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4,19

sur 93 notes
Autre roman découvert, via net galley, grâce à Didier Jeunesse : A corps perdu de Muriel Zürcher.
Accusé d'avoir commis un crime monstrueux, Sacha profite d'un transfert en ambulance pour s'évader de prison.
Pas ​le temps d'hésiter : la montagne sera sa planque ! Surtout qu'il a été élevé pour survivre seul en milieu hostile.
Mais lorsque l'étau se resserre, Sacha doit se confronter à un choix bien plus difficile : faire confiance à quelqu'un pour la première fois de sa vie…
A corps perdu est un roman pour ados contemporain qui m'a énormément touché.
Nous découvrons Sacha, accusé d'un crime monstrueux alors que la France et le monde entier sont touchés par la COVID-19. Il a une quinzaine d'années. Son père l'a élevé à la dure, dans des conditions effarantes ! Certes, ce n'est qu'un roman, mais imaginer qu'un enfant puisse vivre un truc pareil m'a fait mal au coeur. Certains passages m'ont révoltés.
Sacha a beau avoir commis quelque chose de grave (que nous découvrons au fur et à mesure que les pages se tournent), il est très attachant. Son histoire qui nous est relatée par petites touches, un peu comme un puzzle, est touchante.
Il a perdu sa maman quand il était petit ; elle s'est suicidée alors qu'elle travaillait à France Télécom. Son père s'en est occupé seul et l'a élevé à la dure. Son entrainement était pire que celui d'un champion ! Et personne n'a rien vu, ou alors ils ont préféré fermer les yeux..
Mais cette éducation fait t'elle de Sacha un monstre pour autant ?
La question se pose : ce jeune garçon, lynché de tous, et qui est coupable aux yeux des réseaux sociaux, est t-il réellement coupable de ce dont on l'accuse ?
Certes il y a des preuves, seulement sont t'elles vraiment fiables ?
En plus de Sacha, nous découvrons une jeune fille victime de grossophobie : Océane ; mais aussi une journaliste qui n'a pas froid aux yeux, son photographe, un vieux monsieur, des chiens..
Et la montagne, en toile de fond, importante avec son climat, son ambiance et ses jolis paysages.
Je ne vais pas en dire plus, je n'ai pas envie d'en dire trop sans le vouloir.
Tout m'a plu dans ce roman que j'ai lu quasiment d'une traite (à un moment il a quand même fallut que je le lâche pour aller travailler) et avec un immense plaisir.
J'aime beaucoup l'écriture de Muriel Zürcher, dont j'ai lu plusieurs romans, et je la relirais sans aucune hésitation.
A corps perdu est un excellent roman pour ados et adultes que je vous recommande et que je note, évidemment, cinq étoiles :)
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Sacha est élevé par son père suite au suicide de sa maman, mais son géniteur est un survivaliste qui croit à l'effondrement de la société et, il va lui donner une éducation , un entrainement physique inhumain(e)s. Il le conditionne avec ses théories de survie, il le déscolarise, lui apprend à se méfier du genre humains, des sentiments et surtout il l'entraine sans répit à manipuler des armes à feu, ou blanches, à apprendre par coeur les cartes IGN, il lui apprend même à voler pour se nourrir !
Sacha vient d'être accusé d'avoir fait du trafic de masques en période de Covid, il est emprisonné et à l'occasion de son transfert en ambulance il en profite pour s'évader et grimper en courant vers la montagne savoyarde.
Dans une ferme isolée, il va être accueilli par Hector : un berger qui garde à l'alpage des moutons, il va lui donner un chiot de la Patou qui garde les agneaux. Et, quand il sera rattrapé à nouveau par son père, le conditionnement, l'entrainement recommenceront mais il va se révolter quand ce dernier laisse volontairement tomber dans la ravine son chiot Marmot. Il part, vit une errance en s'aidant des dures leçons de son papa.
Une jeune fille, Océane souffre de sa grossophobie et des réflexions désobligeantes de sa mère, des mentalités qui l'empêchent de faire les études qu'elle désire, aussi elle accepte volontiers d'aller aider sa tante pour s'occuper des brebis loin de tous.
D'autre part, dans le roman, nous suivons une jeune et belle journaliste : Louise qui n'arrive pas à obtenir de son chef des articles de fond et, elle est obligée de rédiger des papiers sur des entretiens avec des chanteurs.
Plus tard, Sacha va tenter de revenir à le bergerie d'Hector car il est poursuivi comme étant le " monstre des masques ", il va y trouver Océane, Lali : la Patou qui a vieilli et qui le reconnait, peu à peu ces 2 adolescents vont apprendre à se connaitre, à s'apprécier, à se confier mutuellement leurs souffrances et à devenir de véritables amis !
Entre temps, Louise accompagnée de Julien le photographe s'est lancée sur la piste du monstre, elle recueille des témoignages, interroge ceux qui ont connu Sacha et elle est de + en + persuadée de l'innocence de l'adolescent, elle va , aux cotés de la police apporter des preuves à cet effet !
Ce serait dommage de vous dévoiler la fin de l'histoire de ces 3 héros !
Muriel Zürcher signe un beau roman dans le cadre magnifique de la Savoie , très agréable à lire sur des thèmes actuels avec des personnages attachants et elle démontre avec pédagogie les travers des préjugés de tous ordres qui rendent malheureux les êtres humains !
Avec mes remerciements à la Masse Critique de babelio et aux éditions "didier-jeunesse".
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Ce roman young adult commence avec Sacha, 15 ans, emprisonné pour une raison tellement monstrueuse qu'à sa première sortie dans la cour de la prison il est tabassé violemment par les autres détenus. Il profite alors de son transfert à l'hôpital pour s'évader et s'enfuit dans la montagne. On apprend alors qu'il connait toutes les techniques de survie car il a été élevé à la mort de sa mère par un père convaincu du grand effondrement qui l'a préparé de manière atroce. On ressent beaucoup d'empathie pour cet ado qui a souffert et n'a pas les codes de la société. Il croisera sur son chemin une jeune fille qui malgré les remarques constantes de ses proches sur son poids garde une joie de vivre et une combattivité à toute épreuve. Parviendra-t-il à baisser la garde ?
Cette histoire se dévore et est un vrai page turner. L'histoire est racontée de plusieurs points de vue dont celui de Louise, journaliste cantonnée aux interviews masculines du fait de sa grande beauté et qui aspire à être enfin reconnue pour ce qu'elle vaut. Les trois personnages sont touchants et quand tout s'accélère on ne peut que trembler pour eux.
Je ressors de cette lecture bouleversée et je me souviendrai longtemps de ce que le père de Sacha lui a fait endurer pour « le rendre plus fort ».
Je remercie NetGalley et les éditions Didier Jeunesse pour cette lecture marquante.
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Le regard de la société pèse parfois bien lourd sur les épaules d'une seule personne… et parfois de manière fort injuste, alors que ladite société devrait protéger et aider !

