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EAN : 9782809844245
211 pages
L'Archipel (07/04/2022)
4.29/5   24 notes
Résumé :
" Elle s'appelait Ghylaine et c'était ma soeur.
À 34 ans, maman d'une petite Cloé âgée de 7 ans, elle annonce à son conjoint qu'elle le quitte. Le 22 septembre 2017, après l'avoir frappée, il l'asperge d'essence et allume un briquet. Leur appartement prend feu.
La petite Cloé assiste à presque toute la scène. Brûlée à 92 %, Ghylaine est emmenée à l'hôpital. Elle ne survivra pas. "
*
Sandrine Bouchait témoigne ici du drame vécu par sa soeu... >Voir plus
Que lire après Elle le quitte, il la tueVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (8) Voir plus Ajouter une critique
Comment dire à quel point j'aime Babelio ? J'ai pu découvrir tellement d'ouvrages grâce à Babelio, grâce à vos critiques à tous... Une nouvelle fois, dans le cadre d'une masse critique, j'ai eu la chance de découvrir une petite pépite qui permettra à tous de réfléchir.

Ceux qui lisent mes critiques depuis un petit moment savent que je lis beaucoup de récits biographiques, de récits qui peuvent heurter la sensibilité etc. Nous sommes dans ce type de récit avec @Elle le quitte, il la tue. Vous n'êtes guère surpris j'imagine, en vue du titre choisi. Et pourtant, la mort en question a été d'une rare violence. Rare ? Pas autant que j'aurai pu le croire et je me suis réellement sentie ignorante quand j'ai lu les chiffres que l'auteure donne et explique...

C'est d'ailleurs la très grande force de ce récit : ce n'est pas un simple récit, il a été décortiqué pour faire comprendre ce qui n'allait pas, ce qui aurait pu être mieux fait et comment l'État pourrait, devrait agir. Sur beaucoup de choses la France semble être à la traîne et je me rends compte aujourd'hui que les féminicides (tiens, un mot que ne connait pas le correcteur d'orthographe du téléphone, j'ai dû l'ajouter au dictionnaire) fait parti de ces sujets qui sont laissés de côté bien que mis en avant. Je remercie l'auteure de son engagement ainsi que l'ensemble des associations qui militent pour faire bouger les lignes. Je n'imagine pas à quel point cela doit être difficile, frustrant de se battre avec autant d'acharnement pour finalement obtenir de petites actions de la part de l'État. Mais, sans vous et sans votre courage rien n'aurait changé alors merci.

J'ai fait des études supérieures en histoire de l'art médiéval. Dans ma thèse, j'ai travaillé sur la sémantique historique pour éviter d'appliquer des termes contemporains à une époque qui ne les entendaient pas ainsi. Ce livre m'a prouvé, à nouveau, l'importance du choix du vocabulaire par le biais de l'exemple du "crime passionnel". Je rejoins l'auteure qui refuse d'entendre ces termes. Cela laisse supposer que l'amour pourrait être une excuse à ce genre de comportement qui n'en mérite aucune. Alors, merci de m'avoir fait réfléchir sur ce type de terminologie que je n'emploierai plus désormais.

Le livre est édifiant et les annexes sont également très utiles. Les signaux faibles sont difficilement repérables mais d'avoir cette trame m'a permis de prendre conscience que j'ai été dans une relation qui commençait à sombrer dans la violence (le violentomètre). Une amie avait essayé de me l'expliquer sans que je le comprenne à l'époque. Puis, j'ai dit stop et divorcé à temps. Mais, j'ai ressenti une peur importante pour ma vie durant le divorce (nombreux messages d'où un changement de téléphone, puis de mails et la sensation, parfois vérifiée, d'être suivie)... On me disait que je devais me calmer... Finalement, peut-être que j'avais raison. Mais, tout ça, j'en ai parlé en thérapie et ça a été libérateur. J'ai apprécié que l'auteure se confie sur l'importance d'avoir un suivi psychologique car cela reste assez tabou et pourtant si essentiel.

Je vais confier ce livre à ma soeur, à ma mère puis à mes amies et collègues de travail. J'ai la chance d'avoir lu ce livre et je veux que d'autres en profitent car prendre conscience de tout ce qu'il contient permettra peut-être de détecter, d'insister, de parler, de questionner davantage... C'est une arme supplémentaire pour le combat contre la violence faite aux femmes.

