Troisième opus d'
Edika (de 1982) où se renforcent et s'accusent les tics de l'auteur : rythme effréné , surenchères et hyperboles de l'absurde et du remplissage de la case , scatologie . On voit apparaître dans le scénario l'environnement professionnel (avec portraits et citations de collègues dessinateurs) , le passage au-delà du miroir,. A noter l'omniprésence d'un imagerie cléricale totalement obsolète (cornette et soutane) . Cependant la dernière case de l'album avec son curé priapique a de curieux relents d'actualité récente.