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EAN : 9782266332309
312 pages
Pocket (06/04/2023)
4.35/5   849 notes
Résumé :
Le Jardin des Cybèles est une maison de repos qui accueille des personnes abîmées par la vie. Cet été, elle ouvre ses portes à deux nouvelles pensionnaires : Valérie et Anna.
Quelques jours après leur arrivée, elles font la connaissance de Charline, la propriétaire d’une pâtisserie voisine. Ce lieu chaleureux devient un véritable refuge pour les deux femmes, qui adorent s’y retrouver pour déguster des gâteaux tout en bavardant.
Mais une nouvelle dramat... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (189) Voir plus Ajouter une critique
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- Valérie, Anne se retrouvent à la maison des Cybèles, un endroit de ressourcement pour personnes en difficulté.
- Valérie vit un burn-out et un problème de trouble affectif avec ses deux filles.
- Anne vient de perdre son bébé de mort subite.
Elles sont aidées par une psychologue très efficace et bienveillante, Catherine.
J'ai adoré le truc des petites cuillères invoqué par la psy.
Une image pour illustrer le stock d'énergie qu'une personne en burn-out n'a plus et doit pour bien faire reconquérir petit à petit.
- Charline tient un salon de dégustation non loin des Cybèles. Valérie y va le plus souvent possible pour ses délicieuses pâtisseries mais aussi pour l'amitié qui commence à naître entre elle et Charline.
Elle parvient à y emmener Anne et l'initiative sera heureuse.
Charline a connu de sérieux coups durs et va en connaître encore un de taille.
Une très belle histoire d'amitié.
Pas un grand roman mais ça se laisse lire grâce aux trois personnages sympathiques qu'on y rencontre.
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Voici mon retour de lecture sur Et que quelqu'un vous tende la main de Carène Ponte.
Le Jardin des Cybèles est une maison de repos qui accueille des personnes abîmées par la vie.
Cet été, il ouvre ses portes à deux nouvelles pensionnaires : Valérie, qui tente de se remettre d'un burnout, et Anna, détruite par la récente perte de sa fille.
Quelques jours après leur arrivée, Valérie et Anna font la connaissance de Charline, la propriétaire d'une pâtisserie voisine. Rapidement, ce lieu chaleureux devient un refuge pour les deux femmes, qui adorent s'y retrouver pour déguster des gâteaux tout en bavardant.
Mais lorsque Charline apprend une terrible nouvelle, Valérie et Anna décident de tout mettre en oeuvre pour épauler leur nouvelle amie dans cette épreuve.
Toutes trois embarquent alors pour une virée au bord de la mer.
Le temps de ce séjour improvisé, elles comptent bien réapprendre à profiter de la vie !
Et que quelqu'un vous tende la main est un très joli roman comme Carène Ponte sait nous écrire.
C'est une belle histoire d'amitié qui parle de deuil, de dépression, de maternité, de reconstruction.. Des thèmes forts et très bien traités, avec une grande sensibilité.
Les personnages sont très touchants, aussi bien Anna, Valérie, que Charline. Toutes trois sont vraiment attachantes, chacune à sa manière.
Sans oublier Catherine, une psychologue bienveillante et très compétente qui a une idée géniale concernant des.. petites cuillères.. mais je ne vous en dirais pas plus pour ne pas trop en dévoiler ;)
J'ai aimé l'idée du jardin des Cybèles, une maison de repos pour les cabossés de la vie.
Et la pâtisserie, juste à coté, qui est là aussi pour réparer les coeurs grâce à des sucreries :) Car le sucre, c'est la vie ;)
Et que quelqu'un vous tende la main est un joli roman qui m'a charmé. Je vous invite à le découvrir à votre tour et le note cinq étoiles :)
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Le titre vous interpelle ? C'est en effet la deuxième phrase du refrain d'un titre bien connu du groupe Sinsemilla, intitulé « Tout le bonheur du monde ». Un joli clin d'oeil pour une histoire qui colle parfaitement aux intentions de ladite chanson. Carène Ponte nous offre ici un roman aux portées psychologiques optimistes ; ou du moins, pleines d'espoir. Prêts pour un ascenseur émotionnel ?

