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EAN : 9781092016063
Jigal (12/09/2013)
4.02/5   48 notes
Résumé :
Loupo, Kangou et Le Chat se sont rencontrés dans l’antichambre de l’enfer, à l’Assistance Publique. Orphelin, fugueur ou petit voyou, leur galère ne faisait alors que commencer… Vingt ans plus tard, la vie, ils ont décidé de la cramer… Ils sont devenus voleurs, braqueurs et délinquants. Les casses, les flingues, le fric, l’adrénaline, la révolte, la nuit… Ils sont comme l’orage, sombres et déchaînés… Sur les tuyaux du Chat, Loupo et Kangou, son ami, son frère, écume... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (23) Voir plus Ajouter une critique
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Oh putain, elle claque ton écriture Bosco !
Elle est sèche, affûtée, file des mandales et roue de coups les estomacs. Elle s'adresse viscéralement aux tripes et tabasse le chaland sans concession. Dès les premières pages, les premières lignes, ca clique, ca claque, ca percute.
C'est plus collant qu'un chewing-gum, ça te colle aux doigts et pas possible de s'en dépêtrer avant la dernière page.

Écrite à la première personne, l'écriture serre au collet son personnage, s'immisce dans ta tête de lecteur et déroule une majestueuse histoire humaine de vide, de rien, de vie gâchée…

Les lignes de basse reviennent souvent dans le livre. Loud. Grasses. Puissantes.
Le mastard à la batterie enchaîne les tempos à base de double caisse. La gratte part en vrille.
C'est rock, c'est punk, nihiliste oui, mais du genre gros doigt d'honneur. Avec une bande-son digne de ce nom. Mais c'est un livre, me direz-vous ? le talent de Jacques-Olivier Bosco, c'est de la mettre en mots, en images et de vous la marteler dans votre crâne cette musique. Et c'est de la bonne : Metallica, Prodigy, Sisters of Mercy, Placebo et un surtout un putain final vibrant sur « Better Living Through Chemistry » des Queens of The Stone Age.

De la schnouff, de la bonne. du noir, du sombre, du dur. Ça sent le gun, ça pue la poudre.
Je vous le dis à tous : "n'ouvrez surtout pas ce livre, vous risquez de le lire d'une traite !" Oh et puis si, ouvrez-le, volez-le, achetez-le, lisez-le mais ne passez pas à côté.

C'est un livre qui provoque le coup de coeur des les premières lignes. Puis, arrivé à la fin, tu fermes les yeux. Ils s'emplissent d'images. Tu vois le film se dérouler. Wild. Lourd.
La force de ce livre est d'être court. C'est rarement bon signe d'habitude. Mais là c'est comme un rail de coke, un quickie. C'est jouissif tout de suite, là, maintenant.

Et le réalisme des personnages, leur justesse. C'est du travail de précision. Et en plus Bosco livre une oeuvre sociale, actuelle, un instantané de l'époque. En moins de 200 pages !
Ok ! J'arrête net ! J'appuie sur la gâchette !
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"Loupo" c'est une droite dans la gueule et aussi un direct en plein coeur.

"Loupo" c'est un polar totalement incarné, un concentré de violence mais aussi d'humanité.

"Loupo" c'est d'abord une écriture qui fait mouche, soignée, très musicale, tout en étant simple, à la fois sèche et poétique, nerveuse sans être hystérique.
"Loupo" rappelle les grands noms du polar français et fait de Bosco un auteur dans la noble lignée des Manchette, Giovanni et autres.

"Loupo", dans une intrigue tendue au rythme haletant, met en scène des figures archétypales du polar à l'ancienne : les braqueurs, truands de petite envergure, mais vrais durs, qui rêvent du grand coup, du dernier coup, LE coup, celui après lequel on se range des voitures, celui qui leur assurera une retraite dorée au soleil ; la femme, refuge du hors-la-loi, celle qui donne des regrets sur sa vie ; la balance... On jurerait presque que "Loupo" a été écrit il y a 30 ans (ce qui est un compliment), si ce n'est une incursion sauvage dans une cité qui raccroche le récit à la réalité urbaine d'aujourd'hui.

