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EAN : 9782707175557
340 pages
La Découverte (14/02/2013)
3.71/5   7 notes
Résumé :
Au moment où l'individu est de plus en plus souvent perçu ou rêvé comme un être isolé, autonome, responsable, opposé à "la société" contre laquelle il défendrait son "authenticité" ou sa "singularité", les sciences sociales ont plus que jamais le devoir de mettre au jour sa fabrication sociale. Car le social ne se réduit pas au collectif ou au général, mais gît dans les plus les plus singuliers de chaque individu.
Dans ce livre conçu pour expliciter le sens d... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (3) Ajouter une critique
Qu'est ce qu'un-e individu-e sinon une production de part en part sociale

Si certain-e-s inventent des individu-e-s comme êtres préexistant-e-s aux relations sociales, d'autres négligent les processus de socialisation permanents, les rapports sociaux, les dominations ; sans oublier celles et ceux qui dissolvent les individu-e-s dans le collectif.

Bernard Lahire présente de manière approfondie et plus polémique, des analyses qui parcourent ces précédents ouvrages. Contre les présentations de l'être humain comme un être isolé, autonome, responsable, authentique, etc., il souligne la nécessité pour les sciences sociales de travailler sur « la fabrication sociale des individus ». Il ajoute « Car le social ne se réduit pas au collectif ou au général, mais gît dans les plis les plus singuliers de chaque individu ».

Je choisis de centrer ma lecture sur l'avant-propos « le singulier pluriel ».

« L'idée qu'il existe un social (ou une histoire) à l'état incorporé, sous la forme de dispositions à agir, à croire, à sentir, etc., me paraît fondamentale lorsqu'on entend rendre raison des pratiques ou des comportements ».

Dans ma lecture du « Monde pluriel », j'avais indiqué que : si l'individu-e peut être approché-e comme une « structure feuilletée de leurs patrimoines de dispositions et de compétences », une telle formulation tend à gommer les aspects contradictoires internes aux personnes et aux systèmes quel qu'ils soient. Je souligne donc un paragraphe de cet avant propos : « En observant le monde social à l'échelle individuelle, on prend vite conscience du fait que les "influences" socialisatrices qui façonnent les individus sont loin d'être parfaitement cohérentes, contrairement à ce que l'on présuppose lorsqu'on évoque abstraitement les "classes de conditions d'existence" constitutives des habitus, que les individus ont donc rarement des patrimoines de dispositions homogènes, et, enfin, que les dispositions (plus ou moins fortement constituées et plus ou moins hétérogènes) dont ils sont porteurs ne se transfèrent pas systématiquement d'une situation à l'autre ».

L'auteur précise ses positions sur la « légitimité scientifique de la question de la variation individuelle des comportements » au delà de la psychologie pour aborder le « social à l'état incorporé » ou le « social individualisé ». Ce qui lui permet de formuler une question : « Par quelles opérations l'extérieur se plie à l'intérieur et comment s'organisent, au sein de chaque individu, et dans ses rapports avec les différents contextes structurants de son action, les produits de ces plissements ? ». Il précise que les expressions « social à l'état replié » ou « déplié » ne sont qu'une manière suggestive de parler, que le monde social n'est pas qu'extérieur aux individu-e-s, « Chaque individu porte en lui des compétences et des dispositions à penser, à sentir et à agir, qui sont les produits de ses expériences socialisatrices multiples ». Ces propos sont entrés « en résonance » avec les analyses de Jean-Pierre Terrail : de l'oralité. Essai sur l'égalité des intelligences, Editions La Dispute 2009.
Pour revenir au social, l'auteur précise « Mais le déplié et le plié, le découpé et le recoupé, le collectif et le singulier ne s'opposent aucunement. Il s'agit seulement de points de vue différents et complémentaires sur une seule et même réalité sociale » ou pour le dire autrement et de manière simplificatrice, l'intérieur n'est qu'un extérieur à l'état plié. En utilisant encore ces « métaphores », l'auteur poursuit : « Et, plus que cela encore, les fibres de ce tissu, qui se croisent et s'entrecroisent, sont constitutives de chaque individu. L'intérieur est de l'extérieur plié et n'a donc aucune espèce de spécificité, hormis les capacités générales d'un cerveau et d'un système nerveux prêts à se nourrir de toutes les expériences humaines possibles ».