« Il m'a fallu moins d'une minute pour perdre le contrôle. Pour laisser échapper tout ce que je tenais à bout de bras depuis des semaines. Comme lorsqu'on transporte un objet beaucoup trop lourd et volumineux et qu'on le sent glisser un peu plus à chaque pas.
En moins d'une minute tout a volé en éclats.
Ce matin- là, j'ai perdu pied. » le Jardin des Cybèles accueille des femmes qui ont craqué, un jour, devant un quotidien devenu trop lourd à gérer, suite à un deuil, ou à un traumatisme insubmersible. Des femmes brisées par la vie qui ont pris le chemin de cette maison de repos, ultime recours à une tentative suicidaire.

« Lorsqu'elle a estimé que je n'avais plus besoin d'elle, que j'étais assez grande pour me préparer avant de partir à l'école, pour en revenir, expédier mes devoirs et me faire à manger, elle a décidé de rattraper le temps perdu. J'avais dix ans, une grand- mère décédée, un père qui avait foutu le camp et une mère qui me demandait de l'appeler "Sabine" plutôt que "Maman". » Valérie souffre de ne pas savoir aimer ses filles, n'ayant pas eu le « mode d'emploi » de la mère aimante et attentive. Elle n'a pas connu l'amour maternel en amont et ne sait pas comment montrer à ses filles ses propres sentiments. Avoir en plus un mari qui ne comprend pas, une maison à gérer, des responsabilités toujours plus lourdes à assumer au niveau professionnel. Valérie craque.

« Je propose de porter un toast aux jolies rencontres, ces petits cadeaux de la vie qui nous aident à supporter tout le reste, dit-elle en levant son verre. » Au Jardin des Cybèles, Valérie va rencontrer la jeune Anna, au traumatisme ô combien douloureux (ce que j'ai pleuré…), mais aussi Charline, qui tient le salon de thé et de pâtisseries situé à quelques mètres de la maison de repos. Entre ces trois femmes aux profils et aux traumatismes différents, va naître une formidable amitié, qui va permettre à chacune de panser quelques plaies, mais surtout, de reprendre confiance en elle- même, et plus simplement, dans le destin – leur destin.

Au final, un roman qui ma retournée comme une crêpe… le deuxième que je lis de l'auteure et je pense que je vais continuer à la suivre. le personnage de Valérie, outre le prénom, a fait raisonner tant de choses en moi… Et puis Anna… Carène Ponte insuffle un tel élan de vie à ses personnages qu'il est difficile de ne pas avoir envie de les connaître, ou mieux, de les prendre dans nos bras. Un roman psychologique sensible, dans lequel tout le monde se reconnaîtra d'une manière ou une autre, forcément.
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Un roman choral qui m'a beaucoup plu.
On y rencontre trois femmes qui au départ ne se connaissent pas et n'ont rien en commun.
Si ce n'est que toutes les trois vont vivre des choses très difficiles dans leur vie.
Nous croisons d'abord Valérie qui a eu une enfance difficile et vient de faire un burn out. Anna une jeune femme qui vient de perdre son bébé.
Ces deux femmes se retrouvent au jardin des Cybèles, une maison de repos. Leurs pas vont les guider vers une patisserie tenue par Charline. Peu à peu ces femmes malmenées par la vie vont apprendre à se connaître et à s'apprécier. Quand Charline va être confrontée à une terrible épreuve, les trois amies vont louer une maison au bord de la mer et panser leurs blessures.
C'est un roman qui m' a boulerversée (j'avoue que je n'en attendais pas tant d'un roman étiqueté feel good). J'ai aimé le personnage du psychologue et sa théorie des petites cuillères.
Enfin les sujets abordés ne laissent pas indifférents: deuil, perte d'un enfant, dépression, maternité, pression du travail...
J'ai aimé voir cette amitié naissante, la bienveillance de la psychologue et la pâtisserie de Charline qui m' a donné envie de dévorer ses gâteaux ! Les personnages sont très touchants.
J'ai passé un très bon moment !
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Une nouvelle pépite écrite par Carène Ponte. J'ai tout de suite craqué pour le titre de ce roman, qui m'a tout de suite mis la chanson célèbre de Sinsemilia dans la tête (« tout le bonheur du monde »). Je l'ai très souvent fredonnée à chaque fois que je reprenais le livre. Les paroles de la chanson collent d'ailleurs parfaitement avec l'histoire. Et puis ensuite, c'est écrit par Carène Ponte, qui est une valeur sûre pour moi. J'ai aimé chaque des livres que j'ai lus d'elle. Elle a une plume très sensible, douce, poétique, et un humour qui fait que l'on s'attache très vite à ses personnages, à leur histoire.

