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Bertrand Tavernier (Autre)
EAN : 9782749166162
400 pages
Le Cherche midi (05/11/2020)
3.78/5   59 notes
Résumé :

Philippe d'Orléans, régent de France, a bien du fil à retordre avec ses deux filles, trop libertines et son fils, trop sage. Mais voici qu'il veut s'occuper d'une autre fille, illégitime et cachée celle-là, Hélène de Chaverny. Il se décide à la faire venir du couvent où il l'a fait élever, à Clisson près de Nantes. Hélène, qui ignore sa filiation, est amoureuse de Gaston de Ch... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (18) Voir plus Ajouter une critique
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Je devais déjà à Bertrand Tavernier la découverte de Jim Thompson, alors pourquoi pas un Dumas méconnu ? Méconnu mais pas mineur.

Avec tout son métier, Dumas tisse autour de son héroïne et de son héros un savant écheveau d'obligations contradictoires et de circonstances contraires, rendant leurs amours impossibles. du grand classique. Mais surtout, il leur oppose un grand méchant fabuleux, qui est le vrai phare de ce livre.

Bien que n'étant pas (encore) cardinal, l'abbé Dubois est un adversaire grandiose, élevant la crapulerie au rang des beaux-arts. Si l'on y ajoute son franc-parler de libre penseur, on comprend le visible plaisir que Jean Rochefort aura à lui donner vie dans Que la fête commence.

Petite anecdote : cet abbé Dubois a vraiment existé et, semble-t-il, inspiré la comptine contrepèterie « Il court, il court, le furet ». Et dire que je l'avais innocemment apprise à mes enfants… En tous cas, le vrai était un sacré loustic, et il a même réussi à vraiment finir cardinal sur ses vieux jours, grâce à Louis XV.

À ses côté, le régent Philippe d'Orléans est un peu plus palôt que dans le film de Tavernier. Notamment, pour un débauché notable, on le voit finalement peu en action et il est surtout d'une mièvrerie un peu exagérée dès qu'il s'agit de sa fille (celle du titre).

Reste que ce Dumas-là a clairement choisi son camp et exalte les joies des coups tordus réussis au détriment des vertueux. En plus, il se permet deux trois coups de griffes à ses contemporains, comme ce titre de chapitre « Où Dubois prouve que sa police particulière était mieux faite pour cinq cent mille livres que notre police générale n'est faite pour trois millions ».

Moralité (?) : jubilatoire et donc fortement recommandé.
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Diable, comme c'est vivant et passionnant de traverser une petite page de la Régence sous la plume affutée, ironique ou tendre selon les propos, d'Alexandre Dumas ! Cette page nous est offerte avec un cortège de dialogues savoureux et sarcastiques donnant un petit esprit facétieux à une histoire pourtant relativement funèbre.

Hiver 1719, le Régent Philippe d'Orléans, talonné par son ministre l'abbé Dubois, arrive à l'abbaye de Chelles où sa seconde fille, nommée abbesse pour se ranger de quelques dissipations antérieures, semble animer le cloître avec des nuits de musiques et d'orgies. Ce genre de déportement dépasse la grande indulgence du duc qui s'en vient gronder sa fille et qui repart en la croyant folle alors qu'elle vient de jeter au feu instruments de musique et partitions pour faire pénitence.
Pour se consoler, le Régent va ensuite voir sa fille aînée bien-aimée la duchesse de Berry. Trop tard pour empêcher que celle-ci se marie en secret avec son amant que le duc avait exilé à Cognac. Une mésalliance intolérable pour Philippe d'Orléans !
Reste son fils, qui va sur ses seize ans, mais qui préfère annoter de ses idées théologiques un rouleau de papier plutôt que faire la cour à la maîtresse de son père…
Affreusement désappointé par sa progéniture, le Régent se tourne alors vers le couvent des augustines de Clisson où une fille d'un ancien amour y est soigneusement cachée depuis des années.

Changement de décor, nous voilà aux abords du couvent où l'on assiste avec tendresse aux rendez-vous amoureux d'Hélène de Chaverny avec le chevalier Gaston de Chanlay dont la barque glisse depuis plusieurs mois sur le lac, se dirigeant silencieusement vers les roseaux en contrebas d'une fenêtre où la belle attend le signal convenu. Ils sont jeunes, ils s'aiment mais l'une est rappelée à son père dont elle ignore complètement l'existence et l'autre fait partie d'un petit groupe de conspirateurs bretons et vient d'être désigné pour éliminer le Régent.

