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Alain Bouldouyre (Illustrateur)
EAN : 9782259208314
736 pages
Plon (29/10/2009)
3.54/5   12 notes
Résumé :

Etre né avec le cinéma parlant et voir des films depuis l'âge de sept ans permet de parler avec amour du Septième Art. Avec nostalgie aussi. Le cinéma était jadis une fête et un spectacle. On choisissait sa salle. l'ouvreuse nous plaçait, les lumières s'éteignaient. un rideau s'écartait. Sur l'écran se succédaient les actualités. un documentaire et un dessin animé ; puis venait l'e... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (4) Ajouter une critique
Je découvre avec délectation cette collection des « Dictionnaires amoureux » en commençant par celui que Jean Tulard a consacré à sa passion du cinéma.

Et c'est la grande surprise de trouver un homme qui partage totalement mes goûts pour un certain cinéma et mes aversions pour d'autres.

Surprise, en effet, de le lire rendre hommage à Robert Dhéry plutôt qu'à Jacques Tati, à Laurel et Hardy Langdon, Keaton plutôt qu'à l'ennuyeux Chaplin. Surprise de retrouver des films que j'ai adorés et qui ne sont pas parmi les plus connus ou réputés, comme cet « Heaven can wait » de Lubisch ou cette « île du docteur Moreau » version Charles Laughton. Surprise encore de le lire moqueur face au pédantisme des Godard et Truffaut.

Le tout est teinté de beaucoup d'humour, fort subjectif et pleinement amoureux.
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Un dictionnaire précis et plein de charme pour les amoureux du cinéma, acteurs, réalisateurs et films répertoriés pour le plaisir et avant tout celui de son auteur.
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L'historien Jean Tulard arbore ici sa deuxième casquette , celle de cinéphile. Ses choix sont bien entendu subjectifs et comme tels peuvent être critiqués mais l'ouvrage est intéressant et regorge de connaissances . Personnellement je partage les réticences de l'auteur sur la critique parisianiste et branchouille , style Télérama et le Masque et la Plume
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Lorsque l'auteur évoque Chaplin, il se penche sur l'homme et ses faiblesses, point sur ses films. Avec Woody Allen, il goûte uniquement la légèreté, le film Manhattan lui semble une fausse route. Et puis Tarantino manque de ce dico, alors que la date de sortie du bouquin est 2009. Autre déception, faire du remplissage avec la filmographie respective. Bref, des choix que je ne partage pas.
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Citations et extraits (3) Ajouter une citation
TANDEM:

"Comment n'avoir pas quelque tendresse pour ce film qui rappelle le Jeu des mille francs de Lucien Jeunesse, inusable émission de radio écoutée à l'heure du déjeuner, en famille, par des millions d'auditeurs qui testaient ainsi leur connaissances.
La "Langue au chat" a pour présentateur Michel Mortez qui parcourt la France, de ville en ville, depuis vingt-cinq ans, assisté d'un ingénieur du son, Bernard Rivetot. Mortez n'a pu se renouveler et il est devenu un animateur ringard, au demeurant malade et désabusé, qui pose ses sempiternelles questions devant des auditoires de plus en plus clairsemés. Son jeu est supprimé, mais, par amitié, Rivetot s'efforce de lui cacher la mauvaise nouvelle et simule même un enregistrement public. Mortez n'en est pas dupe et disparaît. Les deux hommes se retrouvent plus tard. Rivetot est chômeur et Mortez animateur publicitaire dans les supermarchés.
Voilà un road movie plein d'humour et de sensibilité, une plongée dans la France profonde des autoroutes, des petites villes et des hôtels miteux, la peinture d'une amitié pudique et pourtant profonde, signés par Patrice Leconte, l'un des meilleurs réalisateurs français, qui passe des Bronzés à Monsieur Hire, du Mari de la coiffeuse à La Fille sur le pont ou à Ridicule avec la même aisance. Mais Tandem est à part. ce que Leconte a manqué avec Les Grands Ducs, joué pourtant par Noiret, Rochefort et Marielle, il le réussit ici. Tout est juste, tout est drôle, tout est émouvant grâce à l'immense talent de Jean Rochefort dans ce drôle d'animateur qui prend progressivement conscience de sa ringardise. Et que dire de Jugnot, bon technicien un peu terre à terre, mais si bon,si sensible, si serviable.
A mes yeux, le meilleur film de Patrice Leconte."
p.626/627
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Un tel nombrilisme est certes respectable mais le spectateur moyen ne peut que renoncer.On a l'impression d'un monde clos , intelligent et cultivé , mais qui sombre dans l'autoadmiration sans souci du public.
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"Dans le film, Hitchcock choisit de dire tout de suite la vérité. Il n'est pas l'homme de la surprise mais du suspense."
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Videos de Jean Tulard (23) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Jean Tulard
Portrait de Napoléon par Stendhal, un fervent admirateur.
Comme l'a si bien résumé Jean Tulard : « Pour Stendhal, le génie de Napoléon, c'est d'avoir été Bonaparte; l'échec de Bonaparte, c'est d'être devenu Napoléon. Quant au drame d'Henri Beyle, c'est d'avoir boudé Bonaparte et servi Napoléon. »
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