Et ça va encore être le cas ici. Je ne vais pas trop vous détailler ce qui arrive, car il faut le découvrir par soi-même pour mieux ressentir les impressions de découverte.
J'ai donc fait la connaissance de trois femmes, Valérie, Anna et Charline. Aucune d'entre elles ne se connait au début du livre. Anna et Valérie vont arriver dans une maison de repos, le Jardin des Cybèles, suite à de gros soucis personnels. Je ne vous révélerais pas lesquels, mais ils sont vraiment très touchants. Valérie aborde Anna dans un cours de dessin. Elle a aussi découvert en se promenant, un salon de thé très agréable où elle aime venir se détendre. Il faut dire que la propriétaire, Charline, sait mettre ses clients à l'aise, elle est très empathique, discute facilement de tout et de rien et ça fait un bien fou à Valérie. Elle va y emmener Anna, et ainsi va se nouer entre ces trois femmes une belle amitié, une belle connivence. Elles vont se raconter, s'écouter, et c'est très important pour leur reconstruction. Malheureusement, la vie et ses problèmes vont les rattraper, Charline va être touchée par une dramatique nouvelle. Et la réaction de ses deux amies est superbe, elles vont laisser leurs propres problèmes de côté et vont tout faire pour épauler Charline. Elles décident d'emmener Charline en vacances pour quelques jours au bord de la mer. Ce séjour va leur permettre de remettre tout à plat, et repartir sur de bonnes bases.

Je ne peux vraiment rien dire de plus. Et je ne peux surtout pas vous révéler les drames qui ont jalonné la vie de ces trois femmes. Je me suis sentie très proche d'elles tout de suite, car à moi toute seule, j'ai vécu ce qu'elles vivent toutes les trois. Je me suis donc retrouvée dans chacune de ces femmes, en tant que femme, que mère, qu'épouse. J'ai reconnu les fragilités et surtout cette culpabilité qui peut ronger la vie. Je me suis attachée à elles très vite et je pense qu'il ne peut pas en être autrement, et que chaque lecteur sera dans ce cas. Difficile de rester de marbre face aux événements de vie de ces femmes. On est forcément touché dans notre coeur.
Valérie, Anna et Charline sont trois femmes atteintes par la vie. Elles sont de très belles personnes, elles savent être à l'écoute de l'autre malgré leurs propres problèmes, elles savent réconforter, et elles savent changer les idées de leurs amies. Elles savent mettre leurs problèmes de côté pour se consacrer aux autres, s'oubliant même parfois. Je me suis aussi reconnue dans ce côté-là, car je m'oublie très souvent pour venir en aide aux autres. Elles vont savoir écouter leurs envies, dire pardon lorsqu'il le faut. Ce sont vraiment trois personnes géniales. Je les ai aimées toutes les trois de la même façon.