L'Histoire est en marche et nos amoureux séparés envisagent un avenir sombre même s'ils ont la chance de cheminer vers Rambouillet presque conjointement. Gaston, transi d'amour, est un honnête homme, quelque peu naïf, plaçant l'honneur au-dessus de tout. Il ne se méfie pas de l'étendue du pouvoir du diabolique Dubois qui est également prêt à tout pour assouvir son ambition, celle de décrocher la mitre d'archevêque ou un chapeau de cardinal. Corrompre l'entourage du chevalier pour une poignée de louis est chose aisée surtout lorsque Gaston est absorbé à guetter Hélène à chaque relais et savourer le moindre frôlement de robe ou perception de souffle.
De trahisons en méprises, de multiples mystifications face à la crédulité du pauvre Gaston en sournoiseries de plus en plus cataclysmiques de l'abbé Dubois, la menace de la Bastille se fait sentir pour les conspirateurs. La prison d'État abrite déjà les anciens sujets de la conspiration de Cellamare.

Amours, regards tendres échangés et angoisses étreignent cet adorable couple mais le caractère visiblement inévitable de l'acte dicté par l'honneur assombrit dangereusement leur avenir. Hélène ignore encore que son chevalier avait engagé sa parole vis-à-vis de quatre Bretons qui attendent au pays. Et comme le stipule Gaston, Le Breton est constant dans la haine comme dans l'amour.

Ce roman alliant Histoire, amour et tragédie s'amuse à entremêler des destins quitte à abuser les pauvres jeunes en se jouant des identités, faisant presque penser à une pièce burlesque.
Le Régent nous apparaît ici plein de mansuétude, je ne sais pas du tout si c'était un des traits de son caractère à l'époque ou si Alexandre Dumas lui a généreusement prêté cette qualité pour le besoin de la rédaction de cette aventure. Mes lacunes en Histoire de France ne me permettent pas de faire la comparaison ! Quant à l'abbé Dubois, qui suit son Altesse comme son ombre et devance bien souvent les ordres qu'il doit en recevoir, son portrait est on ne peut plus machiavélique et ses manigances font toujours suite à son sourire de singe. le duc d'Orléans le traite justement de faquin à plusieurs reprises et son impertinence se reflète superbement dans chacun des échanges de ce duo explosif irrésistible. le Régent est loin d'imposer ses volontés et cède immanquablement devant la tête de fouine de son ministre qui, de son côté, sauve le Régent de sa sensiblerie.

Cette page d'Histoire est réellement prenante et je l'ai dévorée en deux petits jours me figurant le carrosse du couvent sur les routes glissantes de cet hiver 1719, les lettres habilement décachetées à la vapeur pour déjouer le complot, les querelles faisant émerger les épées, les chevaux couverts d'écume pour déjouer le destin. Et on y trouve, pour les fervents admirateurs des écrits du XIXe siècle des exclamations amoureuses enflammées désuètes, des coeurs fondants de bonheur ou lamentablement désespérés, un vocabulaire et des temps de verbe oubliés et cette richesse des échanges pleins de politesse même lorsqu'ils sont finement mais diablement railleurs.
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Un merveilleux livre bien que moins connu, et moins dynamique s'il faut parler de Cape et d'Epées, les épées ne sifflent assez. Ici, ce sont des méninges qui se font la guerre, chaque personnage se joue de la naïveté ou de la faiblesse de l'autre pour faire aboutir ses projets. Ainsi se trouve mêler la vie politique, la vie familiale et la vie amoureuse qui ne font pas du tout bon ménage. Il faut qu'une vie fasse concession, et que l'autre empiète sur les autres, sauver ces trois vies s'avère une entreprise bien périlleuse. Surtout pour un régent tout puissant comme l'est le duc de l'Orléans, qui, ayant déjoué, la conspiration de Cellamare, doit encore faire face à une nouvelle conspiration venant de la Bretagne. Mais quand ce cœur endurci par les facettes infectes de la politique découvre la pureté du cœur de sa fille, Hélene, une fille cachée dans un couvent, le régent voudrait bien réorienter autrement ses sentiments, allant jusqu'à disgracier son éventuel assassin. Mais son premier ministre est là pour essayer de la ramener vers ses devoirs politiques. Mais l'histoire reste l'histoire, quand bien même l'amour aurait voulu vaincre la politique, l'auteur s'en est tenu à l'histoire, d'une manière aussi futée, la fin tragique de cette histoire est troublante...
Une fois de plus conquis par ces premiers écrits de Dumas!
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Après ''Le chevalier d'Harmental'', je poursuis mon parcours Dumas avec celui-ci, histoire de rester à la même époque, la régence, et pour assister à une autre conspiration menaçant la vie du régent qui a décidément beaucoup d'ennemis. Je retrouve donc quelques personnages familiers : Philippe d'Orléans, avec son aplomb et son charme qui ne fait pas l'unanimité, ainsi que son malicieux (pour utiliser un terme gentil) ministre Dubois. Cela commence avec le régent faisant l'amusante tournée de ses enfants, tournée soldée par un douloureux constat de déception. Pour pallier à cette mélancolie, il décide de se rapprocher d'une autre de ses filles, illégitime celle-là et élevée secrètement à l'écart, et la fait mander. Cette dernière, ignorante de ses origines, s'est récemment liée avec un jeune gentilhomme breton (sans atteinte aucune à sa chasteté virginale), qui est lui-même, lié par serment solennel, voué à la perte du régent. Tous deux doivent se rendre à Paris...

