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Chris Kraus (II) (Autre)
EAN : 9782714482044
336 pages
Belfond (21/01/2021)
3.52/5   78 notes
Résumé :
De nos jours, en Allemagne, et à New York, dans les années 1990.
Un homme vient de mourir. En triant les papiers, sa fille retrouve son journal et se plonge dans l’histoire de ce père aussi fantasque que fragile.
Jonas n’a pas encore trente ans quand il débarque à New York, laissant à Berlin Mah, sa petite amie mythomane et follement jalouse, pour vivre son rêve de cinéma. Au gré de rencontres déjantées, Jonas découvre, fasciné, un milieu où flottent e... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (34) Voir plus Ajouter une critique
3,52

sur 78 notes
Jonas est étudiant en cinéma. Il doit rendre sa copie, autrement dit un court-métrage. S'il a une idée vague du sujet qu'il pourrait traiter, ce qui est clair c'est qu'il ne tournera pas « un film à la con sur les nazis ! ».

Le lieu de tournage du futur court-métrage est New-York, et ce sont les confidences de trois carnets noircis lors de ce séjour déconcertant qui permettent au lecteur de fréquenter pour un temps les lieux branchés de la ville qui ne dort jamais, de s'immiscer au coeur ses souvenirs d'une tante sauvée par un officier nazi malgré ses origines juives et d'assister aux tergiversations amoureuses du jeune homme.

La galerie de personnages est haute en couleur, de l'hôte obèse atteint du syndrome de Diogène qui l'hébergera pour un temps, au fantasque équivalent d'un directeur de thèse. Sa fiancée restée à Berlin n'a pas un profil banal et notre narrateur lui-même fragilisé par un traumatisme crânien, a du mal à trouver ses repères cours de ce voyage qui fait voler en éclat ses certitudes passées.

Les situations cocasses et le regard à la fois tendre et sévère sur les personnages donnent un ton léger qui n'empêche pas de traiter avec sérieux le sujet en toile de fond, à savoir le rôle des SS dans les pays baltes au cours de la deuxième guerre mondiale.

Quel sera le sujet du court métrage réalisé à New-York, l'érotisme des oreilles ou un « film à la con sur les nazis » ? Les lecteurs le découvriront au terme du récit.

Lu avec plaisir et je remercie les éditions 10/18 et Netgalley.

Lien : https://kittylamouette.blogs..
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Il est mort lorsque Puma, sa fille, ouvre ses carnets de voyage rédigés à la pointe graphite 2B et découvre le secret de sa naissance…
Jonas Rosen, petit-fils de SS, part à New-York pour réaliser un film porno ou un documentaire sur l'oreille, il ne sait pas encore. En tout cas certainement pas « un film à la con sur les nazis ». Il découvre vite un monde de marginaux imprégnés de la culture Beat Génération où Ginsberg hante encore les réceptions, Les ombres de Kerouac et Burroughs planent dans les esprits et où Herbert Huncke vient de mourir.
Avec ce roman, Chris Kraus fait parfaitement rimer grotesque avec burlesque.
On est loin, très loin de « la fabrique des salauds » dans cette fable urbaine tragi-comique.
« Baiser ou faire des films » est une agréable et amusante récréation en attendant le prochain ouvrage de l'auteur.
Traduction de Rose Labourie.
Editions Belfond, 321 pages.
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Jonas Rosen, étudiant à Berlin, est chargé par Lila von Dornbuscg son professeur de réaliser un film sur le sexe. Pour ce faire, il se rend à New-York où il doit préparer le terrain, nouer des contacts, trouver des logements pour que son équipe puisse débarquer chez Oncle Sam dans les meilleures conditions. On va le suivre pendant quelques semaines à l'automne 1996.