Un roman coup de poing sur plusieurs sujets hélas encore et toujours d'actualité : la maltraitance d'un enfant, la discrimination physique, l'emballement médiatique.

J'ai apprécié la construction du récit en une alternance de flash-back et de moments présents et un mélange de divers points de vue. Les chapitres titrés permettent de se situer dans le temps et dans l'espace, ainsi on ne perd jamais le fil de la narration. Les points de vue divergents sont essentiels pour saisir les enjeux et faire le tour de la question.
Seul bémol : un côté un peu trop didactique parfois.
C'est une histoire révoltante que celle de Sacha et plusieurs passages sont durs à lire, de véritables scènes de tortures mentales et psychologiques. Heureusement que les passages à la bergerie comportent davantage de poésie et de douceur humaine afin d'équilibrer.
Les personnages d'Océane et de Louise sont un peu plus ternes que celui de Sacha, moins développés. Je le regrette mais le format du livre ne permettait pas davantage.

Je crois que je garderai des images fortes de cette lecture que je partagerai volontiers avec mes jeunes lecteurs.
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Décidément les héros de Muriel Zürcher n'ont pas de chance avec leurs parents ! Défaillants, maltraitants, culpabilisants ou carrément décédés, ce sont les grands absents de ses romans.
"À corps perdu" ne fait pas exception à la règle. Avec sa fixation sur le grand effondrement, le père de Sacha justifie les pires épreuves. de son côté, la mère d'Océane ne se préoccupe que du poids de sa fille. Charmant.

Ce roman aborde donc la résilience par le biais des épreuves qu'il faut traverser pour se libérer de son éducation. Et des épreuves il y en a ! Accusé et emprisonné à tort, Sacha va successivement s'évader, voler, se cacher et survivre une longue période hors des radars. J'avoue avoir trouvé certains passages un brin exagérés et le surentraînement imposé par son père est tout de même bien pratique pour lui faire surmonter tous types de situations.

Mais comme toujours avec cette auteure, on ne peut s'empêcher de s'attacher aux personnages, si incarnés. Et le rythme trépidant empêche de lâcher ce roman malgré les quelques incohérences.
Pas le meilleur Muriel Zürcher, mais un bon moment de lecture que je dois une nouvelle fois à mon loulou.
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Je ne suis pas près d'oublier Sacha. Et Océane, Hector, Lali, Marmot.
Quel roman ! Construit comme un puzzle, chaque chapitre ajoute une pièce, qui nous permet de deviner peu à peu le motif final.

Difficile donc d'en parler, au risque de trop en dévoiler.
En outre, aucun de mes mots, aucun résumé, ne pourrait parler suffisamment bien de la beauté de ce roman, de son intérêt, de sa profondeur, de son émotion.

