Un bon titre de Danielle Steel ; contrairement à d'autres, il est varié, on ne s'ennuie pas.Un bon moment de lecture. Cependant, cela reste une romance que je vais vite oublier.
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Elle était submergée par tant d'angoisses, tout à coup, à propos de sa vie, d'elle-même, de son corps.. Elle savait que, depuis un ou deux ans, son apparence s'était modifiée, bien que tout le monde lui affirmât le contraire. Elle vieillissait et souffrait de constater que le temps se montrait plus cruel envers elle qu'envers Simon. Tout avait passé si vite, elle avait atteint cinquante-quatre ans si rapidement ! Bientôt cinquante-cinq. . puis soixante.. Elle avait envie de crier : « Oh, mon Dieu ! Arrêtez tout.. Attendez. . J'ai besoin de plus de temps.
Peut-être tous les hommes sont-ils semblables, ou du moins tous ceux sur lesquels je tombe. Je crois que c'est ce qui me fait le plus peur, l'idée que ça pourrait se reproduire, encore et encore.. Que je pourrais très bien continuer à collectionner les pauvres types éternellement.
[...]Elle pleura jusqu'à plus d'une heure du matin. Quand enfin elle put raccrocher, Allegra songea que la vie était cruelle. Carmen voulait désespérément un bébé et perdait le sien ; Sam s'apprêtait à en avoir un alors que cela risquait de gâcher toute son existence. [...]
Mes parents m'ont appris, quand j'étais encore enfant, que la seule chose à faire est de se montrer discret, de mener une vie irréprochable et d'apprendre à ignorer ce genre de choses. Mais ça n'empêche pas les journalistes de vous courir après quand même.
Et les journaux à scandale ne sont guère plus reluisants. Ils sont prêts à inventer n'importe quel mensonge, sans se soucier des gens qu'ils font souffrir au passage.