont été massacrés par Sqweegel.
Après ce cauchemar, Steve Dark, bien que jeune trentenaire a décidé de prendre sa retraite et ne plus se lancer à la poursuite de Sqweegel.
Il coule maintenant des jours heureux auprès de sa jeune épouse dans l'attente de leur bébé qui doit naitre dans les toutes prochaines semaines.
Mais c'est sans compter sur le retour de Sqweegel qui lui n'a jamais arrêté de surveiller Steve Dark.
Alors quand ce dernier se rendra compte que Sqweegel s'est introduit dans sa maison et a menacé son épouse qui doit maintenant se battre non seulement pour sa survie mais aussi celle de son enfant, il reprendra la lutte.
Une traque infernale va commencer.
Mais Steve Dark ne pourra avancer que s'il se met dans la tête du psychopathe et raisonne comme lui, au risque de basculer lui-même.
Un roman au fort caractère psychologique pour lequel il faut parfois avoir le coeur bien accroché.
Des petits chapitres courts, alternant entre Sqweegel, Steve Dark, Riggins son chef et ami et les enquêteurs de la Division des Affaires Spéciales, écrit par le scénariste de la série « Les Experts » et qui donne juste envie d'enchaîner sur le tome 2 pour savoir comment Steve Dark va réussir à retrouver sa vie.
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Ah un bon thriller bien cradingue, il faut l'avouer : ça fait du bien.
C'est comme regarder la série Urgences. : quand on revient dans la vie réelle, on a l'impression vivre chez les Bisounours.
Ce thriller est particulièrement bien fourni en scènes horribles et meurtres sanguinolents. En même temps c'était bien indiqué sur la quatrième de couverture. Donc âmes sensibles s'abstenir. Pour les autres, allez-y les yeux fermés : le suspense est parfaitement dosé, à finir le livre en moins de 2 jours.
Quant aux personnages, ils sont bien campés. Level 26 est vraiment dingue et terrifiant. Comme un serpent froid et gluant.
Certes, on n'est pas dans de la grande littérature, mais ça fonctionne. Si l'on compare au 7ème art, ce n'est pas un film oscarisé, mais une série de très bonne facture.

Alors, faut-il le lire ? Oui. Si vous avez envie d'ouvrir un livre sans pouvoir le refermer avant le mot fin. Mais attention : il y a un second tome.
Je vous donne rendez-vous pour en faire la critique d'ici...quelques jours.
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Très emballé par le nom de l'auteur, j'ai pris la trilogie d'un coup. J'aime beaucoup l'idée de l'interactivité du roman, parfois en fin de chapitre il y a du contenu bonus à aller voir sur le site du livre (les mots de passe ne servent plus, ça revoit vers 3 playlists youtube et uniquement en anglais). Plusieurs illustrations bien glauques sont parsemées entre les chapitres.

Zuicker sait parfaitement comment rythmer une histoire, habitué de la série « Les experts », ça se ressent dans l'intrigue bien qu'elle soit un peu plus lente sur le livre. Les chapitres sont courts, efficaces. On alterne entre le point de vue du tueur et celui du flic surnommé Dark, même si on reste plus souvent sur la traque du tueur ça permet d'en découvrir un peu sur ce monstre.

Sqweegel, comme le précise la quatrième de couverture, tout n'importe qui et sans motif précis. C'est un peu gros, il fait un peu cliché ou tueur parfait, le type tellement méchant qu'après 10 ans de traque dans le monde il n'a laissé pas un seul indice, tellement violent que l'habituel niveau 25 pour classifier les criminel a eu besoin d'un cran supplémentaire et se permet en plus de narguer la police et que la police. J'ai eu dû mal aussi avec le flic Riggins dit Dark, un vieux de la vieille, le seul flic dans le monde qui puissent l'arrêter façon super héros, déchiré par le métier, meurtrit par la disparition de sa famille à cause du tueur, et bien sûr alcoolique sur les bords.
Sur les personnages, j'ai beaucoup à redire. Habituellement le tueur à une histoire qui « justifie » sa violence ou son mode opératoire, ça permet d'apprendre à le connaître et à l'apprécier en tant que méchant du roman. Je n'aime pas trop le super flic non plus, je préfère une vraie équipe.