Contre certaines études réductrices, contre la disparition « d'objets macrosociaux » (institutions, classes sociales, système de genre, processus de racialisation, etc.), Bernard Lahire ajoute « L'étude du social à l'état plié n'aurait aucun sens si elle ne pouvait s'appuyer sur l'étude du social à l'état déplié ». Les singularités relatives des individu-e-s sont produites sous l'effet et dans un réseau complexe de déterminations sociales.

Je ne souligne que quelques éléments des différents chapitre, essentiellement avec des citations.

Chapitre 1 : de l'individu libre et autonome : retour sur un mythe contemporain. Outre la critique de l'individualisme et l'oubli des hiérarchies, des dominations, des inégalités, des institutions, l'auteur souligne que certains auteurs « prennent leurs désirs intellectuels et politiques pour des réalités sociales ». Il souligne aussi la nécessité d'expliquer les phénomènes présentés comme des postulats (par exemple : l'individualisation).

« Or il faut avoir une drôle de conception de la socialisation – sans doute sous la forme d'une inculcation autoritaire et coercitive d'un agent socialisateur actif sur un agent socialisé passif – pour imager que le monde social d'aujourd'hui serait moins socialisateur ou moins contraignant que celui d'hier ou d'avant-hier ».

« Les choix ou les décisions n'expliquent rien mais sont eux-mêmes à expliquer et ils n'ont évidemment rien de libres »

« En fait la conscience d'un individu particulier ne prend forme que dans les relations d'interdépendance avec autrui et avec les produits objectivés de l'activité humaine ; son comportement n'est ni le produit d'une « pure intériorité » ni l'effet d'un « contexte extérieur » à lui, mais le fruit des relations d'interdépendance passées et présentes qui se sont exercées et continuent à s'exercer sur lui ».

« les individus des sociétés qui promeuvent certaines formes d'individualisme sont collectivement déterminés à se prendre pour les individus libres et autonomes qu'en réalité ils ne sont pas ».

Chapitre 2 : Individu et sociologie. L'auteur souligne les effets des luttes sur l'introduction de certains sujets traités (par exemple, les luttes féministes), revient sur les apports antérieurs et leurs limites de certains sociologues, ou sur l'exclusion des variations interindividuelles et des variations intra-individuelles. Il nous rappelle que « le tout est plus que la somme de ses parties », ou que « les parties néanmoins ne sont pas d'une autre nature que le tout et ne sont en aucun cas traitables comme si elles étaient les plus petites unités indivisibles ». Il souligne aussi l'intérêt des enquêtes et la lutte contre certaines habitudes de pensée. Il préconise « une sociologie à l'échelle individuelle qui analyse la réalité sociale en tenant compte de sa forme individualisée, incorporée, intériorisée ; une sociologie qui se demande comment la diversité extérieure est faite corps, comment des expériences socialisatrices différentes, et parfois contradictoires, peuvent (co)habiter (dans) le même corps, comment de telles expériences s'installent plus ou moins durablement en chaque corps et comment elles interviennent aux différents moments de la vie sociale ou de la biographie d'un individu ».

Chapitre 3 : La fabrication sociale des individus : cadres, modalités, temps et effets de socialisation. L'auteur distingue les socialisations primaires, essentiellement familiales, et secondaires. Il souligne, entre autres, que « le travail de socialisation et de resocialisation est un processus continu tout au long de la vie ».

Chapitre 3 : le cerveau disposé. le cerveau est très malléable, il se construit dans l'interaction sociale, « il est toutefois très fortement et durablement modelé sous l'effet de ce que l'environnement le contraint à vivre durant toute une période "critique" », la petite enfance. Il convient donc de ne pas oublier « l'intrication du biologique et du social » et que « le monde social est en nous autant qu'hors de nous ». Bernard Lahire souligne que nos compétences acquises ne sont que potentiellement mobilisables et ne sont réellement mobilisées que dans certaines situations.

« L'agir présent est donc hanté par la mémoire involontaire de l'expérience passée »

« le degré de transformation du cerveau dépend de la précocité, de l'intensité et de la durée des expériences socialisatrices vécues par les individus »

« les dispositions et les compétences ne s'usent et ne s'affaiblissent que si l'on ne s'en sert pas »

En conclusion « Considérations pratiques sur les théories scientifiques », Bernard Lahire revient sur le lien entre questionnements scientifiques et transformation sociale. Il critique l'absence de différence, pour certain-e-s, entre représentation et réalité des faits. Il propose de traquer « le monde social jusque dans ses plis les plus singuliers ». il dénonce les réductions individualistes des constructions libérales et autres. « les sociologues montrent que rien n'échappe aux logiques sociales : l'émancipation radicale, comme la reproduction sans surprise de situations attendues, a des fondements sociaux »