Il arrive donc seul laissant sa compagne Mah en Allemagne, il est hébergé par Jeremiah, dans un appartement minuscule où la saleté règne en maitre. Jeremiah, en état d'obésité morbide, vautré dans ce qui fut un canapé, nous est présenté comme le cas typique d'un patient atteint de syndrome de Diogène : tout s'entasse dans l'appartement, les livres, les ordures, les restes de nourriture, la vaisselle sale et bien sûr les excréments du chine et des chats…

Jonas n'a qu'une envie, partir mais pour aller où ? Il prend contact, comme promis avec tante Paula, artiste reconnue, veuve, atteinte d'un cancer en phase terminale qui veut lui raconter son passé de femme juive (demie-juive diraient les nazis) à Riga, où elle a travaillé sous les ordres d'un SS notoire, le sturmbannfurher (à vos souhaits !), qui n'est autre que Opapa, le grand-père de Jonas…

Il n'a pas envie d'entendre ce que Paula veut lui révéler, et surtout ne veut pas faire « un film à la con sur les nazis » (on ne risque pas de l'oublier, tant la phrase revient souvent dans le roman, notamment 10 fois de suite lors du « prologue », mais le passé finit toujours par remonter, à la surface, les secrets cachés, enfouis très profondément mais qui se transmettent en douce aux générations suivantes.

Jonas téléphone régulièrement à Mah, jalouse, possessive sur les bords, qui a toujours peur qu'il rencontre une autre femme.

D'autres personnages vont accompagner Jonas, notamment Nele Zapp stagiaire à l'institut Goethe, plus ou moins bien dans sa tête, qui boit beaucoup, cherche à s'étourdir et finit par s'attacher à Jonas.

On fait la connaissance de célébrités de l'époque, côtoyant la « Beat Génération » et des étudiants du groupe, venus aider le héros à finaliser son projet, nébuleux : ce sera le sexe et l'oreille il décide d'interroger des gens dans la rue pour savoir ce qu'ils pensent de l'oreille dans la sexualité !

Cela doit faire trois mois que je rame dans cette lecture ; la sexualité est omniprésente mais en termes tellement crus qu'on tutoie la nausée. Je l'ai déjà dit dans ce blog, je n'aime pas le langage cru dans un roman ! ça heurte mes chastes oreilles pour rester dans le contexte, on l'entend assez dans la rue ou ailleurs, un livre doit être bien écrit ! Je me suis fait un challenge, lire le tiers du roman avant de lâcher l'affaire, parce que j'ai eu un coup de coeur pour le précédent roman de Chris Kraus : « La fabrique des salauds » et aussi parce que j'avais lu quelques critiques assez enthousiastes. Au moment où j'allais lâcher prise, arrive le témoignage de Paula sur les exactions de grand-papa Rosen pendant la guerre, et c'est ce qui m'a motivé pour continuer.

J'ai peu apprécié la mentalité des jeunes étudiants du groupe de Jonas, égocentriques, nombrilistes, qui vivent dans un monde virtuel tout en appréciant le luxe de l'immeuble où loge Paula. Par contre, le fait de présenter l'histoire, sous la forme de carnets écrits par Jonas, et retrouvés par sa fille à la mort de celui-ci est intéressant.

J'ai beaucoup pensé à la sensation de malaise qui m'avait accompagnée lors de la lecture d'un roman pourtant encensé par les critiques: « La conjuration des imbéciles » de John Kennedy Toole

J'ai retrouvé la plume de Chris Kraus dans un exercice particulier, tutoyant l'absurde, mais émaillé de souffrance et de désillusion, ce qui finalement m'a touchée plus que je ne le pensais et je suis contente d'être arrivée au bout, ce qui est un exploit en fait. J'ose espérer que l'on va retrouver bientôt un livre aussi puissant que « La fabrique des salauds » …

Un grand merci à NetGalley et aux éditions Belfond qui m'ont permis de découvrir ce nouveau roman d'un auteur qui m'avait littéralement conquise avec son premier opus.

#ChrisKraus #NetGalleyFrance
Lien : https://leslivresdeve.wordpr..
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Puma Rosen nous livre le contenu des carnets de son père Jonas, lorsqu'il était élève cinéaste, en partance pour New York, où il devait tourner un film 'sexuel'. Mais à New York, rien n'est simple. Hébergé dans l'Alphabet City des années 90 chez un vrai crado aux tendances homosexuelles non dissimulées, Jonas va être tiraillé par des intérêts contraires dans un mode de fous et où sa tante Paula va arriver avec le poids du passé familial.

