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EAN : 9782259215923
192 pages
Plon (31/01/2013)
3.39/5   9 notes
Résumé :
En 1968, quelques semaines après l’attentat qui faillit lui coûter la vie, Andy Warhol, par la plume de Brigitte Kernel, se rend de manière étrangement rythmée chez un psy à New York. Il essaie de comprendre la femme qui a tenté de le tuer. Il a du mal à survivre et se sent dans un étrange état d’irréalité.

Au cours de onze séances fictives, toutes ses angoisses et frustrations remontent à la surface : son rapport compliqué avec sa mère, le poids de l... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (8) Voir plus Ajouter une critique
Voilà un roman qui a réussi à la fois à me fasciner et à me dérouter. Sortie de ce livre, je ne sais toujours pas vraiment quoi en penser ... il faut dire qu'il donne à réfléchir, c'est certain ! Si j'ai voulu le lire au premier abord, c'est à cause de son sujet, Andy Warhol, un artiste dont j'ai toujours admiré l'oeuvre et que cet ouvrage m'a donné envie de connaître d'un point de vue plus intimiste. C'est là un propos du récit qui m'a parlé, passer derrière l'image de l'icône pour découvrir l'homme. Tout un programme sur lequel je vais tenter de faire la lumière ...

D'abord, je dois dire que j'ai beaucoup apprécié le postulat de départ du récit. Faire de ce roman l'étude psychologique d'un homme que l'on vient de tenter d'assassiner en tentant de comprendre quels sont ces démons qui l'habitent et qui l'empêchent de vivre vraiment. On se retrouve face à un homme qui a l'impression de bercer dans l'irréalité et qui se pose beaucoup de questions en revenant sur ce qui fait de lui ce qu'il est et sur ce qu'il aimerait être. Fascinant ! On connaît Andy Warhol l'icône, l'artiste, mais ici, on découvre un homme torturé, en souffrance, c'est frappant. J'ai adoré imaginer cet Andy que je ne connaissais pas du tout, passer derrière la façade, derrière l'image, pour découvrir une certaine vérité, c'est plein d'émotions. Par contre, j'avoue avoir été désappointée par l'importance de quatre choses qui prennent le dessus sur l'ensemble et empêchent le reste de se développer, à savoir la relation d'Andy avec sa mère, son homosexualité refoulée, son voyeurisme et sa foi. Cette sorte de prison de principes qui l'engoncent dans un carcan bien-pensant ne cesse de revenir sur le tapis tout au long du récit et prend le pas sur tout le reste. Comme si, l'idée de départ, le déclencheur, à savoir la tentative d'assassinat, que l'on est censé analyser ici au commencement, passait à la trappe, au second plan, voire plus encore, et ne devenait plus qu'un prétexte. On la zappe. Elle revient par courtes bribes ici et là mais n'a pas la portée que j'aurais cru percevoir dans le livre. C'est un déclic, la goutte d'eau qui va faire déborder le vase et qui va emmener notre personnage à tenter de se comprendre lui-même, à se dévoiler, à pousser ses raisonnements dans leurs retranchements. Alors, oui, j'aurais aimé en savoir beaucoup plus, j'ai eu le sentiment quelque part d'être spoliée d'une partie du contenu du roman, pourtant, j'en appris beaucoup, j'ai ressenti beaucoup aussi ... mais je sais qu'à cause de ces obsessions omniprésentes, pas mal de choses sont passées dans l'ombre et m'ont manquées ... J'ai noté cependant que toutes les thématiques d'une vie étaient abordée, disons que certaines ont été plus mises en lumière que d'autres, ce que je comprends d'ailleurs, mais cette idée de mettre ce qui rend "mal à l'aise" en avant m'a légèrement perturbée, même si je m'y attendais, disons que je n'y étais pas préparée. Je comprends le choix de l'auteur cela dit, ça ne rend le roman que plus intriguant encore.

