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EAN : 9782846264006
202 pages
Au Diable Vauvert (01/03/2012)
3.73/5   37 notes
Résumé :
On retrouve ici Antoine Duhamel le personnage du premier roman de l'auteur, "Un coup à prendre". Il est désormais divorcé et père recomposé dans les bras de Laurence, mais peine toujours à se séparer d'Alice et ne se résout toujours pas à cesser d'hésiter entre deux femmes. comme entre regret et renoncement. Il va offrir à celle qui est finalement sa seule confidente, sa grand-mère Mouna, deux jours hors de la maison de retraite où elle a préféré finir ses jours. Un... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (23) Voir plus Ajouter une critique
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Alors qu'Alice, son ex-femme, vient de se remarier en grandes pompes avec un riche trader, Antoine rumine son divorce et peine à s'investir dans sa nouvelle relation avec Laurence, une femme libre et épanouie, mère de trois garçons. Ses seuls bons moments, il les passe auprès de Mouna, sa grand-mère, qui a choisi de finir sa vie dans une maison de retraite. Empêtré dans ses tourments et ses contradictions, Antoine n'hésite pas une seconde quand Mouna lui demande de l'emmener voir la mer une dernière fois. Sans prévenir personne, il "enlève" la vieille dame et lui offre une escapade de deux jours sur la côte normande, dans l'hôtel où, plus jeunes tous les deux, ils passèrent de nombreux étés.

Un homme de 37 ans qui se morfond après un divorce, une vieille dame de 88 ans enfermée dans une maison de retraite...Tout cela pourrait être déprimant de prime abord mais ce serait sans compter sur la plume déliée de Xavier de MOULINS, le journaliste d'M6 dont j'ai découvert ici le talent d'écrivain. Il réussit, sur un ton décalé, une chronique douce-amère, à la fois légère et extrêmement juste. Mi-ironique mi-sensible, il brosse le portrait d'un homme d'aujourd'hui avec des problèmes d'aujourd'hui et d'une femme qui a connu d'autres temps, d'autres moeurs mais a su garder lucidité et gaieté.
A la modernité des thèmes (divorce, familles recomposées, garde alternée) s'ajoutent des questions universelles (la vieillesse, la mort, l'amour).
Tendres et touchants, Antoine et Mouna sont terriblement attachants. Je les ai suivis avec plaisir au pays des souvenirs pour une parenthèse enchantée où ils vont profiter de la vie et surtout se confier. C'est Mouna, dont l'essentiel de la vie est derrière, qui va aider son petit-fils à aller de l'avant en conservant seulement les bons moments du passé. L'amour qu'ils se portent tous les deux est simplement magnifique et leur relation donne à penser sur les rapports que nos sociétés entretiennent avec leurs "vieux".
Le style est moderne et enlevé avec quelquefois de géniales fulgurances, des petites formules qui font réfléchir sur l'amour, le temps qui passe, la vie et la mort. Les chapitres sont courts, le livre se lit très vite, pour moi le temps d'un dimanche après-midi pluvieux.
J'ai vraiment beaucoup aimé cette découverte de Xavier de MOULINS. Ce parfait ciel bleu est son deuxième roman qui fait suite à Un coup à prendre que je n'ai malheureusement pas lu. Cela n'a pas du tout gênée ma lecture mais, quitte à faire les choses à l'envers, je vais me précipiter sur le premier opus dès que possible.
Merci aux éditions Au Diable Vauvert et à Babelio pour ce doux moment de lecture.
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Une magnifique bouffée d'oxygène sur ce qu'est la vie, la mort, le temps qui passe avec ses regrets et ses remords.
Antoine est un homme divorcé, père de deux enfants et en ménage avec Laurence avec qui il tente tant bien que mal de refaire sa vie mais à choisir entre l'un et l'autre, je dirais plus mal que bien car Antoine n'arrive pas à tourner la page sur son passé. Son ex-femme, Alice, l'obsède. Il n'arrive pas à comprendre comment elle, elle a pu aussi facilement passer à autre chose et trouver le bonheur avec son nouveau mari. Antoine n'a plus envie de souffrir ni de trop s'investir, c'est la raison pour laquelle il refuse de s'attacher aux enfants de sa nouvelle compagne.
C'est Mouna, sa grand-mère de 88 ans qui va lui enseigner, de par son vécu, le véritable sens de la vie. Celle-ci, qui sait parfaitement que sont temps sur cette terre est bientôt écoulé, décide Antoine de l'enlever et de l'emmener pour une ultime escapade au bord de la mer.
Parfois, il arrive que l'on en apprenne plus sur le sens de la vie et sur soi-même en quelques jours qu'en des années entières. C'est ce qui va se produire pour Antoine. Grâce à Mouna, il va enfin quelle est sa véritable place ici-bas et ce qu'il veut vraiment.