Néanmoins, je voudrais simplement revenir sur quelques choses qui me chagrine un peu et qui m'a embêté dès la préface. Je ne nie pas le fait que les violences faites aux femmes sont majoritaires, doivent être punies plus sévèrement pour enfin cesser d'être banalisées. Toutefois, je pense qu'un homme qui serait battu par sa femme ressentira les mêmes difficultés... Ce récit met en avant le fait que la parole des victimes féminines est souvent remise en question (quelle honte d'ailleurs)... Mais, celle d'un homme qui irait porter plainte contre sa femme ?... L'égalité entre les femmes et les hommes devraient passer par ce type de réflexion : la violence est intolérable que ce soit contre un homme ou une femme. Il faut que les moeurs changent de manière profonde et sur tous les plans pour que les choses avancent. Parce que dans tous les cas, la violence est un acte de sauvagerie que ce soit à l'encontre d'un homme ou d'une femme.
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Bonjour les babeliophiles petit retour sur ma dernière lecture de 210 pages sur ma liseuse.
Une lecture difficile qui prend aux tripes. Un témoignage poignant de Sandrine Bouchait qui raconte l'histoire de sa soeur Ghylaine victime d'un feminicide car elle voulait quitter son mari. Mais ce livre va au delà car elle raconte aussi le dysfonctionnement des institutions. Pour ma part c'est le 1er livre où l'on parle des enfants de ces drames. Un livre important et nécessaire poir nous faire toucher du doigt tous les problèmes que rencontre ces femmes victimes de leurs bourreaux car poir moi ce ne ni des maris ni des hommes ni des pères.
Toutefois,comme je le précise toujours,ceci est purement personnel.
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Livre très difficile à lire, tant le sujet abordé est vraiment sensible.
Sandrine Bouchait a vécu un drame terrible, sa jeune soeur a été assassinée par son compagnon, alors qu'elle cherchait à le quitter, depuis l'auteure s'est rendue disponible pour pouvoir aider ces femmes et surtout pour que cela n'arrive plus jamais.
Contrairement à ce que l'on peut s'imaginer, il n'y a pas toujours de signes avant coureur, en effet, Ghylaine ne semblait pas être malmenée par son compagnon, l'entourage le trouvait bien un peu froid et réservé, avec des propos quelques fois un peu rudes et une éducation plutôt rigide concernant leur petite fille de 7 ans, mais jamais ils n'auraient pu imaginer que celui-ci allait mettre le feu à sa compagne et tout cela devant les yeux de sa petite fille qu'il adorait.
L'auteure a donc voulu mettre en garde devant les signes qui peuvent quelques fois semblaient insignifiants mais qui démontrent un début d'emprise, elle a également voulu mettre en avant le peu d'accompagnement des proches et surtout grâce à l'association, elle espère une meilleure prise en charge des victimes de la part du gouvernement.
On a tous déjà entendu parler de féminicide, l'horreur de ces drames nous apparaissent comme atroce, mais malheureusement, comme beaucoup, on oublie trop vite, tellement les horreurs semblent s'abattre sur notre planète.
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Guylaine avait 34 ans. Elle est la 96e des 143 femmes tuées en 2017 par leur conjoint ou ex-compagnon.

Guylaine a été immolée par Christophe, son conjoint. L'incendie s'est ensuite déclaré dans leur appartement. Leur fille Cloé, 7 ans, était là et a tout vu. Elle parlera, au fil du temps…

Brulée à 92%, Guylaine est plongée dans un coma artificiel, et ne survivra pas.

C'était un couple « sans histoires », ils travaillaient tous les 2, vivaient dans une jolie résidence. Mais quelques semaines avant le drame, le couple a connu des turbulences.

Christophe refuse la séparation, et fini par mettre ses menaces à exécutions… « En France, ce cas de figure représente plus de la moitié des féminicides ! »

Dans ce récit il est dénoncé tous les dysfonctionnements autour de la violence faites aux femmes. le manque d'accompagnement après un tel drame, l'inaction, le traumatisme, la violence du procès…

C'est un ouvrage très complet puisqu'en dehors du témoignage révoltant, poignant, il contient des conseils, indispensables aux victimes.

Sandrine témoignage du drame vécu par sa soeur, de laquelle elle était très proche, mais aussi du traumatisme subi par les familles de victimes, confrontées à un deuil impossible. Pour les accompagner dans leur travail de reconstruction, elle a cocréé l'UNFF (Union nationale des familles de féminicides).