Ce livre m'est tombé entre les mains , et il a bien fait. Un peu déjanté, il revient sur le poids du passé qu'une génération allemande a dû affronter. On apprend , enfin moi, au passage qu'Hugo Boss a lancé son entreprise avec ces sémillants costumes SS.
Jonas, notre héros est aussi confronté à la tentation de l'amour extra conjugal, dans un monde du cinéma qui est présenté sous un aspect vaguement dépravé.
Le tout est narré avec beaucoup de rythme , d'humour et de finesse . Les personnages , excentriques pour la plupart, rendent notre Jonas presque fade !
Au delà de l'histoire, mon attention aura été retenue par une phrase de l'auteur qui nous fait sentir qu'il peut arriver dans une vie que l'on laisse une partie de son coeur dans un endroit que l'on quitte. Comme si l'on voulait y rester pour toujours un peu.
Enfin, et ce sont les derniers mots des remerciements du livre , je me permets de recopier cette phrase qui m'a évoqué beaucoup de souvenirs.
"Pour finir, à l'époque malade qui est la nôtre, rongée par les inflammations politiques, par les tumeurs cérébrales que sont la guerre et les déplacements de population, ainsi que par une épidémie galopante de dictateurs, je souhaiterais expressément remercier les années 1990 d'avoir été cette décennie qui, sans être rayonnante de santé, fut une convalescence pleine d'espoir où, l'espace d'un moment, tout semblait possible.
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La fille de Jonas Rosen prévient le lecteur dans la « Préface de Puma » (2018), son père attirait les catastrophes. Après la mort inopinée (?) de celui-ci, que Puma raconte dans ces quelques pages liminaires, elle a trouvé trois carnets écrits de sa main dans lesquels il relate un curieux séjour d'un mois à New York, à la fin de l'été 1996. En fait, étudiant en cinéma à cette époque, il s'y rend à la demande d'un de ses professeurs pour régler les détails du séjour pour lui-même et pour cinq autres étudiants. Ils sont censés y tourner un film sur le sexe… Jonas ne sait pas encore quel aspect va prendre son film. Il n'est sûr que d'une chose et il l'écrit dix fois sur la première page du premier carnet : « Je ne tournerai pas de film à la con sur les nazis ! » Chris Kraus immerge son personnage, Jonas Rosen, dans une ville qui lui est inconnue et dont il ne possède que scolairement la langue, avec peu de moyens pécuniaires et, pour tout point de chute, une adresse à l'institut Goethe. Autant dire que Jonas va multiplier les expériences inédites et faire un apprentissage rapide et intensif de la vie, beaucoup plus que du cinéma.
***
Je n'ai pas éprouvé dans le dernier roman de Chris Kraus, Baiser ou faire des films, les émotions très intenses qui m'avaient submergée à la lecture de la Fabrique des salauds. Mais si l'on excepte le titre inutilement provocateur et, d'après les réactions des lecteurs de la bibliothèque, totalement contreproductif, ce roman est lui aussi plein de qualités et m'a beaucoup plu. le jeune Jonas est touchant dans ses efforts pour se concilier les bonnes grâces des uns et des autres, et pour tenter de se faire accepter dans cette ville et ce milieu inconnus, pas toujours accueillants. Ses mésaventures et ses rencontres sont prétextes à revisiter certaines périodes de l'Histoire, essentiellement la Beat Generation ainsi que les exactions des nazis pendant la Deuxième Guerre mondiale à Riga. Paula Hertzlieb, la « tante » de Jonas se révèle être un personnage bien déjanté, mais sympathique et généreux. Jonas apprendra auprès d'elle beaucoup de choses sur le passé de sa famille, en particulier de son grand-père : l'Histoire le rattrape. J'aime beaucoup l'écriture de Chris Kraus. En passant, merci à la traductrice, Rose Labourie qui a su rendre magnifiquement l'ironie, l'humour noir, le sarcasme qu'emploie l'auteur. Je recommande chaleureusement ce roman, mais permettez-moi ces petits conseils : ne lisez pas la quatrième de couverture, conservez le titre original (Femmes d'été, Femmes d'hiver) et relisez la préface quand vous aurez fini le roman…
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critiques presse (3)
LeMonde
09 avril 2021
L’écrivain allemand signe le roman d’un jeune Allemand hésitant, qui voudrait oublier les fantômes du siècle dans le New York des années 1990.
Lire la critique sur le site : LeMonde
LeFigaro
11 février 2021
Baiser ou faire des films est jubilatoire. D’une drôlerie, d’une poésie, d’une ­tendresse réjouissantes.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
RevueTransfuge
09 février 2021
Une farce new-yorkaise, joyeusement monstrueuse, pour se confronter au passé allemand ? Tel est le pari brillamment remporté par l’auteur de La Fabrique des salauds dans son nouveau roman.
Lire la critique sur le site : RevueTransfuge
Citations et extraits (14) Voir plus Ajouter une citation
Uzi Kisko est en déplacement.Et avec Hollie Lehmann, qui dirige le département cinéma à l’Institut Goethe, je me suis cassé les dents.

