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EAN : 9782092577080
128 pages
Nathan (27/09/2018)
4.16/5   141 notes
Résumé :
Mon papa a la tartiflette. C'est pas le vrai nom de sa maladie,
mais on a décidé de l'appeler comme ça, car dans la famille on adore manger !

Résumé : Ça s'est fait petit à petit. A présent, voilà, le papa d'Olivia est en bas, sans trop d'espoir que ça s'arrange. Atteint d'une maladie qu'il surnomme " la tartiflette ", il ne peut plus monter l'escalier de la maison. Le quotidien de toute la famille se réorganise autour de lui à mesure que son é... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (132) Voir plus Ajouter une critique
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Dans notre chronique jeunesse de la semaine on voulait vous parler de "Papa est en bas", un roman de Sophie Adriansen, paru aux éditions Nathan, en septembre 2018.

Sophie Adriansen propose en effet une histoire très émouvante et poignante sur le délicat sujet de la maladie grave d'un proche vu sous les yeux d'un jeune enfant

Le père d'Olivia, 10 ans, a une malade orpheline, et personne ne semble savoir comment la guérir. Malgré son jeune âge elle comprend bien que quelque chose ne va pas chez son papa et qu'il faut faire quelque chose pour l'aider à vivre envers et malgré tout.

Un récit fort et courageux qui porte le message suivant tant qu'on n'est pas mort, on est en vie. de cette expérience personnelle ( c'est l'oncle de Sophie Andrassen qui a été victime d'une maladie oprheline), l'auteur en tire un roman certes déchirant sur la relation père/fill, qui évite l'écueil du pathos et surtout qui sait instiller pas mal d'humour sur le quotidien d'un malade et sur la nécessité .d'enchanter notre quotidien.

On l'aime si fort notre petite héroïne Olivia, toute de courage et d'abnégation et on est heureux ( et tristes en même temps) d'avoir pu partager avec elle un bout de cette terrible épreuve.

