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Nechtaàn est le fils de Bélial, Sat'han du cercle de l'Envie. Seulement, il se met son père à dos et celui-ci décide de l'exiler sur Chtonya, retenu par des sceaux qui l'empêchent d'utiliser ses pouvoirs pleinement. Quand on le rencontre, il semble avoir trouvé une solution à son problème : il a engendré avec une sorcière une enfant, dont il compte bien manger l'âme et investir le corps dès qu'elle sera prête. Tout ne se passe cependant pas comme prévu (vous l'aviez deviné? :D ) et les ennuis s'accumulent pour Nechtaàn. Comment va-t-il gérer la disparition de sa sorcière, le retour de son pire ennemi, la naissance de sa progéniture démoniaque, sa vie sexuelle débridée et l'incompétence chronique de ses alliés?

Le premier chapitre est un peu compliqué : on y décrit en (très) bref l'univers du roman. Il faut un peu s'accrocher pour les premières pages, mais ensuite l'histoire est hyper prenante. Une fois que j'ai commencé le deuxième chapitre, je n'ai plus pu m'arrêter ! (c'est à se demander comment j'ai tenu après avoir lu les deux premiers épisodes :p ) La fin de chaque chapitre amène un nouveau retournement, une nouvelle surprise qui nous empêche de refermer le livre. le style de l'auteure est assez direct et immersif. Elle n'hésite pas non plus à faire des petits commentaires extradiégétiques. Les touches d'humour sont fréquentes et m'ont fait sourire à plusieurs reprises. Après, il faut aimer l'humour noir et l'ironie. :p

Nechtaàn est un protagoniste incroyable. Il est violent, lunatique, malveillant, manipulateur… la liste pourrait encore être longue. C'est un vrai démon avec tous les comportements malsains et pervers que cela implique ! Son univers est sombre et sanglant. J'ai adoré ce antihéros qui ne fait jamais ce qu'on attend de lui. Il donne au récit un ton totalement inédit et original et c'est un des éléments que j'ai préféré dans Nechtaànomicon !

Le sang coule à flots dans le récit. Une chose m'a un peu surprise : on dirait que Nechtaàn est une fontaine intarissable de sang. En effet, il en donne à tellement de gens pour assoir son pouvoir et les rendre accro qu'on peut se demander comment il ne s'évanouit pas souvent par manque d'hémoglobine dans ses veines. La fin laisse beaucoup de questions en suspens, dont certaines trouvent des réponses dans l'épilogue et la petite nouvelle inédite. Il reste cependant encore pas mal de mystères à éclaircir. J'ai hâte de découvrir la suite des aventures de Nechtaàn et de ses « amis » !

L'auteure lance beaucoup de petits clins d'oeil à la culture littéraire de l'imaginaire. Rien que le titre est une référence évidente au livre maudit présent dans l'oeuvre de Lovecraft. L'univers littéraire bit-lit est bien représenté avec par exemple le nom de la boîte de nuit tiré d'Anita Blake ou le nom Tarabotti (Alexia – Sans Âme et ses suites) donné à un personnage. Les indices littéraires sont aussi accompagnés d'instants musicaux – certains douteux comme Britney Spears, d'autres qui font du bien comme Rammstein – ainsi que de moments de cinéma, notamment l'univers Disney, et de séries. Cornelia, la première incarnation de Nechtaàn, m'a fait penser au personnage de Cordelia dans Buffy contre les vampires/ Angel et le beau prince vampire russe s'appelle Aleksandr, comme l'acteur qui joue le vampire viking canon dans True Blood… Coïncidence? :p

J'ai bien aimé la petite nouvelle inédite à la fin du roman, Quand Alek rencontre Nechtaàn. Elle nous raconte un événement clef de la vie de Nechtaàn. Comme l'auteure le précise, cette nouvelle prend place avant notre histoire, mais elle a été forcée de la raconter après, car Nechtaàn n'accepte pas facilement qu'on lui vole la vedette, même pour un bref instant. Alek, prince vampire, veut aider son frère de sang à retrouver son épouse. Il se laisse distraire dans sa quête et doit accepter de pactiser avec le démon Nechtaàn, encore dans le corps de Cornelia, afin de se rattraper. Une nouvelle qui dévoile des éléments centraux de l'histoire qui sont abordés dans le roman sans pour autant être explicités en détail. Un joli bonus pour conclure cette première saison !

