On ne peut pas nier une certaine redondance dans les albums de Léonard, néanmoins la lecture reste plaisante et drôle, ne serait-ce que grâce aux interventions du chat Raoul, qu'on prend beaucoup de plaisir à lire dans le coin en bas des cases.
Dans cet album, on peut remarquer la première histoire qui a inspiré le titre de l'album, puisque Léonard écrit une pièce de théâtre qu'il finit par vendre à un certain
William Shakespeare. Il y a aussi le disciple qui explore les fonds abyssaux, avant que Léonard et lui ne s'engouffrent sur les autoroutes de l'information. Et bien sûr les gags habituels sur le réveil et la maladresse du disciple qui, bien qu'un peu répétitifs, font de cette série une valeur sûre .