D'entrée, on fait la connaissance de Sacha en prison, en attente de son procès, mais prêt à se faire démolir par ses "compagnons" de cellule, Sacha qui plaide coupable d'un crime grave voire horrible (et très ancré dans l'actualité). Sacha qui se barricade derrière les conseils reçus de son père, pour devenir plus dur, plus fort, plus inaccessible aux émotions. Sacha qu'on va deviner peu à peu avec un coeur gros comme ça, gamin massacré par la vie mais qu'on a tellement envie d'aimer.

On rencontre aussi Océane, 135 kg d'envie de vivre et de danser. Qui nous fera voir peu à peu que la maltraitance verbale d'une mère peut être aussi grave que celle physique d'un père.

Et Louise, la journaliste trop belle pour se sentir prise au sérieux. Et qui va devoir faire ses preuves.
On se doute que ces trois là finiront par se rencontrer, et ce ne sera anodin pour aucun, mais on avance en zig zag dans l'histoire avant d'en savoir plus.

Et on n'oubliera pas non plus Hector le berger, celui qui sauve, quasiment le pivot de l'histoire même s'il n'est plus là.

Si ce roman n'est pas linéaire, il est facile à suivre car le titre de chaque chapitre non seulement mentionne la date, mais la situe par rapport aux évènements déjà connus.

Malgré la profondeur, l'empathie et les émotions, il y a aussi un côté polar et thriller, d'abord pour deviner la vérité sur ce qui s'est réellement passé, puis pour savoir quelle sera l'issue.
J'avoue à un moment avoir craqué et être allée voir la fin, sans parvenir à prévoir si elle serait heureuse ou malheureuse. Incapable de continuer à lire calmement, j'ai préféré me faire une idée, plutôt que d'avaler les pages pour savoir.
Je supporte très difficilement la violence, même en roman. Donc le début m'a été difficile. Mais on s'attache vite à ce malheureux gamin, c'est un très beau roman.
À la fois intemporel (un gamin en grave maltraitance, une journaliste qui enquête) et très ancré dans notre année, avec les masques anti covid qui s'invitent dans le drame.

À titre personnel, j'ai bien aimé qu'on se promène de Chambéry à Novalaise, en passant par le Col de l'Épine !

Le résumé ne m'avait pas vraiment tentée, mais vu mon coup de coeur pour Robin des Graffs, je n'ai pas hésité, il fallait que je lise celui-ci, et il est encore plus fort, plus prenant.
Je trouve la couverture très belle.
Lien : https://livresjeunessejangel..
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A corps perdu est un livre que je chronique « en retard », un de plus, un qui rejoint cette période pas vraiment agréable cette année dans laquelle je ne peinais pas tant à lire qu'à écrire.
La première remarque qui me vient à l'esprit est que c'est un livre né des circonstances. Je ne parle pas seulement de la crise du Covid, non, je parle de tout ce qui se passe en France, depuis de nombreuses années, des crises qui se passent dans le monde du travail et que l'on n'a un peu oublié, comme l'on oublie aussi qu'il n'a pas fallu attendre 2020 pour qu'il existe des complotistes ou des survivalistes. Il n'a pas fallu attendre 2020 pour que les journaux s'emballent pour un rien, vouant à la vindicte publique un horrible monstre.
Le monstre, c'est Sacha. Il a même un nom « le monstre des masques », non pas un homme, mais un adolescent qui a profité de la crise sanitaire pour faire un trafic de masques usagés. Et le monstre s'est évadé.
Oui, nous le suivons, surtout nous le découvrons tel qu'il est vraiment, bien loin de l'image que les médias ont donné de lui. Nous découvrons, lors de retour en arrière, sa jeunesse, et l'éducation que son père lui a donné dans le but non de l'endurcir (c'est un classique) mais d'en faire un survivant quand tout s'effondrera. Je ne dirai pas que certains savaient, je dirai que certains avaient des doutes, de gros doutes, mais n'ont pas pu, pas voulu les éclaircir. Fermer les yeux au nom de « cela ne nous regarde pas », quitte à avoir des regrets après.
Nous découvrons aussi des personnes capables de ne pas se contenter des apparences, aussi affreuses soient-elles. Je pense à Hector, un berger, essentiel pour Sacha. Je pense à Océane, 135 kilos, jeune femme qui ne rentre pas dans les cases. Connaissez-vous beaucoup de marques qui font des vêtements au-delà du 42/44 ? Moi non plus. Océane se prend de plein fouet la grossophobie de la société, de sa propre mère aussi, elle a pourtant des désirs, des envies – vivre, danser, tout simplement. Et elle est tout simplement lumineuse. Je pense aussi à Marmot, à Lali, deux chiens qui incarnent tous les deux, de manière différente, comment l'être humain perçoit l'animal. Autant vous le dire, avec Marmot, j'ai pensé à Maupassant (un des premiers romanciers engagés pour la cause animale, avec Emile Zola).
A corps perdu est un livre dur, douloureux, pas facile à lire. Il est pourtant le reflet de notre société, de ses dérives, de ce qu'elle peut produire de pire et de meilleur.
Lien : https://deslivresetsharon.wo..
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Alors que le pays succombe au Covid, Sacha, un gamin de quinze ans, est accusé d'un crime et se retrouve en centre pénitentiaire avant son procès. Son jeune âge et la nature de son méfait en font une cible privilégiée et il est passé à tabac. Lors de son transfert à l'hôpital, il s'évade.