"Loupo" ce sont des personnages inoubliables. Tour à tour glaçants et attendrissants, détestables et attachants, ces braqueurs marquent l'esprit et le coeur.

"Loupo" c'est une narration remarquable. Quel que soit le registre sur lequel l'auteur joue, il vise juste. Les séquences d'action sont efficaces, nerveuses. Les dialogues sont affûtés et sonnent justes. Les passages intimistes sont émouvants et parfois même bouleversants (la confession de Loupo à la mère de l'enfant qu'il a tué par erreur est une scène poignante, déchirante, qui met les larmes aux yeux).

"Loupo", vous l'aurez compris, c'est un coup de coeur, un vrai, un gros, comme on en a pas si souvent. Un tel coup de coeur qu'on peine à trouver les mots qui donneraient envie au plus grand nombre de le lire.
Bref, "Loupo", il faut le lire !

Challenge Petits plaisirs 21
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Loupo, un nom de personnage qui claque comme un coup de feu, à l'image de sa couverture.

Loupo, ou la tranche de vie d'un criminel résolument moderne, qui pourtant fait penser aux gangsters du temps passé.

Loupo, choc des mots, immersion au plus profond de l'esprit du bandit. Roman qui nous aspire dans le tourbillon de sa vie, comme une sorte de Loupo succion.

Récit court, phrases qui giclent, sifflent, giflent. Histoire d'un homme trop sûr de lui, carambolage, sabordage. Une légende urbaine qui prend à la gorge, dégorge de violence et d'émotions.

Le livre de JOB (Jacques-Olivier Bosco) met la foi de son héros à rude épreuve. Foi dans la « beauté » du braquage plutôt que dans le fric, foi dans son arme plutôt que dans le meurtre. La pilule va être dure à avaler pour lui, pire que de l'huile de foie de morue.

La vie de Loupo bascule et on culbute avec lui, profond. On le déteste, on le comprend, on le maudit, on en frémit.

Bosco joue avec les mots, les sons, les expressions. Mais bosco n'oublie pas de bien construire son histoire et de nous tenir en haleine, à coups de sang et de haine.

Récit à la première personne, récit contemporain. Certains l'ont comparé à un slam, j'y voit plutôt un bon gros rock (à l'image des références musicales qui le parsèment). L'auteur touche (à coups d'attaques bien senties) au coeur et aux tripes, hurle à corps et à cri, ou murmure à l'oreille des braqueurs en herbe.

Un livre intergénérationnel, amateurs de polar et jeune génération devraient y trouver leur compte. A la fois réaliste, désenchanté et un brin poétique, c'est clairement une lecture atypique. Pas si mal dans une époque où on aime tant le copié-collé.
Lien : http://gruznamur.wordpress.c..
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Un démarrage rapide, et j'aime ça; cela tombe plutôt bien! L'intro de ce bouquin est un crissement de pneu bruyant d'une Honda CBR1000 poussée à plein régime à travers les rues de Paris. Jacques-Olivier Bosco laisse quelques couches de gomme sur l'asphalte en nous propulsant, après un burn magistral, dans son polar et en nous laissant, par la même occasion, en compagnie de Loupo et son équipe de braqueurs.

Loupo, jeune adulte, est un mal-aimé dès sa plus tendre enfance. Un gamin qui a rapidement dû se débrouiller seul, apprendre à vivre en comptant que sur lui-même, abandonné dès l'âge de quatre ou cinq ans par des parents irresponsables qui n'ont jamais essayé de le retrouver. Oui car Loupo, à cet âge-là, s'est échappé, s'est fait la malle. Peut-être un instinct de survie, déjà...