Manon Elisabeth d'Ombremont nous conte un univers sombre et sanglant, dont le protagoniste est un démon, un vrai ! Les événements s'enchaînent, plus imprévisibles les uns que les autres, et la fin annonce un excellent démarrage pour la deuxième saison !
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Coup de coeur pour ce roman de Dark fantasy!

C'est une histoire d'anges, démons, vampires et sorcières.

Nous suivons les "aventures" de Nechtaàn, un démon qui est prisonnier d'un corps humain (enfermé par des sceaux). Son but: se libérer de sa prison charnelle pour se venger de son père. Il manipule une sorcière, Abygaël, pour pouvoir utiliser sa magie et se protéger des menaces. Et il contrôle également un prince vampire du nom de Aleksandr.

Tous les personnages ont un rôle important!

J'ai bien aimé la sorcière Abygaël, son esprit est torturé entre la réalité et les manipulations qu'elle subit. Elle ne sait plus à qui se fier mais se laisse finalement emporter par sa vengeance.

J'ai pas trop aimé la petite humaine, Livia, un peu trop droguée à mon gout.

J'ai adoré la relation complexe entre Bluenn et Sevastian. Les syndromes de Stockholm vont bon train dans ce roman.

L'histoire est bien construite. C'est donc une histoire de méchant. Violence, sexe et drogue sont le lot quotidien des protagonistes.

Un ange arrive (pas si angélique que ça, avouons le!) qui veut arrêter Nechtaàn puisque ce dernier s'amuse à se faire passer pour lui.

Il y a beaucoup d'humour! Surtout de l'humour noire.

Pour la fin, on reste sur un suspens de dingue! Qu'est-il arrivé aux personnages et que va-t-il se passer dans le second tome?

J'ai adoré la petite nouvelle après la fin. C'est une nouvelle sur la rencontre entre Aleksandr et Nechtaàn, on comprend mieux leur relation et le caractère de Aleksandr.

C'est vraiment une bonne lecture mais j'avoue que j'ai préféré le premier roman de l'auteur (La chienne de l'ombre). Mais ce roman est quand même un coup de coeur!
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Il faut le signaler : je ne suis probablement pas le lecteur-cible de ce roman. Je suis trop vieux, je ne lis plus très souvent de romans de cette veine et j'ai beaucoup trop joué à Vampire : la Mascarade pour conserver tout mon appétit pour ce genre de livre, quelle que soit sa qualité. Pourtant, le titre m'a intrigué, j'ai brièvement croisé l'auteure, qui était sympathique et la version électronique du roman était en vente pour une somme dérisoire, donc pourquoi vivre dans la certitude ?

Tant mieux, parce que le Nechtaànomicon a plutôt été une bonne surprise. Ou plutôt, pour être précis, j'ai été charmé par le talent de Manon Elisabeth d'Ombremont. Elle a à son service une plume élégante, qui peut être sobre et efficace par moments, pour devenir riche et gracieuse lorsque cela devient nécessaire. le style de l'auteure est séduisant : elle parvient en peu de mots à camper des situations dramatiques complexes et à installer dans la tête du lecteur des émotions fortes et addictives.

Surtout, à travers son narrateur, l'auteure fait montre d'une voix chargée de personnalité, sarcastique et facétieuse, qui confère à une intrigue qui pourrait paraître décousue une surprenante unité. On se laisse guider, je dirais même charmer, et on accepte avec le sourire de lire des péripéties parfois abominables. Les personnages, en particulier Nechtaàn et son entourage de vampires, de sorcières et de parasites sont bien campés et même attachants malgré leur absence total de sens moral. Toutes ces qualités d'écriture m'ont aidé à oublier ce que j'ai par moments perçu comme des points faibles au niveau de la construction.