L'on comprend aisément qu'il y a là amplement matière à imbroglio, d'autant plus tortueux que Dubois L épaissira de ses habiles et retorses manoeuvres manipulatrices, fort plaisantes à suivre du reste. L'habituelle satisfaction est encore au rendez-vous avec ce savant mélange d'histoire et de péripéties romanesques. J'ai également apprécié la sinistre atmosphère de la finale.
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Venant de terminer L'Air était tout en feu de Camille Pascal consacré à une conspiration sous le Régent, je suis revenue au maître du roman historique, mes premières amours, Alexandre Dumas. C'est un autre roman de conspiration, quelques années après, toujours sous le Régent Louis d'Orléans dirige la France au nom du jeune Louis XV qui est encore dans sa minorité.
Je dois dire que la comparaison n'est pas en faveur du roman de Camille Pascal – mais je ne suis jamais objective avec Dumas. Dumas est un conteur et un dramaturge, adepte des coups de théâtre – au sens propre, tout le récit repose donc sur des variations de rythme et des mises en tensions permanentes. Les cent dernières pages sont ainsi haletantes, tout dépend de la course, de la chevauchée du héros, vêtu de noir sur un cheval noir, qui peut apporter la grâce et donc sauver ses amis, ou n'arriver que pour leur exécution. Dumas ne s'arrête donc pas au milieu pour nous faire un exposé de géopolitique européenne en ce début de XVIII ème siècle, il fait agir ses personnages, donnant ensuite le contexte. L'action prime sur l'explication.
Ensuite, Dumas a une âme de poète romantique, et certaines scènes sont frappantes pour leur beauté évocatrice : le lac pris dans la glace sur lequel marche l'amant pour retrouver son aimée, la princesse de sang qui passe la nuit dans son catafalque, la sorcière qui hante les landes bretonnes pour prédire la mort...
Bien sûr, on peut regretter l'écriture du personnage féminin, en retrait bien que ce soit elle qui donne son nom au roman. Elle est réduite à sa relation amoureuse – mais comme de nombreuses héroïnes de la 1ère moitié du XIX ème siècle.
Le personnage le plus fascinant est celui du Régent, qui a des points communs avec la figure du cardinal de Richelieu dans les Trois Mousquetaires : c'est un homme d'Etat qui doit faire primer l'intérêt général sur ses passions personnelles – qui sont nombreuses : les orgies, les femmes, le vin, le jeu, mais aussi la famille légitime ou non. Il y a du Auguste de Cinna dans la posture du Régent, prêt à la clémence. Par contraste, l'abbé Dubbois apparaît comme une fouine sournoise, prête à tout par ambition individuelle, alors que le Régent agit pour la France.
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Citations et extraits (11) Voir plus Ajouter une citation
Et maintenant, avec la permission du lecteur, il nous faut entrer à la Bastille, ce redoutable séjour que le passant lui-même ne regardait qu'en tremblant, et qui, pour ses voisins, était une gêne et un épouvantail ; car souvent, la nuit, les cris des malheureux à qui l'on donnait la torture perçaient les épaisses murailles, traversaient l'espace et arrivaient jusqu'à eux en leur envoyant de sombres pensées ; à tel point que la duchesse de Lesdiguières écrivait un jour, de la royale forteresse, que si le gouverneur ne faisait taire les hurlements de ses patients qui l'empêchaient de dormir, elle s'en plaindrait au roi.
Mais à l'époque de la conspiration espagnole, et sous le règne débonnaire de Philippe d'Orléans, on n'entendait plus ni cris ni hurlements à la Bastille ; d'ailleurs la société y était choisie, et les prisonniers qui l'habitaient à cette heure étaient gens de trop bon goût pour troubler le sommeil des dames.
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In cauda venenum (1), disait Dubois, qui tenait à son latin. Quand on a été cuistre de collège, ne fût-ce qu’une heure, il en reste quelque chose pendant tout le reste de la vie.