A découvrir sans plus attendre !
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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Quel petit bijou tout en tendresse et en émotion. Un bon livre à partager avec les enfants. Beaucoup d'humour dans cette famille qui se retrouve dans une situation des plus injustes, la maladie dégénérative. Que dire à un enfant quand papa perd le contrôle de son corps et va bientôt mourir ?
La narratrice, Olivia nous fait découvrir son quotidien avec légèreté. On a parfois la boule dans la gorge, derrière l'humour du père une réalité difficile et injuste.
Une belle citation de l'auteure "Quand on ne peut plus ajouter des jours à la vie, il faut ajouter de la vie aux jours". Ce roman en est une vibrante incarnation.
Des tas de petites anecdotes de l'enfance. Comme Olivia j'ai cru longtemps à la cire humaine avant de découvrir le mot cérumen.
Merci à l'auteure pour ce roman.
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Ce petit roman jeunesse marqué à partir de 10 ans peut être découvert plus jeune en une lecture accompagnée si l'enfant est concernée tout comme il peut faire aussi être mis dans les mains des adultes pour casser un peu le validisme.
Il y a beaucoup de choses abordées dans ce texte et toujours avec un joli regard, celui d'Olivia, une enfant dont le papa cache une maladie dégénérative du moins au début de l'histoire. Ce roman permet de voir la vision d'un proche de malade qui n'est pas l'aidant à temps plein. On découvre le quotidien à travers les yeux d'une enfant tout en naïveté mais dans le bon sens du terme. Elle ose poser toutes ces interrogations sans filtre et sans arrière pensée. Ca donne un texte beau et abordable, tout en osant mettre le doigt sur les soucis qu'un adulte n'oserait probablement pas aborder ou du moins pas avec autant de douceur et d'absence de jugement. Je trouve que c'est un excellent moyen d'aborder le quotidien des proches tout en gardant un aspect qui ne sera pas misérabiliste au sujet du handicap. C'est agréable d'avoir tout ces sujets abordés sans tomber dans un apitoiement malaisant. Il y a tout dans ce roman, le changement dur à accepter, le fait qu'une enfant peut en avoir marre, être en colère, ne pas être d'accord avec l'évolution de la situation… car son papa, elle l'aime, ne veut pas le perdre et se sent impuissante quand ça se dégrade. le message est important on fait ce qu'on peut avec les moyens du bord et des fois on craque, ça arrive c'est normal. Il y a aussi le rappel que l'on a le droit de continuer à rire, d'avoir de bonnes choses qui nous arrivent…
Le déroulement est très juste. Chaque étape est crédible.
La succession des premiers événements est intéressante et illustre le besoin de protection de la part des parents. Ils commencent par cacher les choses et ne l'annoncent qu'au moment où elle demande ce qui se cloche avec son père. J'aime les réactions successives qui la mette sur la voie : il a toujours des excuses, il l'a prend pour une idiote ou quoi, ça doit pas être ça car la situation dure, il doit y avoir un secret, elle va chercher les réponses.
Une autre chose importante, mise en avant ici, le fauteuil qui est souvent associé à un « c'est le début, de la fin, c'est nul » ici apparait comme une bonne chose car il fait regagner de l'autonomie, c'est une bouffée d'oxygène qui améliore la situation au moins temporairement.
Je donne quelque uns des autres sujets abordés et bien traités :
- le problème monétaire, non toutes les aides et besoins ne seront pas pris en charge, oui il vaut mieux être riche, oui c'est double peine si tu es pauvre on ose aborder le soucis de l'argent
- l'importance de différencier malade de maladie, avec la mise en place d'un surnom pour la maladie pour l'apprivoiser ce qui la rend plus réel et la distance de la personne
- toutes les petites choses évidentes qui ne le sont pas en fait largeur de porte, escalier…
- « vivement qu'il parte ça te libèrera » la phrase horrible et si fréquente que beaucoup trop de valides balance encore aux aidants
Le point de vue choisi est vraiment intelligent, ça rend l'histoire accessible aux plus jeunes, et on ose aborder beaucoup de choses importantes et souvent boudés des livres adultes.
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Bonjour mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour la chronique d'un tout petit livre au titre tout ce qu'il y a de plus intriguant, Papa est en bas. Intriguant en effet car cela rappelle la célèbre comptine qui a bercé nos dodos d'enfant sauf que dans le cas présent, papa n'a pas choisi la raison pour laquelle il doit rester en bas. Et si celui de cette histoire aime le chocolat et même tout ce qui se mange de façon générale, il n'est ici nullement question d'en préparer mais plutôt de survivre à l'indicible, l'inimaginable, tout en continuant de savourer les plaisirs simples du quotidien, vous vous en rendrez compte au fil de cette critique. Ce livre m'offrait aussi la fabuleuse occasion de retrouver la très belle plume de Sophie Adriansen, qui avait signé en tout début d'année 2018 l'inspirant et extrêmement touchant Lise et les Hirondelles. Je remercie donc infiniment les éditions Nathan pour cet adorable et bouleversant envoi et, sans plus tarder, place à mon avis sur cette nouvelle histoire de l'autrice !

Au fond, je n'aurais qu'une chose à dire sur ce livre, c'est qu'il est certes très court mais tout simplement bouleversant de justesse et de force brute. En outre, les trois personnages principaux de cette poignante histoire sont extrêmement attachants et profondément humains. On s'identifie aisément à eux malgré leur situation peu commune qui est celle de la formation d'un front commun contre une maladie grave et qui plus est orpheline, bien que des cas comme ceux-là soient bien plus fréquents qu'on ne pourrait le croire.