-Oui, ma collègue m’a déjà raconté

.-Comment ça?

-Sa visite d’hier

.-C’est-à-dire?

-L’histoire du chat

-Oui, elle sait s’y prendre avec les chats.

-Malheureusement, nous sommes débordés en ce moment. Il y a une exposition sur Servius Feind au MoMA, et c’est nous qui l’organisons. Vous voulez venir au vernissage après-demain?

-C’est que le professeur Dornbusch nous a interdit d’aller voir des expositions.

-Ah bon?

-Strictement interdit.

-Je vois.

-Pas d’exposition. Pas de théatre. Pas d’opéra. Pas de télévision. Surtout, rien d’allemand!

-C’est une position comme une autre.

-On a besoin de chambres pour loger le reste des étudiants.

-Le reste, c’est combien?

-Cinq.

-Et le budget, c’est combien?

-Zéro.

-M. Dornbush veut des logements à titre gracieux?

-Oui.

-Cinq personnes? A New York City?

-Oui.

-Un hébergement gratuit dans cette ville?

-C’est l’idée?

-L’institut Goethe n’est pas une agence immobilière, monsieur Rosen. Mais nous vous aiderons dans la mesure de nos moyens. Enfin, des artistes qui ne s’intéressent pas à l’art. C’est du jamais-vu.

-Merci.

-Passez nous voir la semaine prochaine.

-Plus tôt, ce serait possible?

-La semaine prochaine, si ce n’est pas trop compliqué pour vous.

-Pas du tout.

-Mlle Zapp ne se déplacera plus jusqu’à vous.

Et cette peau de vache a raccroché.
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Plus d’un lecteur, pour ne pas dire plus d’une lectrice, risque de trouver certaines situations décrites au cours des pages suivantes tirées par les cheveux, voir complètement fantaisistes. Mais je crois que ces lignes sont un hommage au XX ème siècle qui touchait alors à sa fin, à ses contemporains si lointains, si grisants et grisés d’eux-mêmes, dont les désirs et les actes nous semblent étrangers, étrangers et jeunes d’une manière qui n’a rien à voir avec celle dont nous sommes jeunes aujourd’hui, en tout cas dont je le suis moi. Puma Rosen, New York le 13 janvier 2018 »
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J'ai souvent échappé à la mort, mais encore jamais avec cette conviction d'en avoir tiré une leçon. La survie est toujours instructive, au contraire du train-train quotidien qui donne à notre existence des airs d'évidence.
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Les autres ne veulent pas qu'on prenne trop de plaisir. Ils pensent que c'est mauvais pour ce qu'on a, surtout quand on a connu le pire. Ils ne veulent pas non plus le pire, personne ne veut voir l'autre souffrir plus que de raison. Le désir sans bornes et la douleur sans bornes sont aussi inquiétants l'un que l'autre. C'est l'absence de bornes qui nous fait peur. Il faut dormir, faire profil bas, consommer, aspirer à la possession et nous faire au sort de tous les bornés -autrement dit, nous entasser dans des boîtes à sardines et, en compagnie de nos voisins sardines, rêver d'un long fleuve tranquille, rêver d'être rejetés dans ses eaux pour partir à l'aventure à joyeux coups de nageoires.
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On en fait trop avec l’avenir, surtout qu’il n’existe pas. C’est un virus qu’on attrape dans le passé et qu’on couve dans le présent. Comme le sida. On finira par en mourir, peut-être pas tout de suite, mais un jour ou l’autre c’est certain.
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Vidéo de Chris Kraus (II)
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