J'aurais apprécié un complément en termes d'analyse des processus particuliers de subjectivisation sous le capitalisme intégrant les effets des rapports sociaux de classe, de sexe et processus de racialisation sur les socialisations. Je souligne que l'auteur ne jargonne pas, n'hésite pas à polémiquer avec d'autres auteur-e-s, ne contourne pas les projections émancipatrices et le sens politique des études en sciences humaines. Il indique en fin de son avant propos : « Si l'on considère que les connaissances sociologiques sont difficilement détachables des questions touchant à la transformation, partielle ou radicale, du monde social, il est légitime de tenter d'imaginer le sens politique de ce que l'on s'efforce d'accomplir dans les règles de l'art scientifique »…

Une lecture stimulante contre les réductionnismes individualistes et pour une compréhension politique de la construction des individu-e-s. Une sociologie plus critique que bien des propositions de « sociologues critiques ».
Lien : http://entreleslignesentrele..
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J'ai ressenti une forme de jubilation mâtinée de soulagement à la lecture des premières pages de ce livre. Avec les années, j'ai développé un goût d'autodidacte pour certains écrits sociologiques. C'est sans doute une conséquence des années qui s'accumulent : se retourner sur son existence, la contempler à la lumière de celles des autres (passées ou contemporaines), chercher à y établir des points de comparaison, des schémas directeurs. Et très vite, être frappée de cette intuition que seul le libre arbitre ne peut expliquer toute une vie. Que si, par exemple, on s'est marié à tel âge pour divorcer à tel autre, qu'on vit dans une zone pavillonnaire ou dans tel quartier de centre-ville, qu'on mange vegan, bio, slow ou fast food, sur tel fond musical, il y a là quelque chose d'éminemment culturel, générationnel, bref, social qui dépasse notre identité, notre seule liberté à agir ainsi. C'est peut-être aussi une manière de donner du sens à une existence dont le déroulement semble souvent échapper. J'avais ainsi été aussi fascinée que déconfite à la lecture de la Fin de l'amour d'Eva Illouz. Fascinée de comprendre par quels rouages économico-scopiques nos comportements étaient mus. Et déconfite de trouver l'individu à ce point réduit à incarner ces grands mécanismes qui le détermineraient.
Bernard Lahire s'oppose à cette manière de penser de grands ensembles qui atrophieraient la singularité de chacun. Et en même temps, il combat l'idée qu'un individu pourrait n'agir que sur sa volonté propre sans enracinement social. Non les catégories sociales n'épuisent pas l'identité de chacun, le « cadre intermédiaire », la « ménagère de moins de 50 ans » ne résument aucun des personnes pouvant entrer dans ces typologies. Et non les institutions ne sont pas dépassées par des individus dont l'addition des volontés propres les aurait dynamitées. Bon, ça fait quand même du bien de le voir confirmé ! En plus, B. Lahire fait montre, dans la première partie de son livre au moins, d'une belle énergie à battre en brèche des théories adverses très établies. C'est assez réjouissant.
Ce qu'il propose ensuite l'est tout autant. Nous ne sommes que social et notre rapport au monde est le point d'interaction entre le social que nous avons mémorisé (toutes les interactions dans notre histoire avec les autres individus dans la variation de tous les cadres institutionnels) et la situation que nous rencontrons (situation elle-même réductible à des paramètres sociohistoriques particuliers). L'intériorisation d'expériences de sociologisation passée nous conduit à développer des compétences qui sont autant d'aptitudes que notre analyse du contexte nous permet d'utiliser, ou non. Et la récurrence de ces utilisations les renforce tout en les modifiant subtilement selon le processus utilisé par l'apprentissage des intelligences artificielles (là, c'est moi qui extrapole de ce que j'ai compris).
J'ai trouvé cette lecture très stimulante. Elle m'a permis de mettre au clair un ensemble de critiques que j'avais contre des lectures sociologiques antérieures et de conceptualiser ce qui restait assez nébuleux auparavant. J'ai trouvé la progression des chapitres assez aisée et le style abordable hormis le chapitre consacré à Durkheim qui ne m'a pas apporté grand-chose car n'ayant rien lu du grand homme, je suis bien peu à même de voir l'intérêt de déconstruire certaines de ses contradictions.