Pour parler plus en détails des protagonistes de cette tranche-de-vie parsemée d'une pléthore d'épreuves douloureuses et déchirantes qui peuvent sembler insurmontables à n'importe lequel d'entre nous mais que cette formidable famille surmonte avec aplomb ensemble, j'ai été notamment véritablement admirative face à la maturité exceptionnelle de la toute jeune héroïne qu'est Olivia, une collégienne remarquable d'intelligence et de lucidité concernant l'ironique cruauté de l'existence. Malgré le colossal poids de l'impuissance qu'elle doit déjà porter sur ses frêles épaules, elle fait preuve au fil des pages d'un optimisme incurable et d'un courage inébranlable qui m'a tout bonnement émue, au point que je suis ressortie de ma lecture comme en apnée. J'avais besoin de prendre une nouvelle inspiration pour encaisser le vibrant message que Papa est en bas véhicule, à savoir que rien n'est jamais acquis, même les choses les plus élémentaires, et qu'il est absolument essentiel de prendre conscience sans plus attendre de leur préciosité. Ce roman m'a également rappelé l'importance de la communication avec les autres, et ici plus particulièrement avec les êtres qui nous sont le plus chers. Dans le cas présent, les parents d'Olivia sont de véritables perles car non seulement ils font preuve d'une adorable sollicitude envers leur fille unique afin de la protéger de l'impitoyable mort qui peut survenir à chaque instant au sein de leur chaleureux foyer menacé, mais ils se montrent aussi tout ce qu'il y a de plus honnêtes avec elle afin qu'elle ne se voile pas la face et qu'elle tienne le coup lorsque l'instant fatidique aura in fine lieu. Ce que je retiens de plus marquant avec ce livre, ce sont les nombreux dialogues entre la fille et le père, qui subit directement la maladie, cette pourriture qui le ronge et le fait s'éteindre à petit feu malgré le nom si alléchant et merveilleux qu'ils lui ont donné. L'intrigue est rythmée par ces authentiques moments de complicité qui ne peuvent que nous toucher en plein coeur, impossible en effet de rester insensible. S'ajoute à cela un humour naturel et délicieux et un amour incommensurable pour la nourriture qui se ressent à chaque page qui se tourne, et vous comprendrez alors pourquoi Papa est en bas m'a autant parlé. Ce livre rassemble toutes les valeurs que je défends ardemment, tout ce(ux) que j'aime passionnément en un concentré de 128 pages à peine. Ce fut une expérience de lecture juste magique, éprouvante et instructrice aussi.

J'allais oublier de le mentionner mais cet ouvrage est également agrémenté d'illustrations qui à mon sens apportent un joli plus au récit, une simplicité, une douceur enfantine et attendrissante, désarmante qui permet d'alléger l'épouvantable tension engendrée par la fameux "tartiflette". de quoi avoir la réconfortante sensation d'être enveloppé dans un cocon en contemplant ces mignons petits dessins.