Habile pour installer une ambiance ou décrire une situation, l'auteure est également très à l'aise dans les dialogues, qui sont vifs, incisifs et spirituels. On ne compte plus les scènes amusantes où les personnages s'envoient des noms d'oiseaux à la figure. C'est une qualité à double tranchant, cela dit : si on se laisse séduire par l'esprit qui se dégage de chacune des réparties, et si tous ces dialogues sont terriblement divertissants à lire, à force, ils peuvent donner l'impression que chaque personnage a le même tempérament et s'exprime de la même manière.

En débarquant dans le récit, on se sent vite submergé par tous les détails liés à l'univers : à chaque page, on nous présente de nouveaux personnages, de nouvelles factions, de nouveaux types de créatures. Au début, j'étais à deux doigts d'asphyxier, d'autant que de nombreuses informations délivrées de cette manière n'ont en réalité aucun impact sur le récit. Au fil des pages cependant, cette approche est plutôt une qualité : elle nous plonge brutalement dans cet univers et nous force à en accepter les règles, créant une sorte de saturation d'informations qui contribue à installer l'ambiance. Par ailleurs, on découvre vite que l'intrigue est bien charpentée et facile à suivre.

Là aussi pourtant, la médaille a son revers : l'auteure a tellement d'informations à nous transmettre que par moments, par manque de temps ou de place, elle se contente de nous expliquer les choses plutôt que de nous les montrer. J'avoue que, par moments, ça m'a fait sortir du récit. J'aurais préféré mille fois lire des scènes établissant les relations entre certains personnages que de devoir lire des paragraphes qui expliquent de manière brute que Machin est fâchée avec Machine parce qu'elle fait partie de la famille Truc. Show, don't tell : ça reste une règle cardinale. Par moments, ça donne l'impression que le Nechtaànomicon est le résumé d'un roman plus long.

Autre aspect du livre qui a suscité une certaine ambivalence chez moi : l'auteure est de toute évidence très très fan de son propre univers. On la sent parfois glousser de plaisir après un bon mot d'un des personnages ou applaudir fébrilement un retournement de situation. le plus souvent, cet enthousiasme est communicatif : c'est même très agréable de suivre une auteure dont la voix est aussi affirmée. Parfois, par contre, je suis resté perplexe, ne parvenant pas à partager l'exaltation à laquelle j'étais convié : là encore, j'aurais aimé qu'on affirme moins et qu'on montre davantage. À en juger par la réaction très positive des fans en ligne, il est cependant évident que je fais exception.

Dernier aspect qui peut refroidir certains : l'histoire n'a pas de fin. Elle s'arrête net, juste après un événement significatif, mais l'intrigue n'est conclue en aucune manière et l'arc narratif d'aucun personnage n'est bouclé. Ce sont les règles du feuilleton, bien sûr, et ça donne envie d'en découvrir davantage, mais personnellement j'aime bien qu'un roman tienne plus ou moins sur ses deux jambes, même si une suite est prévue. En l'occurrence, ça n'est pas très gênant, mais celle ou celui qui interromprait sa lecture à la fin de cette « Saison 1 » n'aurait pas bénéficié d'un repas complet.

Au final, pour moi, « Nechtaànomicon » est un roman attachant et plein de personnalités, qui tient ses promesses, même s'il pourrait être construit de manière plus convaincante. Même si j'ai dressé ci-dessus la liste de ce que j'ai perçu comme des défauts, cela reste des points mineurs, qui ne gâchent en aucune manière le plaisir de lecture: la fraîcheur impertinente de la plume de l'auteure fait oublier la plupart de ces petites imperfections.
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Merci aux éditions L'Ivre-Book d'avoir permis de donner mon avis ! =D

Ça faisait un moment que je voulais découvrir ce roman, cette première saison de Nechtaànomicon. J'avais un peu peur de le lire à cause de ce qu'il risque d'y avoir dedans. Comme quelque chose de sombre, violent, sadique, tortueux. Alors oui, il y a tous ces aspects mais c'est sans compter sur l'humour noir et la dérision qui allègent les mots, les phrases, les descriptions. Avant tout, certaines « attitudes » (on va dire ça comme cela, hein) m'ont révulsé. Moralement, c'était dur pour certaines « scènes » annoncées, vraiment dur de faire abstraction, à cause de notre propre morale, surtout quand on aime bien les personnages finalement.