Pour l'intrique j'ai été happé dès le départ, ce type qui se beurre le corps pour enfiler sa combinaison, quelques détails sur lui, il en est presque animal, ça m'a intrigué. Je me dis que s'il y a une trilogie, il ne risque pas de se faire attraper dans ce roman mais je craignais plutôt pour Dark, ça garde un suspens supplémentaire. Sans vous dévoiler toutes les ficelles, en dehors de la traque il n'y a pas grand-chose, si vous n'accrochez pas aux 50 premières pages, n'allez pas plus loin, le reste est dans le même style.

Le livre n'est pas si vieux, quoique déjà 10 ans, et pourtant la technologie utilisée existe au quotidien depuis des années, ça m'a fait sourire.

Au final, je l'ai lu rapidement, c'est un bon roman pour la plage sans trop de profondeur, des personnages clichés mais il m'a suffisamment intrigué pour que je passe un moment agréable.
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j'ai beaucoup aimé ce roman. On ne perd pas son temps en descriptions des lieux, des personnages comme souvent on trouve quand on commence un livre, là pafff, on te met directement dans le bain.

Pas le temps de s'ennuyer, les actions s'enchaînent, on en oubli de respirer, car les chapitres sont très courts, en gros il y a une moyenne de 3 pages par chapitres.

L'auteur ne nous épargne rien dans les détails des meurtres, des agressions, nous sommes dans la tête du tueur. Au bord de la nausée sur cette scène, beaucoup de cruauté, j'ai eu le sang glacé, plus d'une fois.

Ce que j'ai un peu moins aimé, oui car il y a un peu de négatif: certaines vidéos m'ont trop fait penser à la série, quelques une dont j'aurai bien zappée la visualisation.
L'auteur n'est pas un grand écrivain et on le recent souvent au fur et à mesure des lignes, ce n'est pas de la grande littérature.
Puis une petite déception sur le final, que je trouve trop rapide et bâclé.

Article complet sur le blog
Lien : http://les-mots-de-gaiange.o..
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Efficace, tel est le premier mot qui me vient à l'esprit quand je pense à Level 26. Non pas qu'il s'agisse d'un roman extraordinaire par son originalité, je me rends bien compte que ce n'est pas le cas, même si je ne suis pas experte dans le genre thriller ou polar. Mais je me suis laissée emportée, et les vidéos proposées en parallèle du livre n'y sont pas pour rien.

En effet, une vingtaine de séquences sont disponibles sur le site www.level26.com dont l'accès est soumis à la saisie de mots de passe que l'auteur nous communique au fur et à mesure. Encore une fois, ce n'est pas du grand cinéma, mais Sqweegel, le tueur, m'a littéralement terrifiée, et c'est en grande partie grâce à lui que je suis rentrée si facilement dans cette histoire. Avec sa combinaison blanche, ses contorsions et... sa perversion, tout simplement, c'est le grand frisson. Niveau 26 !

Certains reprocheront sans doute à Anthony E. Zuiker une intrigue somme toute assez prévisible, et des vidéos qui freinent l'imagination du lecteur sans rien apporter d'essentiel, ni même de nécessaire puisqu'on peut fort bien s'en passer. C'est vrai que le coup du tueur et de l'agent du gouvernement obsédés l'un par l'autre, on l'a déjà vu et revu. C'est vrai aussi que, quand on a une tête à mettre sur un nom, il est difficile d'en imaginer une autre.

Il n'empêche, tout est une question d'ambiance, et de ce point de vu là, je trouve que l'association de ce texte écrit un petit peu comme une série télé et des vidéos correspondantes est réussi. Sans être une pépite de part son style ou son originalité, Level 26 est un petit livre sympathique qui se lit presque tout seul. Un agréable moment de lecture pour moi, sans prise de tête.
Lien : http://etemporel.blogspot.fr..
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