Je n'irai pas plus avant dans cette chronique afin de ne pas vous dévoiler l'intégralité du contenu de ce titre qui se dévore comme une bouchée de pain et dont le seul bémol par ailleurs est celui d'être bien trop rapide à parcourir à mon goût. On a à peine le temps de dire OUF ! que c'est déjà fini. Mais n'est pas là le propre de la vraie vie ? Vous avez quatre heures. Plus sérieusement, je conclurai en déclarant que la plume de l'autrice est toujours aussi sensible, au contact du réel, et qu'elle nous livre ici un roman sincère, émouvant, intense sur l'importance de profiter de chaque petit instant que nous offre l'existence, de se battre et de rester soudés en famille, entre amis, connectés avec l'humanité et ce jusqu'au bout pour ne pas oublier la beauté de ce monde et de nos souvenirs. Papa est en bas ou comment accueillir une invitée franchement indésirable avec panache et sans en perdre sa dignité. Une leçon de vie et de bravoure à garder religieusement dans nos coeurs et en mémoire. COUP DE COeUR ♥
Lien : https://lunartic.skyrock.com..
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Je n'attendais pas que la sortie de romans adultes en cette rentrée littéraire. le rayon jeunesse regorge aussi de jolies nouveautés… et j'attendais cette nouveauté du jour avec impatience. Avec Sophie Adriansen, j'ai toujours la certitude que je vais aimer lire ce que je vais lire, même si il s'agit comme ici d'un petit roman recommandé à partir de 10 ans. En effet, on retrouve dans ses mots l'humour, la distance respectueuse, l'intelligence qui la caractérisent. Et puis le thème m'intéressait. Dans Papa est en bas, nous rentrons dans l'intimité d'une petite famille, sous le regard de la petite fille de la maison. Quelque chose ne va pas. Papa doit renoncer petit à petit à bien trop d'activités, les efforts sont de plus en plus difficiles. Que se passe-t-il ? Papa finira par avouer qu'il est atteint d'une maladie qu'il appelle pudiquement du joyeux terme de Tartiflette, mais dégénérative, et sans espoir. Jusqu'à ce que Papa ne puisse même plus monter les escaliers et s'installe définitivement en bas. le trio rivalise d'idées pour rendre le quotidien le plus léger possible et surtout ne pas se laisser entraîner par la morosité. Maman ne perdra presque jamais son sourire. Et l'amour inonde cette maison, ainsi qu'un grand appétit de vivre, alors pourquoi s'attrister. Crêpe partie sur le lit médicalisé. Participation au jeu des 10 000 que Papa gagne haut la main. Il s'agit d'essayer tous les nouveaux gadgets qui rentrent dans la maison, comme le monte escalier installé au début de la maladie, ou ce fauteuil qui permet à Papa de gagner des courses. Mais c'est l'occasion d'observer également combien rien n'est adapté aux personnes en condition de handicap, combien les gens sont parfois désagréables, et combien la vie peut s'avérer parfois aussi bien injuste. J'appose sur ce petit roman jeunesse un joli coup de coeur car il m'a beaucoup touché. Bien entendu, on y retrouve le ton caractéristique des romans de cet âge, un ton drôle et léger, qui permet d'ailleurs d'éviter le pathos et donne la pêche malgré le thème. Sophie Adriansen explique en fin d'ouvrage d'où provient l'idée de cette histoire, que l'expérience vécue auprès de son oncle lui a donné cette leçon : tant qu'on n'est pas mort, on est en vie. Un doux roman jeunesse qui questionne sur notre manière d'enchanter notre quotidien et montre la vie telle qu'elle est parfois, avec ses écueils, ses drames, ses espoirs et ses joies.
Lien : https://leslecturesdantigone..
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critiques presse (1)
Ricochet
29 octobre 2018
Papa est en bas est une histoire toute en sensibilité sur une thématique douloureuse, à laquelle Sophie Adriansen apporte un regard inspiré de son propre vécu familial et empreint de sagesse.
Lire la critique sur le site : Ricochet
Citations et extraits (26) Voir plus Ajouter une citation
- Olivia, j’ai pris une grande décision. J’en ai parlé à maman, à présent je t’en parle à toi. Je vais arrêter. Je ne vais pas attendre de n’avoir plus que les yeux en état de marche. Même parler commence à devenir difficile. Je n’apprécie plus rien, et on a beau augmenter les doses de mes médicaments, la douleur me rattrape toujours. Tartiflette est une têtue, je te l’avais dit. Eh bien elle a gagné. Je dois le reconnaître.
Mon cœur s’arrête de battre, là, sur ce bord de lit d’hôpital. Je ne comprends pas, ce que papa est en train de m’annoncer. Il va arrêter … quoi ? De vivre ? Mais comment ? Il ne me laisse pas le temps de lui poser la question.
- Lundi prochain, à la place de mon traitement habituel, on va me donner, un décontractant. Ça va me détendre et … m’en dormir.
- Pour toujours ? demande-je sans y croire, tandis que mes yeux s’embuent de larmes.
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La maladie de papa n'a pas de nom. Enfin, je pense bien qu'elle en a un, et que papa et maman le connaissent mais ne veulent pas me le dire. D’après eux, la maladie est trop rare pour que cela avance à quoi ce soit. »
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Ça a commencé par le foot. Papa s'est mis à ne plus vouloir faire que le gardien, alors qu'il m'avait répété pendant des semaines que les buts, c'était pour les fillettes, et que c'est pour ça qu'il fallait qu'on occupe le poste d'attaquant à tour de rôle. Quand on a la chance d'être le père de la seule fille des environs qui aime le foot, est-ce qu'on choisit d'être statique dans une cage ? " On restera dans la cage le jour où on verra un oiseau marquer un but ", avait l'habitude de dire papa. Puis il y a eu la course. Il me laissait gagner chaque fois, et je n'avais même plus besoin de faire d'efforts. Ça perdait tout intérêt.
Ce qui m'a mis pour de bon la puce à l'oreille, c'est quand il n'a plus voulu marcher. Lui, toujours partant d'ordinaire, rechignait d'un coup à faire la moindre balade. Avec des excuses ridicules comme "il y a trop de vent", "la terre est gorgée d'eau sur les chemins" et même "il faut que j'aide maman à préparer le dîner" (alors que tout le monde sait que le dîner est bien meilleur quand papa ne s'approche pas de la cuisine).