Le récit est construit avec alternance de chapitres dans l'ordre chronologique et de flash-back permettant de comprendre qui est Sacha ainsi que les autres protagonistes de l'histoire. On suit chacun tour et tour et on découvre leur point de vue sur la situation.
Orphelin de mère à 5 ans, Sacha a été élevé par son père, adepte du survivalisme, afin d'être capable de se défendre dans toutes les situations extrêmes. Certaines scènes sont cruelles et révoltantes et on ne peut que se demander comment un père peut agir ainsi et pourquoi aucun adulte n'est intervenu. Tous les indices concordent pour le désigner coupable mais l'enquête a-t-elle été bien menée ?
Océane est vive, drôle, alerte mais souffre du regard qu'on pose sur elle en raison de ses kilos en trop. Malgré sa ténacité et ses capacités, elle ne trouve pas de travail sauf dans la bergerie de sa tante.
Louise est journaliste et tente par tous les moyens de couvrir des événements vraiment importants mais sa jeunesse et son physique de mannequin la cantonnent dans les interviews people. Elle est prête à tout pour qu'on la prenne enfin au sérieux.
Tous les trois rendent ce récit dynamique en raison de leur personnalité et actuel grâce aux thèmes abordés à travers eux.

C'est un récit poignant, dur parfois que je conseillerais dès 13 ans. Ames sensibles s'abstenir.
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Sacha est un fugitif : il a été condamné pour un crime qu'il n'a pas commis et à profiter d'un transfert pour s'échapper. Élevé par un père survivaliste, il a toutes les connaissances nécessaire pour se cacher en montagne, loin de tous, dans une bergerie abandonnée qu'il a connu enfant. Mais Océane, petite fille du propriétaire, y a elle-aussi élue domicile pour échapper aux moqueries dont elle est l'objet. Les deux ados vont devoir apprendre à se faire confiance le temps d'un été...
J'ai adoré ce roman ados qui aborde des sujets difficiles de manière très positive !
Sacha et Océane sont des personnages très attachants, malmenés par la vie et qui essaient tant bien que mal de trouver leur place et de se construire un avenir.
J'ai aussi apprécié Louise, une jeune journaliste qui doit elle-aussi faire ses preuves et qui n'hésite pas à passer au-dessus des apparences et des rumeurs pour faire éclater la vérité.
Tout ma plu dans ce texte fort en émotions qui ne laisse pas indifférent.
Cette lecture est clairement un coup de coeur pour moi et je remercie Netgalley et les éditions Didier Jeunesse pour m'avoir permis de le découvrir !
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Pour une semaine de vacances en paysage montagneux, j'avais fait le choix d'emporter "A corps perdu". Sasha, 15 ans, élevé pour survivre, par son père persuadé de l'effondrement, connait son territoire de Savoie par coeur. Condamné et emprisonné pour avoir revendu en masse des masques contaminés par le virus du Covid, l'adolescent réussit à s'échapper lors d'un transfert en ambulance. Il rejoint une bergerie isolé où il se cache avec la complicité d'Océane.

Les premiers chapitres m'ont surpris par la cruauté de l'éducation brutale de Sasha. Dès l'âge de 5 ans, son père le soumet à des épreuves insupportables.

La narration est découpée en chapitres datés et localisés. Muriel Zürcher imprègne ainsi un rythme à son roman entre retours en arrière et présent. Elle multiplie aussi les points de vue, car on découvre aussi Louise, jeune journaliste ambitieuse, secondée par le journaliste Julien, qui enquêtent tous les deux sur Sasha. Et aussi Océane, jeune femme qui travaille l'été dans la bergerie de sa tante, où elle se sent libérée des regards sur son poids.

Un roman de littérature jeunesse, sélectionné pour le Prix littéraire des collégiens de Charente-Maritime 2023, que j'ai apprécié, et qui réussit à rassembler sans lourdeur des thèmes aussi variés que théorie de l'effondrement et dérives éducatives, grossophobie, enquête journalistique. Même si on se doute assez rapidement du réel coupable, on ne se lasse pas de la compagnie de Sasha, Louise et Océane.
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