Ce qui m'a surprise avec ce livre, c'est qu'il m'a donné envie de me plonger dans la vraie vie d'Andy Warhol, chose que je n'avais pas faite jusqu'à présent. Et donc, je suis partie fureter, une fois le livre refermé, sur le net pour lire quelques biographies officielles. J'ai été frappée de voir que le livre, par rapport à ça, était juste. On aurait pu penser que tout cela était né d'un délire complet de l'auteur, eh bien non. Quelque part, je n'en ai été que plus admirative, parce qu'il en faut du talent pour pouvoir ainsi coller au personnage, pour le rendre si fidèlement. Cette réalité autobiographique ne rend l'ensemble que plus prenant, plus étrange aussi dans un sens, parce qu'on se sent concerné et en même temps, on a cette sorte de retrait permanent que l'on adopte en présence de "stars" que l'on admire. On a justement ce côté voyeur qu'Andy réprouve en lui-même, on veut tout savoir de lui et d'un autre côté, tout voir n'est pas forcément la solution, ça casse le mythe, et est-ce vraiment ce que nous souhaitons ? Pour ma part, ça m'a rendu le personnage plus humain, plus tendre, plus fragile aussi. Derrière cette image du génie, se cache un homme aux mille et une cicatrices, qui, malgré le fait qu'il ait une vie de rêve, n'est pas réellement heureux, un homme qui doute, qui se questionne sans cesse, un homme qui est son art, qui créé sa propre oeuvre ... lui. Ce roman doit se lire comme une oeuvre d'art, je pense, pour en saisir toutes les couleurs, toute la nature, le style, il ne faut pas être attentiste et critiquer, il faut participer et à son tour répondre aux questions que le narrateur posent, car elles nous parlent, car elles nous exhortent à vivre autrement. Ce ne sont pas juste des mots sur un bout de papier, ils ont une portée universelle. J'ai remarqué d'ailleurs que, souvent, en fin de chapitre, arrivait ce que j'appelle une "citation", une de ces maximes qui s'appliquent à la multitude plus qu'à l'individu, elles vous atteignent, vous touchent et ne vous laissent pas partir sans que vous ayez réfléchit un minimum à leurs portées, ça m'a plu.

"Parler, c'est déjà souffrir, je m'en rends compte à cette seconde précise ..."

Ce que j'ai aimé justement, c'est ce bouillonnement continu, ces courts paragraphes qui se succèdent au fil des pensées de l'artiste, qui partent dans tous les sens et vont du coq à l'âne en laissant à penser qu'elles ne suivent pas d'ordre logique, alors que pourtant c'est le cas. On va dans toutes les directions à la fois, tout est dit ... ou presque, tout est montré ... ou presque, cette sorte de visualisation macabre, morbide, des travers d'un homme et des brûlures marquantes de son passé (et de son présent) peut dérouter, voire dégoûter par instants. Oui, c'est un fait à assumer, ce roman ne pourra pas plaire à tout le monde, car il vous offre une vérité sans fards, car il vous plonge dans une histoire triste, sombre, en total décalage avec l'idée de la lumière que l'on colle habituellement à Andy Warhol. Pour ma part, avant de lire ce livre, il était ses tableaux, vifs, colorés, énigmatiques, puissants, après la lecture, je le perçois différemment, il a changé, comme on sent que d'ouvrir les digues des portes closes cachant ses secrets dans ce roman l'a changé aussi. On touche au mythe, on le triture, on le met à nu, c'est un travail de psy, c'est pourquoi l'idée de présenter le livre sous forme de consultations entre Andy et son psy m'a semblé une très bonne initiative. Dans ce bureau où seules deux personnes sont présentes mais où une seule parle et s'exprime librement, l'ambiance est tendue, intime, presque dérangeant par moments. C'est un long monologue auquel nous assistons, mieux vaut avoir un minimum d'accointances avec Andy Warhol avant de se lancer dans cette lecture, sinon, on ne résiste pas et on s'ennuie ferme. Il faut pouvoir accepter ce que l'on va découvrir, le fait que cela va peut-être entacher l'image que l'on avait de lui. L'auteur arrive très bien à nous faire douter de la fiction de ce récit, car il est réaliste, car il est pertinent. On se laisse porter comme si c'était un réel témoignage, pas une oeuvre inventée, c'est ce qui m'a plu aussi dans ce livre, le fait de pouvoir me dire, c'est lui ! J'aime quand on essaie de comprendre ces grands hommes qui ont changé le monde, je trouve ce procédé totalement fascinant, je n'arrive pas à me l'expliquer, mais c'est toujours passionnant ! Pourquoi a-t-il fait ci ou ça ? Comment pensait-il ? Qui était-il vraiment ? Autant de questions qui trouvent de possibles réponses ici ...