Un grand merci à toute l'équipe de Babelio qui m'a permis de découvrir ce magnifique romande Xavier de Moulins, qui fait suite à un premier intitulé "Un coup à prendre" et que j'ai bien envie de découvrir également.
L'écriture est fluide et légère, les chapitres courts, ce qui fait que le livre se lit à une allure prodigieuse. Un roman également rempli de philosophie qui nous amène à nous poser des questions existentielles tout en étant léger à la fois. A découvrir !
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"Personne n'a envie d'affronter le temps qui passe, cruel, et de voir l'autre s'éteindre à feu doux."

Non, personne n'a envie de voir le temps passer et l'autre s'éteindre à petit feu, pourtant la mort fait partie de la vie et c'est sans doute l'un des points importants de ce livre qui cherche à faire ressortir le meilleur d'un évènement si triste, car "Au-delà du verbe et des rêves, il n'y a pas d'autre solution que de se résoudre aux adieux."

Antoine a 37 ans, il est divorcé, père de deux filles et vient de refaire sa vie avec Laurence, deux fois divorcée et mère de trois garçons, mais ne peut s'empêcher d'espionner la vie de son ex-femme Alice et a finalement peur de s'engager dans une nouvelle relation et de refaire ainsi sa vie.
Mouna, sa grand-mère, a 88 ans, elle vit en maison de retraite et sait sa fin proche, c'est pourquoi elle lui demande comme dernière faveur de l'emmener "voir la mer", parce que ça sera peut-être pour elle "la dernière fois".
Antoine résume très bien la situation dans laquelle se trouvent ces deux personnages : "Mouna a peur de mourir et moi j'ai peur de vivre."
A ce petit-fils dépassé par sa vie, Mouna va lui prodiguer, lors d'une escapade au bord de la mer, de bons conseils pour l'aider à prendre sa vie en main et enfin vivre car comme elle lui expliquera : "Vis au présent, aime au présent, c'est la seule solution pour ne pas tomber malade.".
Et concernant sa drôle de famille décomposée/recomposée, elle lui dira : "La vraie famille est celle que l'on se construit accidentellement.", et en cela Mouna a tout à fait raison.
Elle lui livrera aussi le secret qui la ronge depuis tant d'années, secret dont je me doutais de la nature exacte depuis le début de ce roman.

Avec ce deuxième roman, Xavier de Moulins signe un très joli livre avec beaucoup de sentiments, de tendresse, de pudeur, de dérision et de doutes.
Le style est agréable à lire et très fluide, d'autant que l'auteur a choisi des chapitres courts, ce qui fait que ce roman se lit extrêmement vite.
J'ai beaucoup aimé le style de l'auteur, il a su me faire sourire par moment, me rendre triste à d'autres, m'amener à m'interroger sur le sens de la vie et à quelque peu dédramatiser la mort ou la vieillesse.
L'atout indéniable de sa narration est l'utilisation de la première personne du singulier afin de narrer l'histoire du point de vue d'Antoine.
Cela contribue sans aucun doute à rendre ce livre extrêmement proche du lecteur et à toucher sa corde sensible, d'autant plus que ses deux personnages principaux sont particulièrement attachants de par leur relation de complicité et leurs échanges sur la vie.
Et puis, au détour d'une page, il y a eu ce nuage dans ce parfait ciel bleu jusque là.
Une petite phrase perdue au milieu d'une réflexion d'Antoine, à la limite de la misogynie et qui m'a surprise et interpellée dans ma lecture : "Pourquoi les femmes sont-elles incapables de rester belles et bronzées après une césarienne et la naissance de leur deuxième enfant ?"
Quelle faute de goût de la part de l'auteur alors que tout le reste de son roman est si agréable et si tendre.