(1) Litt. « Dans la queue le venin. »
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La duchesse de Berry n’avait donc eu, de compte fait, que deux amants, ce qui, on en conviendra, était presque de la vertu pour une princesse de ce temps-là : Lahaie, qu’elle n’avait jamais avoué, et Riom, qu’elle proclamait tout haut. Ce n’était donc véritablement point une cause suffisante à l’acharnement avec lequel on poursuivait la pauvre princesse. Mais il ne faut point oublier que cet acharnement avait une autre cause, que nous trouvons consignée, non seulement dans Saint-Simon, mais encore dans toutes les histoires de l’époque : c’est cette fatale promenade dans Paris avec cymbales et clairons, ce malheureux trône à trois marches sur lequel elle avait reçu l’ambassadeur de Venise ; enfin cette exorbitante prétention, ayant déjà une compagnie de gardes, d’avoir encore un dais à l’Opéra.
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– N’est-ce pas, monsieur de Chanlay, continua Richelieu, qu’il vaut mieux avoir la tête séparée du corps que le corps séparé de l’âme ?
– Ah ! bravo ! bravo ! s’écria Malezieux ; joli, charmant, monsieur le duc ! J’en ferai un distique pour madame du Maine :
« Il vaut mieux séparer, n’est-il pas vrai, madame,
La tête de son corps que le corps de son âme ? »
– Que dites-vous de la pensée, depuis qu’elle est en vers, monsieur le duc ? dit Malezieux.
– Qu’elle vaut un peu moins que lorsqu’elle était en prose, monsieur le poète, dit le duc.
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- Hélas ! Maintenant je ne sais plus que croire, et mon esprit se perd dans cette fièvreuse réalité que je suis tentée, à chaque instant, de prendre pour un rêve.
- Mais ce n'était pas votre esprit qu'il fallait consulter, Hélène, dit le régent ; c'était votre coeur. Près de cet homme, votre coeur ne vous avait-il donc rien dit ?
- Oh ! Au contraire ! s'écria Hélène ; tant qu'il a été là, j'ai été convaincu, car jamais je n'avais éprouvé une émotion pareille à celle que j'éprouvais.
- Oui, reprit le régent avec amertume ; mais, lui parti, ce sentiment a disparu, chassé par de plus fortes influences. C'est tout simple, cet homme n'était que votre père, et Gaston était votre amant.
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5:35 - Générique
RÉFÉRENCE BIBLIOGRAPHIQUE : Jean Delacour, Tout l'esprit français, Paris, Albin Michel, 1974.
IMAGES D'ILLUSTRATION : Jean Cocteau : https://filmforum.org/film/jean-cocteaus-orphic-trilogy-testament-of-orpheus Armand Salacrou : https://lotincorp.biz/creation-affiches-publicitaires-etats-des-lieux-ville-douala-1/ Pierre Reverdy : https://lamediathequepatrimoine.files.wordpress.com/2022/09/p5-pr-jeune.jpg Maurice Chapelan : https://www.cambridgescholars.com/news/item/book-in-focus-the-poems-and-aphorisms-of-maurice-chapelan Félicité de Lamennais : https://en.muzeo.com/art-print/felicite-robert-de-lamennais-ecrivain/ary-scheffer Jules Noriac : https://fr.wikipedia.org/wiki/Jules_Noriac#/media/Fichier:Jules_Noriac_Nadar.jpg Jean de la Bruyère : https://www.ecured.cu/Jean_de_La_Bruyére#/media/File:Bruyere.jpg Henri Duvernois : https://www.delcampe.net/en_GB/collectables/programs/theatre-des-nouveautes-paris-la-guitare-et-le-jazz-de-henri-duvernois-et-robert-dieudonne-1928-1929-1034826850.html Frédéric II : https://www.calendarz.com/fr/on-this-day/november/18/frederick-ii-of-prussia Saint-Évremond : https://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_de_Saint-Évremond#/media/Fichier:Charles_de_Marquetel_de_Saint-Evremond_by_Jacques_Parmentier.jpg Louis-Désiré Véron : https://fr.wikipedia.org/wiki/Louis-Désiré_Véron#/media/Fichier:Louis_Véron_-_engraving_-_Mirecourt_1855-_Google_Books.jpg Romain Coolus : https://picclick.fr/Portrait-Romain-Coolus-René-Max-Weill-Scénariste-Cinéma-225296515824.html#&gid=1&pid=1 Comte de Voisenon : https://www.abebooks.fr/art-affiches/Claude-Henry-Fusée-Voisenon
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