J'ai choisi ce passage car cela explique comment la santé du papa s'est dégradée et on ressent la tristesse de la fille.
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Papa et maman m'ont souvent raconté que mes premières dents ont poussé quand j'avais quatre mois. Ce qui est très tôt pour un bébé, d'après ce que j'ai compris. Quatre d'un coup, en plus : deux en haut et deux en bas. Papa conclut toujours l'histoire en disant que c'est comme ça qu'il a su que j'étais vraiment sa fille.
En tout cas, je mords la vie à pleines dents.
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Citation 1 :
Mon papa est extraordinaire. Mais, ça, je n'ai pas attendu l'arrivée de Tartiflette pour le savoir.

Citation 2 :
La maladie de papa n'a pas de nom. Enfin, je pense bien qu'elle en a un, et que papa et maman le connaissent mais ne veulent pas me le dire. D'après eux, la maladie est trop rare pour que cela avance à quoi que ce soit.

Citation 3 : Heureusement qu'on habite pas en ville, avec des voisins qui feraient comme nous quand on allait marcher avec papa et qu'on s'amusait à imaginer la vie des gens dans les maisons : parce que là, si on nous voyait comme ça, attablés tous les trois en plein été autour d'une tartiflette, des bavoirs à homard autour du cou et le sourire aux lèvres, on nous prendrait sûrement pour des fous !
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À l'occasion de son épisode Spécial Jeunesse et Young Adult, Livres Hebdo réunit un panel complet de personnalités de l'édition pour cerner les spécificités de cette fin d'année. Un webinaire animé par Pauline Gabinari, journaliste Livres Hebdo, en direct de la Maison des Histoires, véritable musée à jouer situé au fond de la librairie Chantelivre.
Avec la participation de : - Sophie Adriansen, Autrice et grand témoin invité de l'épisode - Yaël Eckert, Directrice éditoriale chez@bayardjeunesse - Jean Poderos, Fondateur et directeur des @editionscourtesetlongues7634 - Aude Sarrazin, Directrice éditoriale jeunesse chez @glenatmangaofficiel3371 - Hadi Barkat, Directeur et fondateur de HELVETIQ - Camille Guénot, Responsable éditoriale aux @editionskaleidoscope et coordinatrice éditoriale aux @editionsmargot840 - Natacha Derevitsky, Directrice éditoriale chez @editionspkj3286 - Murielle Coueslan, Directrice chez @RageotEditeur - Dorine Borghino, Editrice chez @Scrineo - Maxime Massole, Libraire chez CHANTELIVRE PARIS
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