« 𝙇𝙚 𝙟𝙤𝙪𝙧 𝙤𝙪̀ 𝙡'𝙤𝙣 𝙘𝙤𝙢𝙥𝙧𝙚𝙣𝙙𝙧𝙖 𝙦𝙪𝙚 𝙡𝙖 𝙨𝙤𝙪𝙛𝙛𝙧𝙖𝙣𝙘𝙚 𝙙𝙚𝙨 𝙖𝙪𝙩𝙧𝙚𝙨 𝙣𝙤𝙪𝙨 𝙘𝙤𝙣𝙘𝙚𝙧𝙣𝙚 𝙚𝙩 𝙦𝙪'𝙤𝙣 𝙨𝙚 𝙢𝙚̂𝙡𝙚 𝙙𝙚 𝙘𝙚 𝙦𝙪𝙞 𝙣𝙤𝙪𝙨 𝙧𝙚𝙜𝙖𝙧𝙙𝙚 𝙡𝙤𝙧𝙨𝙦𝙪'𝙤𝙣 𝙥𝙤𝙧𝙩𝙚 𝙨𝙚𝙘𝙤𝙪𝙧𝙨 𝙖̀ 𝙦𝙪𝙚𝙡𝙦𝙪'𝙪𝙣 𝙚𝙣 𝙙𝙞𝙛𝙛𝙞𝙘𝙪𝙡𝙩𝙚́, 𝙤𝙣 𝙖𝙪𝙧𝙖 𝙛𝙖𝙞𝙩 𝙪𝙣 𝙜𝙧𝙖𝙣𝙙 𝙥𝙖𝙨 𝙫𝙚𝙧𝙨 𝙪𝙣 𝙥𝙚𝙪 𝙥𝙡𝙪𝙨 𝙙'𝙝𝙪𝙢𝙖𝙣𝙞𝙩𝙚́ 𝙚𝙩 𝙙𝙚 𝙗𝙞𝙚𝙣𝙫𝙚𝙞𝙡𝙡𝙖𝙣𝙘𝙚. »

Un témoignage à lire. Un des ouvrages les plus complets sur le sujet, que j'ai lu jusqu'ici.
Lien : https://www.instagram.com/p/..
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Tout d'abord merci la masse critique Babelio et les éditions l'' Archipel pour l'envoi de ce sp.

Ghislaine 34 ans mère d'une petite Chloé de 7 ans est brûlée vive sous les yeux de celle-ci.
Sa soeur Sandrine, témoigne en nous racontant le drame les conséquences et les souffrances de la famille. Elle revient sur les faits, mais aussi sur le dysfonctionnement de la justice et du milieu médical. La petite Chloé n'a pas eu de soutien psychologique faute de place alors que c'était un cas d'extrême urgence, juste la visite 2 fois d'un membre de l'hôpital. Sandrine a dû se débrouiller toute seule pour aider sa nièce.

J'ai été horrifié quand j'ai appris que le nettoyage de la scène du crime était à la charge de la famille. Et le comble, l'assurance rembourse les dégâts de l'appartement à celui qui a souscrit le contrat, l'assassin !
Elle a pointé du doigt tous les manquements et les absurdités. Rien n'est mis en place en France pour les victimes de féminicides alors que cela existe pour les victimes de terrorisme et de guerre. L'Espagne a mis en place des choses et ils ont eu résultats rapidement.
Une femme sous emprise, victime de la jalousie ou de la tyrannie de son conjoint à peu de moyens de s'en sortir. Il faut que les choses changent et que les hommes violents payent leurs actes sévèrement.
À la fin du livre un petit guide utile pour aider les victimes, mais aussi les conseiller et les informer.
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critiques presse (2)
Sandrine Bouchait revient sur l’horreur du crime dans un ouvrage au titre simple et terriblement fidèle à la réalité, qu’elle voit comme un outil de prévention.
Lire la critique sur le site : LeParisienPresse
RadioFranceInternationale
17 avril 2022
Le Livre France de la semaine dénonce l'horreur des féminicides et les dysfonctionnements de la justice.
Lire la critique sur le site : RadioFranceInternationale
Citations et extraits (5) Ajouter une citation
𝙇𝙚 𝙟𝙤𝙪𝙧 𝙤𝙪̀ 𝙡’𝙤𝙣 𝙘𝙤𝙢𝙥𝙧𝙚𝙣𝙙𝙧𝙖 𝙦𝙪𝙚 𝙡𝙖 𝙨𝙤𝙪𝙛𝙛𝙧𝙖𝙣𝙘𝙚 𝙙𝙚𝙨 𝙖𝙪𝙩𝙧𝙚𝙨 𝙣𝙤𝙪𝙨 𝙘𝙤𝙣𝙘𝙚𝙧𝙣𝙚 𝙚𝙩 𝙦𝙪’𝙤𝙣 𝙨𝙚 𝙢𝙚̂𝙡𝙚 𝙙𝙚 𝙘𝙚 𝙦𝙪𝙞 𝙣𝙤𝙪𝙨 𝙧𝙚𝙜𝙖𝙧𝙙𝙚 𝙡𝙤𝙧𝙨𝙦𝙪’𝙤𝙣 𝙥𝙤𝙧𝙩𝙚 𝙨𝙚𝙘𝙤𝙪𝙧𝙨 𝙖̀ 𝙦𝙪𝙚𝙡𝙦𝙪’𝙪𝙣 𝙚𝙣 𝙙𝙞𝙛𝙛𝙞𝙘𝙪𝙡𝙩𝙚́, 𝙤𝙣 𝙖𝙪𝙧𝙖 𝙛𝙖𝙞𝙩 𝙪𝙣 𝙜𝙧𝙖𝙣𝙙 𝙥𝙖𝙨 𝙫𝙚𝙧𝙨 𝙪𝙣 𝙥𝙚𝙪 𝙥𝙡𝙪𝙨 𝙙’𝙝𝙪𝙢𝙖𝙣𝙞𝙩𝙚́ 𝙚𝙩 𝙙𝙚 𝙗𝙞𝙚𝙣𝙫𝙚𝙞𝙡𝙡𝙖𝙣𝙘𝙚.
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Ma misérable et minuscule consolation est de me répéter en moi-même que, vu l'état de ses blessures, mieux vaut qu'elle ne s'en remette pas. Survivre à de telles brûlures serait pour elle un deuxième enfer, des douleurs atroces, une vie de souffrance… Tout mais pas ça !

