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Critique de Ambages


« Ainsi, l’enivrement de son âme conférait à sa misérable vie sans intérêt un éclat et une richesse inconnus. »
Zweig est un grand écrivain. Il éclaire mon esprit quand je le lis, sa prose est si raffiné que je suis émerveillée, envoutée. Et pourtant cela paraît si simple et fluide. C'est magique ! J'entre dans la tête des personnages. Ce recueil est constitué de quatre nouvelles dont la plus connue porte le titre de l'ouvrage : L'amour d'Erika Ewald. Les autres sont L'étoile au-dessus de la forêt, La marche et Les prodiges de la vie. Je les apprécie toutes avec toutefois une petite préférence pour cette dernière, dont l'action se situe à Anvers. Zweig décrit la création d'un tableau et la naissance d'un amour pour un enfant de la part d'une jeune fille, modèle du peintre, Esther alors qu'elle porte dans ses bras pour la première fois un nourrisson. Ce bébé lui sera retiré lorsque la peinture sera terminée et Esther sombrera dans un gouffre de souffrances à l'idée d'en être séparé, jusqu'à ce qu'elle comprenne qu'elle peut toujours être proche de lui grâce au tableau exposé dans l'église. Mais…
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