Cette première saison, nous met en garde face à ces créatures venues d'autres dimensions. Des créatures avec leurs morales, leurs moeurs, leurs coutumes, leur société qui sont tout à fait normaux pour eux. Dérangeant pour nous, perturbant, déstabilisant et charmant. L'histoire raconte comment Nechtaàn s'est retrouvé en Chtonya et comment il occupe sa petite, grande, magnifique vie « pailletée ». Il veut devenir le Sat'han de l'Envie mais il est un peu bloqué dans un corps de mortel. Pauvre petit chaud lapin. Oops.

Heureusement qu'il y a une petite explication au début de cet incroyable univers. Nous avons qu'un pan ici et j'ai déjà hâte d'en découvrir davantage. On peut être dépaysé au départ mais ce sentiment part très vite. Envolé. L'histoire se concentre sur Nechtaàn et sa folie des grandeurs. Un personnage haut en couleur qu'on apprécie malgré ses penchants. Il est sadique, un peu frivole, raffole du sang et de la douleur et évidemment, fait ce qu'il lui chante. Ah oui, il aime être le centre de l'attention. Ahem.
On découvre ce monde et ses personnages. Il y en a pas mal d'ailleurs. Plusieurs points de vue nous permettent de mieux cerner l'histoire, leurs moeurs et d'étendre ce monde. Même si une question de vengeance pimente ce premier opus, derrière, ça ne manque pas de piquant avec l'humour, les références, la dérision, les personnages entre eux et surtout ce que cache les non-dits, les secrets, les événements passés… les ombres du récit.
Je n'ai pas trop envie de dévoiler l'histoire et encore, je ne serai que dire… il y a pas mal d'éléments et à la fois quasiment pas. Tout tourne autour de Nechtaàn, ce qui est logique d'ailleurs. Une intrigue prenante du début à la fin, sans oublier les fils derrière qui maintiennent le mystère. Un roman rempli de joutes verbales mémorables. Ah, faut pas oublier l'esprit. =P Les explications sont les bienvenues et aussi le narrateur qui nous fait sourire. Drôle et moqueur. En plus, même si, tous les morceaux par-ci, par-là ont un point commun (Nechtaàn), tout forme un ensemble. Ça agrandit l'univers tout en étant un fil dans l'histoire. Alors oui dans d'autres romans c'est le cas mais je trouve qu'ici, c'est pertinent. C'est un peu une araignée déployant ses fils pour mieux happer la proie.
Des personnages mystérieux, puissants avec un brin de folie. Des personnages qui ont leurs visions de la vie et surtout de la mort. Des personnages semblables sur des points et sur d'autres diversifiés. Des personnages hauts en couleur extravagants et qui ne manquent pas de charme nous faisant sourire et rire malgré les circonstances. Même si je n'accepte pas certains concepts de leurs idéaux, ce sont des personnages attachants plus ou moins. On dirait surtout une bande de gosses. Un aspect psychologique bien travaillé, questionnant sur les normes. Lesquelles ? A vous de le découvrir. Ça questionne également sur les faits et les relations.

L'écriture de Manon Elisabeth d'Ombremont est fluide et entraînante. le choix de la narration, des différents points de vue étoffent le roman. L'autrice se moque des clichés et de ce qu'on attend dans un roman. le prévisible devient l'imprévisible si je puis dire.


Une saison 1 passionnante, difficile à lâcher qui nous emporte dans un univers riche et un « brin » sadique. Des personnages hauts en couleur, diversifiés, sanglants et même attachants. Dérangeantes conceptions tout du long mais l'humour nous fait rire et sourire souvent. Ici, on découvre l'univers et les liens des personnages, comme si on regardait une série télévisé face à la structure du récit. C'est machiavéliquement séduisant et captivant.

