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sur 697 notes
Elle voulait être un garçon, elle fut une fille et une femme fort jolie, moderne, libre dans ses amours et volontaire dans ses choix.

Très tôt, avant les femmes, les hommes, les chiens, la campagne anglaise, Paris, la mer et les belles maisons, Daphné aime écrire et désire en faire son métier. Et comme c'est sa nature profonde de n'en faire qu'à sa tête et de négliger les conventions, elle écrit comme elle agit, sans s'embarrasser des contingences des autres. Audacieuse, impertinente, éclectique, elle dit même préférer heurter les consciences que de laisser indifférent. Ce qui explique peut-être que malgré son énorme succès, elle n'a pas toujours été reconnue par la critique.

Tatiana de Rosnay trace le portrait d'une femme énigmatique dont la liberté et l'indépendance d'esprit forcent l'admiration. Dans la vie, comme dans le processus difficile de la création littéraire, Daphné n'accepte ni les compromissions, ni les arrangements, prenant le risque de déplaire. Inspirée par ses rencontres, sa famille et les lieux qu'elle aime (ses maisons, Ferryside et surtout Menabilly), elle construit méthodiquement une oeuvre sombre, complexe, parfois mal comprise.

Une biographie qui a fait remonter le souvenir de l'époque bénie de la préadolescence où j'ai découvert avec Daphné du Maurier (et Scott Fitzgerald) le goût de la lecture. Merci Tatiania, après avoir refermé votre roman très réussi « J'ai rêvé la nuit dernière que je retournais à Manderley ».
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" J'ai rêvé la nuit dernière que je retournais à Manderley".

C'est la première phrase du roman Rebecca, celle qui me vient tout de suite à l'esprit quand je pense à Daphné du Maurier , la seule phrase d'un roman dont je me souvienne, tellement elle fait écho en moi.
De cette auteure , je ne savais rien. (On sait, en général, très peu de choses sur les auteurs...). Juste qu'elle avait écrit Rebecca, La Taverne de la Jamaïque, et la nouvelle " Les oiseaux" , adaptés tous les trois, par le grand Hitch, lui qui fut si petit en ne la citant jamais... J'avais lu , adolescente, Ma Cousine Rachel , et ne l'avais pas aimé, il faudrait que je le relise...
C'est Rebecca qui a tout raflé... Publié en 1938, pas une ride, et 30 millions de lecteurs...
Et si le but de cette lecture , était de mieux comprendre ce chef d'oeuvre, de le décrypter, alors, c'est un succès.
Daphné du Maurier et son amour des grandes demeures .. son coup de foudre pour Menabilly, qui a inspiré Manderley,
[ " J'ai un peu honte de l'admettre, mais je crois que je préfère "Mena" aux gens "]. le choc quand elle a dû la rendre (elle n'y a été que locataire) . Un deuil impossible...
madame Denvers.qui lui fut inspirée par une gouvernante dont la robe bruissait sur le sol.....
Daphné et son ambivalence sexuelle...
Daphné et son amour pour la Cornouailles, la mer, la voile ...
Il y a toute son oeuvre dans sa vie,et toute sa vie dans son oeuvre... et qui y a t'il de mieux qu'une autre écrivain, pour la comprendre, pour la saisir. Tatiana de Rosnay, a fait un travail remarquable. Je me suis juste sentie un peu " voyeuse" [ Les écrivains devraient être lus mais jamais vus , ni entendus"],
Alors, je me suis retirée sur la pointe des pieds, avec juste une furieuse envie de relire et revoir Rebecca pour la" je-ne-sais-combien-de- fois"...
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Envie d'un voyage dépaysant dans les Cornouailles sur les traces d'une célèbre romancière anglaise ? J'ai le livre qu'il vous faut, Manderley for ever de Tatiana de Rosnay.

Comme beaucoup de lecteurs, c'est par Hitchcock que je suis venu à Daphné du Maurier. le maître a adapté trois de ses livres, L'Auberge de la Jamaïque, Rebecca, deux romans, et Les Oiseaux, une nouvelle. Des trois, je n'ai lu pour le moment que Rebecca dont j'ai adoré l'atmosphère envoutante.

C'est donc avec enthousiasme que j'ai découvert la vie de cette femme complexe au destin marqué par les passions plurielles : pour l'écriture, pour les amours « vénitiennes » (référence au « code Du Maurier » que je vous laisse le soin de découvrir par vous-même) et pour les lieux qu'elle a habités. Ses deux dernières passions ayant largement influé sur la première.

De son travail d'écrivain, j'ai beaucoup apprécié la façon dont sont évoqués le processus de création, le jaillissement d'une idée, le fameux vertige de la page blanche qui vous noue l'estomac, la douleur quand l'inspiration ne vient pas, les périodes de sécheresse. On découvre aussi tout ce qui dans son quotidien nourrit son écriture, notamment les rencontres qu'elle a faites tout au long de sa vie.