J'ai trouvé que le style de l'auteur était entraînant, à coup de phrases courtes et de paragraphes qui le sont tout autant, elle nous embarquent dans un récit qui se lit d'une traite. le sujet en est fascinant à la base, certes, mais ce qui nous accroche c'est son traitement original. Cette idée de l'obsession du chiffre 11 reprise avec ces 11 consultations qui se déroulent sur 11 semaines à 11 heures, etc., j'ai adoré ! Tout est dans le détail ici, dans le non dit, dans ce qu'on devine aussi par moments, comme l'identité du fameux psy qui recueille les propos d'Andy. J'ai été surprise, agréablement d'ailleurs, par la fin du roman, j'aime ce genre de fins, qui vous laisse quelque part en suspend tout en répondant à l'essentiel, c'est mystique je trouve et ça apporte encore plus de force à l'oeuvre. Et c'est ça qui m'a marquée, la force de ce roman alors qu'il nous décrit tout du long un petit garçon fragile, comme si les mots seuls arrivaient à soutenir un personnage bancal, à restaurer une image qui s'étiole d'elle-même tant elle a été malmenée par son auteur. Je ne sais pas qu'elle est la recette de Brigitte Kernel mais elle a fonctionné pour moi ! Même si le contenu par moments m'a déplu parce qu'il était trop répétitif, ça passait, parce que le dosage était bon, que d'autres sujets gravitaient autour de ceux qui me "gênaient" un peu plus et que l'ensemble, bien qu'alourdi, paraissait couler tout seul. C'est tout une vie qui est mise en lumière ici, dans ses moments de joie mais surtout de peine, c'est un exorcisme, ça fait mal, ça prend du temps, mais ça libère. La parole libère de tout. Et tout est dit à la fin. J'ai beaucoup aimé plonger au coeur de cette vie réinventée, sans doute parce que, pour moi, un grand artiste, comme Andy Warhol, est toujours un artiste torturé, et que j'ai trouvé ici une grande partie des démons qui l'habitaient et nourrissaient son art. L'icône est devenu homme, j'ai appris à admirer aussi cet homme-là qui lutte contre les autres mais surtout contre lui-même, qui tente d'être plus que ce à quoi on le cantonne, une oeuvre d'art. L'art est quelque chose qui me passionne, avec ce portrait romancé, j'ai appris à connaître les facettes d'un artiste pas comme les autres, qui a marqué son temps et L Histoire, un voyage que je ne suis pas prête d'oublier !

J'ai essayé de ne pas trop en dire et du coup, je ne vous dévoile rien du contenu qui m'a subjuguée par instants, je veux que vous le découvriez vous-mêmes, certaines réflexions portées par le personnage m'ont marquée et je ne suis pas prête de les effacer de ma mémoire. C'est à la fois doux, tendre, poétique, mais aussi féroce, dur, c'est un pêle-mêle d'émotions qui vous assaillent, de la haine à l'amour, de l'admiration au dégoût, c'est toute une palette de couleurs que l'auteur vous peint dans ce roman. Laissez-vous tenter par cette confession intime qui ne vous laissera pas indifférent ...
Lien : http://coeurdelibraire.over-..
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Andy, fiction de Brigitte Kernel, construite d'après la vie d'Andy Warhol célèbre peintre et cinéaste américain chef de file du "pop art" et de la contre culture, s'inscrit dans la collection Miroir des Editions Plon partant d'un personnage hors normes connu et lui donnant une vie de roman.
Je ne connais pas suffisamment le Andy Warhol des célèbres portraits démultipliés de Marilyn Monroe pour savoir s'il a été victime dans son passé d'un attentat qui a failli lui couter la vie, toujours est-il que Brigitte Kernel part de cette tentative d'assassinat traumatisante pour nous camper, avec humour, un personnage névrosé si ce n'est paranoïaque, limite ridicule.
Onze séances avec un psychiatre lors de son hospitalisation passent en revue les facettes et névroses (hyper-contrôle,culpabilité,rapports fusionnels avec la mère,mysticisme,homosexualité,narcissisme,voyeurisme, fantasmes récurrents,obsessions diverses, angoisse de mort, créativité exacerbée, production intense,perversions...) de façon farfelue pour en arriver à l'oeuvre. Quelle est l'image du traumatisme subi enfant qui a donné telle oeuvre, à savoir une scène de fellation filmée et livrée en pâture au public.
Andy est un récit, au débit saccadé (ce qui retranscrit fort bien le flot verbal et la surexcitation limite maniaque d'Andy) qui tient la route et se lit...comme un roman.
Brigitte Kernel, écrivain, productrice et animatrice d'émission littéraire sur France Inter, dans le genre fiction psychologique est également l'auteur de Ma psy, mon amant.
Andy est un roman original que je ne peux que recommander à l'achat lors du prochain comité de lecture de la Médiathèque de Bandol.
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Brigitte Kernel nous présente un Andy Warhol complexe, tout juste rescapé d'une tentative d'assassinat qui a fait remonter ses troubles les plus profonds. Un Andy Warhol croyant, homosexuel, icône timide et peintre obsédé par les détails du monde dans lequel il évolue. L'ouvrage est séquencé en séances chez un psy, permettant ainsi au récit de couler en courts chapitres, parfois mêlés de répétitions, dans les délires du personnage principal. La paranoïa s'installe doucement dans les confidences d'un artiste presque enfantin, autant ébahi par le succès de ses toiles que ses admirateurs.