Carène Ponte a ce talent de nous faire aimer ses personnages, de ressentir des émotions pour eux. Elle a ce don de nous émouvoir, sans en faire de trop, pas de misérabilisme chez elle, et pourtant vu ce que vivent ses héroïnes, elle aurait pu. Elle arrive à doser à la perfection. Elle retranscrit très bien les sentiments, les positifs comme les négatifs. Elle sait mettre des touches d'humour qui allègent une ambiance plus lourde, on rit souvent, on pleure aussi. Elle décrit très bien aussi les lieux, que ce soit à la maison de repos, ou au séjour à la mer. Je suis très bien arrivée à me représenter tous les lieux.

J'ai retrouve avec plaisir le style de Carène Ponte, très fluide, très prenant. Son choix narratif est à la première personne du singulier. C'est une narration que j'apprécie énormément, car elle me permet de rentrer dans la tête et la peau du personnage, d'être au plus près de ses émotions et de les ressentir. C'est un roman choral, l'autrice a donné la parole aux trois femmes, chacune leur tour. J'aime beaucoup aussi, car cela permet d'avoir un point de vue différent sur une même scène. Cette alternance de chapitre à plusieurs voix donnent beaucoup de rythme à la lecture. Et en même temps, j'essayais de ralentir ce rythme pour rester le plus longtemps possible avec l'histoire. Je n'avais pas envie de quitter les personnages et de leur dire aurevoir.

Cette histoire est une formidable histoire d'amitié, une très belle leçon de vie. Et le titre colle parfaitement, lorsque quelqu'un vous tend la main, tout ne peut qu'aller mieux, on se sent moins seul, on est alors prêt à bouger des montagnes. Ces trois femmes vont se tendre la main, vont s'entraider. C'est vraiment très beau. Mon petit bémol irait au fait que j'ai trouvé que certaines situations se terminaient un peu trop facilement, mais ce n'est qu'un avis personnel, et c'est surtout aussi dû au fait que pour moi, cela ne se soit pas si bien résolu…donc évidemment, j'enviais un peu cette positivité. Et j'avais envie aussi de rester avec les personnages…ceci est vraiment très personnel.

Je me suis vraiment régalée avec ce livre, comme avec chacun des livres de cette autrice d'ailleurs. J'ai été touchée en plein coeur, cela a remué beaucoup de choses en moi, et cela m'a donné surtout envie de dire à mes proches combien je les aime. Je ne peux bien sûr que vous recommander la lecture de cette formidable histoire de femmes. Et de vous conseiller de lire les romans de Carène Ponte, au cas où vous ne l'auriez pas encore fait. Chaque roman est un coup de coeur pour moi. Tout y est vraiment très bon. Ce sont des histoires touchantes, qui vous font réfléchir et relativiser sur vos propres soucis. Pour moi, ce sont bien plus que des romans feelgood. Ils me poussent à chaque fois dans mes propres retranchements, et à analyser mes propres pensées. Et j'apprends aussi des choses qui m'aident dans mon quotidien. Je pense par exemple à la théorie des petites cuillères que je ne connaissais pas du tout, qui a été créée par Christine Miserandino en 2003. Je vous laisse la surprise de la découverte, mais depuis que je l'ai découverte, j'essaie de l'appliquer chaque jour…et je dois bien avouer qu'en ce moment, mon stock de petites cuillères s'amenuise très vite.
J'aime toujours autant Carène Ponte et je vais continuer de la suivre avec grand plaisir. J'adore sa façon bien à elle de mettre des notes en bas de page sur ce qu'elle écrit, c'est toujours décalé et très drôle. Je n'ai qu'une hâte maintenant, c'est de lire le prochain roman de Carène Ponte, je sais que je dois attendre, bien sûr, mais j'ai quand même hâte…

Lisez ce livre, c'est comme un bonbon à déguster. Je ne vais pas oublier de sitôt Valérie, Anna et Charline. Elles vont avoir une place particulière dans mon coeur.