Si elle a connu des histoires d'amour avec des hommes et des femmes, certaines platoniques, comme avec la femme de son éditeur américain, Ellen Doubleday, d'autres un peu moins comme avec la comédienne Gertrude Lawrence, Daphné du Maurier est restée toute sa vie mariée avec le même homme jusqu'au décès de celui-ci. Une dualité qu'elle est sans doute parvenue à transcender grâce à la part masculine en elle, un certain Eric Avon, le garçon qu'elle aurait aimé être, son « alter ego littéraire » qui a d'ailleurs largement contribué à la genèse de certaines de ses oeuvres. To bi or not to bi…

Ce qui surprend sans doute le plus finalement, c'est ce lien si particulier qu'entretient Daphné du Maurier avec les différentes maisons qu'elle a habité, source de bien être comme d'inspiration : Ferryside, Kilmarth à la fin de sa vie, mais surtout Menabilly. Elle a un attachement viscéral, quasiment fusionnel, avec Menabilly, celle qui a le plus compté et qui lui a inspiré Manderley, la fameuse demeure au coeur de Rebecca, son roman le plus célèbre. « Menabilly, son Manderley à elle engendré du même terreau magique que le Pays Imaginaire de l'oncle Jim, cet espace où elle ne va que seul et dont personne d'autre ne possède la clé. »

Ce qui fait la force de cette biographie, c'est aussi le regard d'un écrivain sur un autre écrivain. La passion de Tatiana de Rosnay pour son sujet est évidente et il est amusant de constater les similitudes entre les deux femmes. Toutes deux ont des noms à particules, une double culture et des origines franco-anglaises. Toutes deux sont romancières et auteurs de biographies. Toutes deux ont signées des bestsellers. Toutes deux ont vu certaines de leurs oeuvres portées à l'écran...

Tatiana de Rosnay redonne vie à Daphné du Maurier dans cette biographie qui se dévore plus qu'elle ne se lit.

Manderley for ever, la biographie passionnante d'une femme passionnée…

Lien : http://bouquins-de-poches-en..
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Il est parfois risqué de relire un auteur qui vous a fasciné à l'adolescence, la nostalgie est mauvaise conseillère et la déception peut être au rendez-vous. Pas de problème, Daphné du Maurier supporte l'épreuve haut la main. Albin Michel réédite « Rebecca », son roman le plus connu, dans une nouvelle traduction et c'est formidable. Ce roman, comme la plus part de son oeuvre, est inclassable, d'une noirceur et d'une modernité dans l'étude psychologique qui laisse pantois.

Non, mille fois non, Du Maurier n'est pas une écrivaine romantique, ses héros, victimes pas forcément innocentes, souffrent, doutent, s'effacent ou se laissent manipuler.

Dans ses romans historiques ou contemporains l'obscure et le solaire s'affrontent, perversion, double maléfiques, ambiguïté sexuelle, pulsions inavouables, cadavres dans le placard, rancoeur, culpabilité, peu de chose effraie la romancière. Il faut relire Du Maurier, petite liste non exhaustive : « Ma cousine Rachel », « le bouc émissaire » mon préféré, « La maison sur le rivage » et ses recueils de nouvelles d'où sont extraits « Les oiseaux » porté à l'écran par un certain Hitchcock, « La poupée » écrite à l'âge de 20ans et surtout « Ne vous retournez pas » qui a donné un merveilleux film réalisé en 1973 par Nicolas Roeg.
Saviez vous que Daphné du Maurier (1907-1989) avait des racines françaises dans la Sarthe?. Petite-fille d'un écrivain célèbre, fille d'un acteur anobli proche de James Matthew Barrie le créateur de Peter Pan, mariée au futur général de division Frédérick Browning, elle a mené une vie d'écrivaine peu mondaine dans de grandes et belles demeures en Cornouailles.

Elle a surtout lutté toute sa vie pour faire taire Eric Avon son double garçon qu'elle s'est inventé à l'âge de 10ans. Daphné homosexuelle refoulée, a connu un amour foudroyant avec Fernande une jeune directrice de pensionnat, une belle amitié amoureuse avec Ellen la femme de son éditeur américain et une relation avec l'actrice qui créa le rôle de la comédie musicale « le roi et moi » à Broadway, Gertrude Lawrence une ancienne maitresse de son père. Qui a dit que Lady Browning du Maurier était une femme rangée ?