Ensuite, il m'a fallu annoncer sa mort à ma mère, à mon frère, à Nadège, à nos proches et ce n'était pas facile car même si nous étions tous prévenus de l'issue fatale, certains continuaient à espérer un miracle. J'avais l'impression que chacun de mes mots pesaient une tonne, c'était atroce de crever ainsi le cœur de ceux que j'aimais. J'essayais de dire « Elle est partie » ou bien « Elle nous a quittés », mais dans ma tête ça hurlait « Elle est morte ! Elle est morte ! » et une envie de vengeance extraordinaire montait en moi aussi forte que le chagrin.

Après le drame, des souvenirs me sont revenus qui laissaient percevoir l'emprise que Christophe exerçait sur ma sœur et sur leur fille Cloé. Des moments, des scènes du quotidien que la mort de Ghylaine a éclairés d'une manière tout à fait différente.

Hormis la psychologue de l'hôpital qui est venue voir Cloé deux ou trois fois, ma nièce n'a reçu aucun soutien. Ce qu'elle vivait était épouvantable : en quelques minutes, elle avait tout perdu, sa mère assassinée, son père dont elle ne savait pas s'il survivrait à ses blessures, sa maison, ses affaires, ses vêtements, ses jouets… Tout son univers s'était écroulé, elle n'avait plus de repères. Si je n'avais pas pris la suite en charge, elle n'aurait vu aucun professionnel de santé, rien n'aurait été mis en place pour l'accompagner durablement.

J'ai dit ce que je pensais de ce comportement. Le jour où l'on comprendra que la souffrance des autres nous concerne et qu'on se mêle de ce qui nous regarde lorsqu'on porte secours à quelqu'un en difficulté, on aura fait un grand pas vers un peu plus d'humanité et de bienveillance. Ce dont la plupart des femmes victimes de violences conjugales manquent singulièrement, elles qu'on ne veut pas entendre et qu'on écoute si mal.
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Pour y avoir été confronté dans ma vie personnelle et professionnelle, je sais combien la violence me répugne. Frapper est une défaite, la défaite de la parole et de la possibilité de s'entendre. C'est la fin de la communication, le début de l'instinct animal... Tant de femmes battues m'ont raconté que leurs maris leur hurlaient «Ferme ta gueule!» en visant leur bouche avec leurs poings pour leur faire ravaler leurs mots. Lever la main sur un homme traduit un état de sauvagerie, un manque d'éducation au sens premier du terme, mais frapper une femme! Comment un homme peut-il s'arroger le droit de brutaliser un être qu'il sait physiquement plus faible que lui?
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Le jury est revenu après trois heures de délibération. Tout le monde a repris sa place et le juge a condamné l'assassin de ma sœur à vingt ans de réclusion criminelle. Les réponses aux deux questions étaient on ne peut plus claires : oui, il avait voulu la mort de Ghylaine et, oui, il était coupable de l'avoir tuée. Les jurés n'ont pas cru à ses mensonges, à ses prétextes. Ils n'ont pas cru à l'accident après la tentative de suicide ratée... En revanche, le jury n'a pas retenu la préméditation.
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NUMÉROS ET LIENS UTILES

17 ou 112 (à partir d'un portable): urgence Police ou Gendarmerie.

15: Samu.

18: Pompiers.

SMS au 114: en cas d'impossibilité de parler.

3919: numéro de conseil, écoute à destination des femmes victimes de violence.

Demander un «masque 19» dans une pharmacie permet au pharmacien d'appeler immédiatement la police.

116006: France Victimes.

119: Enfance en danger.

arretonslesviolences.gouv.fr: plateforme de discussion et préplainte.

service-public.fr/cmi: pour échanger avec la police.
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