Il ne me reste plus qu'à remercier Carène Ponte pour tout ce qu'elle m'a fait vivre pendant la lecture de son roman, et de la féliciter pour la qualité de son écriture.
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Citations et extraits (68) Voir plus Ajouter une citation
Est-ce que j'ai fait quelque chose de mal pour que la vie s'acharne ainsi sur moi ? Il y a de fortes chances. J'ai dû être une très mauvaise personne dans une vie antérieure.
...
Est-ce que je peux espérer qu'à un moment donné la vie va enfin arrêter de me prendre pour cible et s'intéresser à quelqu'un d'autre ? Je ne sais pas moi, quelqu'un qui maltraite ses enfants par exemple ou qui, l'été, abandonne son chien sur l'autoroute en l'attachant à un tronc d'arbre.
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La théorie des cuillères …. c’est une femme atteinte d’un lupus qui a développé cette allégorie. Alors qu’elle dînait avec une amie celle-ci lui a demandé ce que ça faisait de vivre avec cette maladie. Christine a commencé par lui parler des douleurs, des médicaments, de la fatigue, mais ce n’était pas assez concret. C’est alors qu’une idée lui est venue. Elle a ramassé leurs petites cuillères ainsi que celles des tables voisines puis les a tendues à son amie. Tu as 12 cuillères, a-t-elle commencé. Chaque tâche que tu dois effectuer dans la journée va t’en coûter au minimum une. Liste tout ce que tu as à faire et, pour chaque activité, ôte une cuillère de ton stock. Tu comprendras alors ce que c’est de vivre avec un nombre limité de cuillères.
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Quand vous surprenez votre futur mari et votre meilleure amie nus l'un dans l'autre, il me semble que la place laissée à l'interprétation est plutôt réduite, non ? Qu'est-ce qu'il comptait me sortir comme excuse ? Il se serait déshabillé parce qu'il avait trop chaud, et aurait trébuché et pénétré la fille par erreur ? C'est vrai que c'est tout à fait plausible. Tout cela n'aurait donc été qu'un simple concours de circonstances. C'est ça, un malheureux concours de circonstances. Que les gens pris en flagrant délit d'adultère arrêtent de nous prendre pour des jambons, c'est vexant, à la fin !
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On dit souvent que le temps qui passe est un précieux allié. Ce n'est pas toujours le cas. Il creuse aussi les distances, il éloigne les gens. Mes filles grandissaient, et peu à peu, je n'ai plus eu les bras assez longs pour les ramener jusqu'à moi.
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- Vous étiez en état de choc. Votre cerveau a cherché à vous protéger de cet événement traumatique en déplaçant votre attention sur du détail, de l'insignifiant, comme vous dites. Comme une mise à distance temporaire, juste le temps nécessaire. Vous êtes simplement un être humain, Anna.
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Carène Ponte vous présente "Sur scène", son nouveau roman disponible en livre audio !
Résumé : Ginger a toujours été une battante dans la vie. Partie de rien, elle a créé avec succès son restaurant et l'a géré de main de maître pendant dix ans. Quand le cancer a pointé son nez, il n'était donc pas question de se laisser aller. Mais ce matin-là, alors que le médecin lui annonce une récidive, Ginger accuse le coup. La soirée piano-bar dans laquelle sa meilleure amie Lola l'entraîne lui fait oublier un instant la mauvaise nouvelle. de retour chez elle, nostalgique, Ginger déniche dans un carton de souvenirs une vidéo où elle chante un extrait de comédie musicale, réalisée par sa mère pour démarcher des producteurs. C'était son grand rêve à 15 ans : chanter sur une scène à Broadway.  Elle se couche, sans trouver le sommeil. Elle ne le sait pas encore, mais elle a pris sa décision. Au diable les traitements et les médecins, elle veut profiter du temps qui lui reste. Elle va partir à New York, avec Lola. Et elle chantera à Broadway.
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