Alors oui incontestablement, Il faut relire Daphné du Maurier, mais faut-il lire « Manderley Forever » la biographie de Tatiana de Rosnay ? Si vous aimez le style littéraire journalistique « Point de vue image du monde », « Paris Match » ou « Figaro madame » pas de problème, cet essai romancé, très documenté, fera votre bonheur...si vous aimez la grande littérature, par contre, mieux vaut mille fois relire les originaux de l'immense Lady Browning du Maurier.

Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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Dans la nursery où elle s'applique à former ses majuscules, Daphné s'évade avec Peter Pan.
Son nom, hérité d'un grand-père français, lui vaut des railleries, mais elle en est fière et très vite, Paris et ses origines françaises l'attirent irrésistiblement.
Elle fuit les compliments sur sa beauté et face aux mondanités préfère se réfugier dans la lecture.
Elle déplore d'être née fille et se sent habitée parfois par un alter égo masculin qui sera séduit par des femmes qui marqueront durablement sa vie.
Elle veut écrire, et accéder à une indépendance financière grâce à sa plume. La solitude, égoïstement recherchée, est indispensable à ses élans romanesques.
Dans ses romans, elle y met tout ce qu'elle refoule, avec une ardeur sans freins, et nappe ses rêves inavoués avec un imaginaire parfois glaçant de noirceur.
Une fois que l'idée d'un roman faisait son chemin, elle s'y attelait, habitée des jours durant par ses personnages et leurs histoires. Daphné défendait sa liberté d'écriture, même si parfois les critiques furent cinglantes et déprimantes.
C'est dans la fournaise d'Alexandrie que sont nés les premiers chapitres de Rebecca, pour rallier dans l'imaginaire les odeurs maritimes, les falaises, la bruine, de sa chère Cornouailles qui lui manquait cruellement.



Tatiana de Rosnay nous défriche les nombreux chemins sur les traces de cette grande romancière pour qui les lieux avaient tant d'importance. Avec une remarquable fluidité et à l'image d'un kaléidoscope, c'est toute une série d'évènements, de rencontres, d'émotions, de tristesses, d'écritures, qui nous happe et nous immerge dans l'univers de Daphné.

Une balade mémorable.

J'ai ressenti la fascination que Daphné avait éprouvé pour ce manoir abandonné, Menabilly, qu'elle a pu louer plus de vingt ans. Tatiana de Rosnay a su retranscrire l'attrait surnaturel et envoûtant qu'exerçaient ces murs gris entre lesquels nombre de romans ont vu le jour. Daphné était hantée par certaines demeures, autant dans ses écrits qu'en réalité.
Le vide qui la rongeait par intermittence, sa détermination face aux critiques et aux attaques, son besoin de solitude, sa générosité, m'ont émue.

En donnant toujours la première place à l'écriture, son égoïsme, parfois, a dû blesser ses proches. Mais aujourd'hui, lorsque je me plonge dans ses romans si aboutis et si variés, ouvrant tant de fenêtres sur de fascinantes évasions, égoïstement, je ne peux l'en blâmer.

J'ai été envoûtée par son parcours et je pense que cette attachante biographie modifiera probablement mes lectures ou relectures de Daphné du Maurier.
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Sous la forme d'une passionnante biographie romancée, Tatiana de Rosnay nous livre son admiration pour Daphné du Maurier.
Parfaitement documenté, on découvre un vie à la hauteur de ses écrits et j'ai été tout particulièrement intéressée en parcourant les lieux et les maisons dont elle tombait amoureuse. C'est souvent dans cet état de bien être et d'amour avec une demeure qu'elle était le plus inspirée. Plusieurs ont d'ailleurs fait partie intégrante de ses romans, nous offrant par exemple un Manderley hanté par "Rebecca", dans son ouvrage le plus célèbre.
D'ailleurs, à propos de "Rebecca", j'ai découvert qu'il faut absolument que je le relise... l'ayant lu il y a fort longtemps apparemment dans une mauvaise version. La première traductrice française ayant pris la liberté de le tronquer d'une quarantaine de pages et souvent dans des passages clés.

J'ai bien aimé et je recommande cette lecture qui donnera envie de découvrir les romans de Daphné du Maurier à ceux qui ne les connaîtraient pas encore , ou envie de la relire avec un nouvel éclairage pour les autres.
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Un concert d'éloges sur le site pour cette biographie romancée de la grande Daphné du Maurier...
J'ai fini par écouter les conseils de mon entourage et partir à la découverte d'un auteur que j'ai beaucoup aimé lire dans le passé.

Il est incontestable que le livre se décline comme un roman, avec aisance et fluidité. Mais un zeste de "people" m'a un peu dérangée. C'est un travail fort documenté mais qui perd en crédibilité quand l'intimité avec le sujet est trop prégnante. Après tout, madame Du Maurier n'est plus là pour cautionner et Tatiana de Rosnay peut faire dire ce qu'elle veut aux faits.