"Fais toujours de ton mieux et ne regrette rien."
C'est sur cette phrase que s'achève le roman de Xavier de Moulins et s'il n'y en avait qu'une à en retenir, cela serait sans nul doute celle-là.
Il a su mener son histoire habilement et lui donner la fin qui convenait, pleine d'espoir, malgré la tristesse d'Antoine de se retrouver au cimetière car Mouna "n'a pas souhaité que l'on célèbre une vraie messe, que les gens prennent la peine d'entrer dans l'église, se donnent du mal à faire semblant d'écouter un prêtre qui expliquerait avec la mine de circonstance tout ce qu'un prêtre se doit de dire dans ce genre de moment délicat, face à un auditoire en visite de courtoisie."
Même dans la mort c'est encore et toujours aux autres, à ceux qu'elle aime, qu'elle a pensé et pour qui elle a tout sacrifié.

Avec "Ce parfait ciel bleu", Xavier de Moulins, auteur que je découvrais, signe-là un très joli roman rempli de tendresse, d'un soupçon de philosophie, d'une formidable histoire d'amour entre une grand-mère et son petit-fils et par dessus tout, d'une bien jolie leçon de vie pleine d'espoir.

Je remercie Babelio et les éditions Au Diable Vauvert pour l'envoi de ce livre.
Lien : http://lemondedemissg.blogsp..
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Autant l'avouer tout de suite : je ne suis pas un fervent pratiquant de prose journalistique. En matière de roman, s'entend. Mon goût pour la lecture repose essentiellement sur le dépaysement, et un journaliste, ça témoigne … et souvent, ça témoigne de son époque, qui n'est pas toujours très drôle. C'est donc avec un peu d'appréhension que j'entame « Ce parfait ciel bleu »…

D'abord y'a Antoine, récent divorcé, le narrateur, qui accepte mal sa condition d'ex malgré Laurence, sa nouvelle compagne ; et ses fils à elle et ses filles à lui...
Et puis y'a Alice, l'ex, remariée à François, beau et riche…
Et puis, il y a Mouna, l'aïeule qui a pris la place de son mari, trop tôt décédé pour l'occuper, à la maison de retraite.

Comme on peu le voir, des thèmes d'aujourd'hui, le divorce, le désert affectif de l'un des divorcés, les familles recomposées et les relations complexes entre ex, beau, belle, mère, père, frère, soeur… Et un thème de toujours : le vieillissement, la vieillesse et la fin de vie…

Ceci étant dit, force est de reconnaître que Xavier de Moulins sait raconter les histoires : chapitres courts, un certain franc parler, voire une certaine dose de cynisme ; on est saisi par l'intrigue, mieux, on s'attache aux personnages...
Le style est parfois cru. Direct. La phrase est courte…sauf dans les passages de « l'enlèvement de Mouna », ou il se fait tendre, empreint de nostalgie. Mouna qui porte en elle un secret qu'elle ne révélera qu'à la fin de l'escapade en Normandie.

Finalement, et je remercie Babélio et l'éditeur « Au diable Vauvert » de m'avoir permis de découvrir cet auteur. Il a dans la plume quelque chose de Jean-Louis Fournier qui m'a beaucoup plu.
Enfin, et ce n'est certainement pas négligeable à l'époque où tablettes, liseuses, que sais-je encore… tentent de « faire la peau » au livre à l'ancienne, un petit livre très élégant comparé à la célèbre « Collection Blanche », inchangée depuis tant d'années ; néanmoins un peu tristounette. Félicitations !

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*** Petite chronique dans le cadre de Masse Critique Babelio ; je remercie donc le site, et les Editions Au Diable Vauvert ***

Comme pour la version Poche de Serge Joncour "Combien de fois je t'aime" (un vrai régal, d'ailleurs !), la couverture et le titre de ce livre sont heureusement bien moins mièvres que son contenu !! Ouffffffffff !! Car en le recevant, j'ai vraiment pris peur... (Je suis d'ailleurs vraiment étonnée, car les 2 autres exemplaires que j'ai des Editions Au Diable Vauvert sont une vraie réussite niveau couverture... Dommage, en tout cas pour l'auteur.)

Je ne connaissais d'ailleurs pas du tout Xavier de Moulins. J'ai appris qu'il était journaliste, et qu'il présente actuellement le journal du soir de M6.... j'ai eu du mal à tilter, j'en suis restée aux journaux voix off de cette chaîne... !