Tout à mon enthousiasme, j'ai été toutefois un peu déçue que le livre se finisse ainsi. Lahire explique bien que cet ouvrage vise à rendre plus audible ses analyses et collationne à ce titre différents textes antérieurs. Moi, j'aurais bien aimé qu'il approfondisse la définition des institutions à la lumière de sa sociologie « dispositionnaliste, multidéterministe et à l'échelle individuelle ». Les institutions, auxquelles l'auteur conforte une place primordiale dans l'organisation sociale mais aussi individuelle, sont-elles elles aussi à lire comme l'intériorisation d'expériences que tous les individus qui la composent ont cumulé ? Existent-elles en elles ou seulement dans le regard de ceux qui les utilisent et dans la perception qu'en ont ceux qui les incarnent ? Est-ce seulement le poids des normes (lois, décrets, cadres contractuels) qui les font exister ou ne sont-elles pas, tout comme les individus, des entités à la croisée entre une intériorisation sociale et une situation contextuelle que leur passé leur permet d'appréhender d'une certaine façon ?
Et puis, curiosité et vieux dada personnel, j'aurais bien aimé aussi que soit creusée une réflexion sur la définition du pathologique à la lumière de cette singularité sociale. Comment ce concept de pathologique (qui s'incarnerait dans la maladie à l'échelle individuelle et dans la rupture de loi à l'échelle de l'interaction collective ?) pourrait être éclairé par cette pleine intériorisation du social ? Il me semble que cela fait bouger les lignes. Si quelqu'un a des propositions de lecture explorant ces thématiques, je suis preneuse !
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L'auteur interroge un certain nombre de notions, concepts et processus couramment utilisés en sciences humaines et sociales: socialisation, individualisme, autonomie, ... le chapitre 4 "Le cerveau disposé" est un chapitre qui pourrait étonner le lecteur : qu'est ce qu'un sociologue peut-il bien raconter sur le cerveau ? C'est particulièrement étonnant et passionnant.
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critiques presse (1)
Bibliobs
21 mars 2013
Lahire met ici les choses au point. Loin d'être la conséquence d'un effondrement de la pression sociale, le bricolage culturel n'en est qu'une nouvelle forme. L'individu doit développer ses propres goûts, doit faire preuve d'autonomie, doit être différent, et cette nouvelle norme est aussi contraignante que l'ancienne.
Lire la critique sur le site : Bibliobs
Citations et extraits (19) Voir plus Ajouter une citation
Si l’on considère que les connaissances sociologiques sont difficilement détachables des questions touchant à la transformation, partielle ou radicale, du monde social, il est légitime de tenter d’imaginer le sens politique de ce que l’on s’efforce d’accomplir dans les règles de l’art scientifique
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une sociologie à l’échelle individuelle qui analyse la réalité sociale en tenant compte de sa forme individualisée, incorporée, intériorisée ; une sociologie qui se demande comment la diversité extérieure est faite corps, comment des expériences socialisatrices différentes, et parfois contradictoires, peuvent (co)habiter (dans) le même corps, comment de telles expériences s’installent plus ou moins durablement en chaque corps et comment elles interviennent aux différents moments de la vie sociale ou de la biographie d’un individu
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Il ne s'agit pas de condamner toute hypothèse un peu large sur les transformations du monde social à l'échelle d'une histoire de longue durée. Ce que l'on peut reprocher à certains auteurs, en revanche, c'est d'évoquer de "grandes transformations" (déclin des institutions, destruction des cadres traditionnels, montée de la fragmentation, de l'individualisme ou de l'injonction à être soi) et de les considérer comme des postulats.
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En fait la conscience d’un individu particulier ne prend forme que dans les relations d’interdépendance avec autrui et avec les produits objectivés de l’activité humaine ; son comportement n’est ni le produit d’une « pure intériorité » ni l’effet d’un « contexte extérieur » à lui, mais le fruit des relations d’interdépendance passées et présentes qui se sont exercées et continuent à s’exercer sur lui
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En observant le monde social à l’échelle individuelle, on prend vite conscience du fait que les "influences" socialisatrices qui façonnent les individus sont loin d’être parfaitement cohérentes, contrairement à ce que l’on présuppose lorsqu’on évoque abstraitement les "classes de conditions d’existence" constitutives des habitus, que les individus ont donc rarement des patrimoines de dispositions homogènes, et, enfin, que les dispositions (plus ou moins fortement constituées et plus ou moins hétérogènes) dont ils sont porteurs ne se transfèrent pas systématiquement d’une situation à l’autre
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Vidéo de Bernard Lahire
Bernard Lahire vous présente son ouvrage " Les structures fondamentales des sociétés humaines" aux éditions La Découverte. Entretien avec Jean Petaux.
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