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Petit avis sur la nouvelle, bonus à la fin. « Quand Alek rencontre Nechtaàn ».
La rencontre entre deux protagonistes. Une des ombres du passés est dévoilée. J'ai beaucoup aimé découvrir comment était Aleksandr avant cette saison 1, enfin juste avant quoi. Surtout que ça se passe « après » la nouvelle « Requiem de la Sorser'tan ».
On rentre plus dans la tête d'Aleksandr, on voit plus ses pensées, ses sentiments, ses peurs, ses idéaux. Sa rencontre avec Nechtaàn l'a changé. Quand on voit le résultat, on a l'impression que c'est une personne différente même si il a toujours certains penchants, le même caractère. Je ne sais pas, un petit quelque chose de changé.
Lien : http://de-fil-en-histoire.bl..
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Manon Élisabeth d'Ombremont est issue du RPG, et ça se sent. Elle mêle plusieurs genres, et manie l'interaction des personnages à merveille. Si elle nous explique au début du livre les concepts d'anges, de démons, et tutti quanti, la profusion de termes « techniques » propre à cet univers rend un peu laborieuse la lecture au départ pour les non-initiés.
Malgré tout, les descriptions et la plume fluide nous permettent de nous immerger dans le monde de Nechtaàn au bout de quelques minutes, et l'on ne s'étonne plus des noms à rallonge, ou de retrouver des sorcières mariées à des vampires, ou des démons tenant une boite de nuit. le petit plus étant que nous suivons via le narrateur l'histoire du point de vue du démon, même si l'on suit parfois ses ennemis, ou ses victimes. Tout n'est pas tout beau tout rose, et ça fait du bien. La narration est omnisciente, et drôle. de petits traits d'humour sont disséminés par-ci par-là, et le narrateur se fait complice du lecteur.
L'histoire de Nechtaànomicon est sombre, glauque, et violente. D'Ombremont a une écriture assez visuelle qui permet de retranscrire parfaitement l'ambiance du récit. Les personnages sont bien travaillés, même si certains le sont plus que d'autres. le bonus de fin nous permet de comprendre un peu plus les affinités ou les inimitiés entre certains d'entre eux. Et c'est fort appréciable, puisque cette nouvelle donne un nouvel éclairage sur l'histoire qui vient de nous être contée.
D'abord publiée par épisodes (6 au total), cette version est l'intégrale de la saison 1. Ce qui implique qu'il y en aura d'autres, et que Nechtaànomicon se retrouvera sous la plume de Manon Élisabeth pour notre plus grand plus plaisir. Parce que même si Nechtaànomicon Saison 1, L'Intégrale, n'est pas transcendant, il nous fait passer un moment divertissant et drôle. Et qu'il donne envie de connaitre la suite.
Lien : https://www.book.beltanesecr..
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Le Nechtaàn... comment vous dire ? Une addiction à l'état pure ! Une fois que vous commencez ce récit, vous n'en sortez plus. Si vous aimez les méchants dans une histoire, ce livre est pour vous.
Vous n'aimez pas les méchants ? Plongez-y un oeil (vous y perdrez vite les deux, tant l'histoire est passionnante) vous allez A-DO-RER.
Pourquoi ? le Nechtaàn n'est pas un méchant ordinaire : il est sombre, fourbe, égocentrique, maniaque, un chouïa enfantin, mais on en devient vite accro.
Mais attention, toutes les apparences peuvent être trompeuses. Vous pensiez tout connaître sur le Bien et le Mal. Et bien vous aviez tort !
Manon nous explique dès le départ de quoi il en retourne. Elle expose les faits sans détour, nous happe dans sa plume et nous retient prisonnier/ère jusqu'à la dernière page.
Et après ? On en redemande bien sûr !
Laissez sortir le démon qui sommeille en vous et bonne lecture :)
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