Il n'empêche! J'ai pris un certain plaisir à découvrir ce portrait de femme atypique et moderne, ses origines patriciennes, son travail d'auteur, ses amours saphiques, ses coups de coeurs pour des lieux et des maisons qui invitent au voyage. le processus de création littéraire est particulièrement intéressant à suivre et ne peut pas être mieux servi par un auteur qui écrit sur un auteur.

Reste maintenant à tenter de retrouver le charme de ses romans: ont ils vieilli? Feraient ils encore mon bonheur de lectrice, telle cette boulimie de pages tournées à la lecture de Rebecca ou de l'Auberge de la Jamaïque? C'était pour l'adolescente que j'étais la quintessence du romantisme!
Pas sur d'avoir envie de gâcher ce souvenir...
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Biographie exhaustive et agréable à lire de cette auteure mythique que fut Daphné du Maurier.
J'ai apprécié de découvrir cette soif de liberté, cette personnalité affirmée et ce rapport presque exclusif à l'écriture.
Un peu déroutée par l'égoïsme certain dont elle aura fait preuve envers les siens à certains moments de sa vie.
Mais après tout, n'est-ce pas là le propre de ceux qui sont happés par les affres de la création ?
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Le travail qu'a entrepris Tatiana de Rosnay dans cette biographie de l'écrivain anglais Daphne du Maurier est d'une grande finesse et d'une grande précision. Il nous donne envie de partager la vie tumultueuse de cette auteure anglaise injustement tombée dans un relatif oubli.
Daphne du Maurier a écrit une quinzaine de romans, des nouvelles et des biographies. Deux de ses oeuvres seront adaptées au cinéma par Alfred Hitchcock: le remarquable "Rebecca" et la nouvelle "Les oiseaux".
Daphne est née en 1907. Son père, Gerald du Maurier, est un acteur de théâtre très célèbre.
Dès l'enfance Daphne se distingue par une imagination débordante.
Elle a des ascendants français dont elle est très fière: du côté paternel un de ses ancêtres, venant d'une famille d'aristocrates possédant des manufactures dans la Sarthe, a dû fuir la Révolution et s'est installé en Angleterre.
Daphne va étudier dans sa jeunesse dans un pensionnat de Meudon, où elle tombera sous le charme d'une des enseignantes, Fernande Yvon.
Très vite Daphne va révéler ses capacités d'écriture.
Elle sera publiée pour la première fois à l'âge de vingt-trois ans avec son premier livre "The loving spirit" (L'amour dans l'âme), qui raconte la vie de plusieurs lignées de femmes qui vivent au bord de la mer; le thème de la mer reviendra souvent dans ses écrits.

Très vite sa vie va basculer. L'immense succès de "Rebecca" en 1938 va faire de cet écrivain une romancière à grand succès mais qui souffira toute sa vie d'être considérée surtout comme un auteur de "romances" alors que le public ou les critiques tendent à gommer la profondeur psychologique de ses oeuvres.
Daphne va habiter très longtemps ce manoir de Menabily dans les Cornouailles qui a inspiré le Manderley de Rebecca (la demeure où habitait le héros Maxime de Winter).
Son succès sera néanmoins durable, à tel point qu'elle sera nommée "dame commandeur" par la reine Elizabeth.
Elle meurt à l'âge de quatre-vingt-un ans en 1989.
C'est une très belle biographie qui nous fait revivre toute une époque. C'est aussi un beau portrait de femme qui nous donne envie de lire ou relire les oeuvres de Daphné du Maurier.
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Cette merveilleuse biographie, dévorée en quelques jours, plonge le lecteur dans l'univers de Daphné du Maurier.
On la suit dans son quotidien et dans les grands événements qui ont marqué sa vie, comme si on se trouvait à ses côtés. Cette biographie a été conçue comme un reportage, caméra au poing, comme le dit l'auteure.
On y découvre l'enfance de cette future grande romancière, aux côtés d'un père comédien à succès et d'une mère aimante.
On découvre avec Daphné les personnes qui ont marqué sa vie, les lieux qui l'ont inspirée et on vit avec elle les péripéties, les bonheurs et les malheurs qui ont fait sa vie.
On parcourt avec elle le manoir de Menabilly, si important pour elle, on découvre Kilmarth, qui lui inspira la maison sur le rivage et on comprend, à travers son vécu, pourquoi elle a tant aimé la Cornouailles.
Ce livre est plaisant à lire autant qu'il est palpitant et instructif. Il permet de redécouvrir sous un jour nouveau l'oeuvre de cette immense romancière méprisée par la critique parce que ses romans connaissaient un succès populaire. L'Histoire lui a rendu justice et le succès est toujours au rendez-vous.
Un excellent ouvrage pour mieux connaître cette auteure.
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