Ce livre est la suite de son premier roman "Un coup à prendre" (bon là encore, le titre paraît trompeur, mais à l'extrême, puisque j'aurais plutôt pensé à un roman porno, mais bon !! hihi !) que je n'ai pas lu, mais ce ne semble absolument pas gênant pour se fondre dans ce second opus. Aucune référence importante semble nécessaire pour se plonger dans cette "suite".

Pour ce qui est du livre en lui-même, c'est un petit livre humble et délicat, aux thèmes de ce début de siècle : trentenaire divorcé un peu largué, père séparé, en famille recomposée, qui pense à son ex, bref, bien d' "aujourd'hui"... Surtout que le narrateur a exactement mon âge, donc j'en connais quelques-uns, des simili d'Antoine... Derrière sa fragilité et ses incertitudes, quelques petites touches d'humour mordant arrivent à point nommé pour parfaire le récit.

Puis arrive le "départ à la mer" comme l'indique la quatrième de couverture, et le récit prend une nouvelle tournure, emplie de tendresse, sans jamais tomber dans la mièvrerie (du titre et de la couverture...).
C'est presque un petit roman initiatique, avec de très jolis passages sur la vieillesse, au travers du personnage de la grand-mère d'Antoine, au nom si doux : Mouna.
De façon toute douce aussi, on est emmené page à page vers la "chute" finale, qui n'en est donc pas une, mais qui "boucle" donc un peu la trame.

Chose peu courante, il me semble que ce livre ferait une excellente idée cadeau, quelque soient les goûts justement, grâce à la tendresse, la simplicité, l'humour parfois acerbe, ses thèmes très "modernes", la vulnérabilité du narrateur, et les thématiques de la vieillesse et de la transmission, de la famille, abordées de façon sensible, généreuse et humble.

Je suis donc ravie d'avoir découvert ce livre grâce à Babelio et aux Editions Au Diable Vauvert, et cet auteur qui ne se la pète pas "journaliste médiatique qui va vous montrer qu'il sait aussi pondre des romans", mais qui semble, à en croire sa plume, d'une vraie "intelligence", au sens le plus large du terme.
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Citations et extraits (61) Voir plus Ajouter une citation
"Elle ouvre ses yeux immenses et m'explique que malgré le temps, les rides et la mémoire qui flanche, les jolies choses restent intactes. Alors quand la vie fait sa garce, parce que la vie peut facilement nous faire dérailler et prendre un mauvais tournant, il ne faut pas hésiter à descendre au plus profond de soi et refaire jaillir une odeur, une matière, une image, une note de musique, quelque chose de doux pour affronter la violence et, surtout, s'en protéger."
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L'établissement est une ancienne ferme plantée au milieu d'un champ, juste à la sortrie de la ville. Des pommiers glandent au milieu de l'espace vert bien taillé. Un jardinier ramasse les fruits. Les pensionnaires n'ont pas le droit d'y toucher pour des raisons d'hygiène et de sécurité. De toute façon la majorité ne peut plus se baisser pour les ramasser, sauf ceux qui vivent déjà pliés en deux, mais ceux là n'ont pas très envie d'attrapper des pommes. Et puis ce n'est pas bon pour ce qu'ils ont.
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Mouna m’a piqué une cigarette et fume la fenêtre ouverte. Elle me fait signe de la suivre sur le balcon. Elle a l’air d’une reine dans sa robe de chambre un peu grande. C’est une soirée douce de printemps. Dehors la campagne est tranquille, plus rien ne bouge. Le calme des alentours impose naturellement de parler à voix basse. Mouna fixe les pommiers du jardin et plonge son regard au loin. Rien n'a plus d'importance quand elle me demande sans me regarder :
- J’aimerais que tu m’emmènes voir la mer. Ça sera peut-être pour moi la dernière fois.
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La vieillesse, ça ne sert à rien, sauf peut-être à apprendre aux enfants à profiter de la vie avant la liste d’attente pour la Résidence des Lilas. A apprendre qu’il faut vivre sans se retourner. Commencer à oublier avant d’être lâché par sa mémoire. L’entretenir en refusant de se souvenir d’hier pour mieux embrasser demain.
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"Parce que la vie passe tellement vite qu'on n'a pas le choix, il faut la mordre à pleines dents en acceptant que les situations nous échappent, sans s'en faire."
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