Le récit est touchant, parfois complexe lorsqu'il suit les réflexions d'un Andy Warhol à la limite de la folie. On en apprend un peu plus sur cet artiste, sur sa vie, ses inspirations, ses doutes et ses peurs. Un bel exercice réussi haut la main par Brigitte Kernel, à la hauteur de cette collection originale.
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Le point de départ d'Andy est la tentative d'assassinat perpétrée sur Andy Warhol par Valerie Solanas. L'auteure imagine les onze séances qui ont suivis avec son psychiatre. On découvre un Andy Warhol déstabilisé par cette tentative d'assassinat et qui voit toutes ses névroses ressurgir. le plus difficile pour le lecteur est de réussir a se mettre dans la tête d'Andy et de réussir a suivre le cheminement chaotique de ses pensées. On rentre dans l'intime de cet artiste, chef de file du Pop Art américain en découvrant le pourquoi de la création de certaines de ses oeuvres, ses rapports difficiles avec sa mère et son homosexualité refoulée. On se plonge avec un certain plaisir dans ce portrait sans concession mais non sans tendresse d'un artiste complexe difficile a cerner. le tout écrit avec beaucoup d'humour et de vraisemblance. Alors si vous voulez faire un tour dans la tête d'Andy Warhol, n'hésitez pas a vous plongez dans ce livre vous y découvrirez un artiste a la limite de la folie mais d'une grande sensibilité. Ma note 7.5/10.
Lien : http://desgoutsetdeslivres.o..
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Le mystère restera. Ç'aurait été une trahison que d'éclairer trop violemment le champion de la dérobade. D'autres biographies ont déjà été publiées sur le pape de la pop et la réussite de Brigitte Kernel est de nous faire passer un moment au plus près de cette personnalité hors du commun.

Lire la totalité de la chronique sur http://abrideabattue.blogspot.fr/2013/02/andy-de-brigitte-kernel-aux-editions.html
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Citations et extraits (6) Voir plus Ajouter une citation
Vous n'avez vraiment jamais vu un homme sur le point de connaître l'extase de la jouissance, docteur?
Qui n'a jamais vu ça ne sait pas ce qu'est l'absolue beauté. (p48)
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Quand on transforme quelque chose en art, on va mieux. On se refait car on se tient tout à coup plus droit, comme un arbre redressé.
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Je ne parviens à faire partir la tristesse qu'en m'agitant. Ça stagne moins. Il faut des couleurs. Ça casse le noir.(p40)
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Vivre, c'est s'amuser, je crois. Et travailler beaucoup. C'est bon pour le moral, le travail intense. Ça empêche l'irruption des idées noires. (p27)
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Parler, c'est déjà souffrir, je m'en rends compte à cette seconde précise ...
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Videos de Brigitte Kernel (29) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Brigitte Kernel
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