Direction pension et foyer pour jeunes, sans oublier les maisons de redressement - où l'on ne se redresse pas vraiment, à part peut-être pour se révolter. Mais par contre de belles opportunités pour faire des rencontres intéressantes et cela sera bien le cas. Loupo va faire la connaissance, entre autre, de Kangou et le Chat. Une rencontre qui va rapidement se diriger vers une amitié sans faille. Voilà déjà une grande valeur émanant de ce polar; l'amitié, jusqu'à la mort, si elle se pointe.

Un peu paumé, sûrement, un peu déstabilisé par une vie chaotique, certainement, Loupo va trouver sa voie sans vraiment y réfléchir, celle qui lui conviendra peut-être le mieux, ou plutôt celle que la vie a choisi pour lui, néanmoins celle qui le mènera vers la délinquance. Les braquages vont rapidement devenir sa spécialité, ou plutôt leur spécialité. Car ses potes seront toujours là à ses côtés pour le seconder. Loupo, c'est un gars envers qui l'on cède sa confiance, surtout pour organiser des coups. Une équipe qui oeuvre en tentant de garder des valeurs, en respectant des règles strictes.

Des braquages bien rodés, calculés, Loupo ne laissera pas le hasard prendre le dessus. Lui il braque, toujours des objectifs bien précis, tuyautés par le Chat qui bosse dans les assurances. Quant à Kangou, c'est le pro de la bécane, aucune rue, aucune avenue de la capitale n'a de secret pour lui. Se faire serrer, à leur yeux, c'est quasiment impossible, même si le fait de recevoir un jour une balle en pleine tête fasse partie des hypothèses à ne pas négliger.

Tout ceci est peut-être pour le fric; mais pas sûr, ce qui l'est par contre, c'est la recherche d'adrénaline, de sensations; une envie, ou plutôt un besoin à combler. Combler un manque? Certainement.

Ecriture sèche, froide, rapide. Pas le temps de rajouter des fioritures, c'est droit au but. Cela avance, on avance, et surtout il n'y a jamais une seule occasion pour reculer, pour revenir en arrière. Décisions prises, ça démarre, la machine s'est mise en marche, l'engrenage s'est solidement accroché. Plus de retour en arrière possible, et ce sera bien là le problème pour notre équipe de braqueurs! Allez trop loin, sans même le décider, voilà ce qui est arrivé. Un gamin sera victime de leur connerie, devant les yeux de sa mère.

Mais Loupo a une conscience, et celle-ci va décider à sa place ce qu'il doit faire, ce qu'il va entreprendre. Enfin, pas vraiment, car il va aussi connaître l'influence de Nora, et suivre les conseils d'un ange également cabossé par la vie. L'influence de l'amour prendra donc une part importante dans ce roman noir et épuisant. Une part importante, car sans cette rencontre brusque et inopinée, c'est lui qui aurait certainement joué le rôle de l'ange, mais en réalisant le grand Saut - avec les ailes brûlées. Sa conscience et son âme, il va les livrer à cette fille qui semble être assez paumée, mais déterminée, une fille qui cherche "autre chose" depuis bien longtemps, qui cherche le grand frisson? Une adepte des mauvais garçons? Quoi qu'il en soit, elle sera de bons conseils, notamment pour sauver l'âme déchu de notre braqueur.

Loupo va prendre la bonne décision, il est vrai qu'il a commis l'irréparable, il va donc assumer. Mais pas tout de suite; il y a encore deux ou trois choses qu'il doit réaliser avant, une vengeance obligatoire et viscérale. Ensuite, il assumera. Avec ses potes, il va entreprendre une remise à niveau assez radicale!

Quel rythme! Parfois on utilise le terme essouffler pour qualifier un roman, mais ici c'est réellement le cas et c'est presque parfois douloureux. Cela ne s'arrête pas, ce n'est pas de l'écriture que nous cède l'auteur, c'est un cri, dont l'écho qui retenti ne s'achève que lorsque le prochain hurlement retenti à nouveau!

La haine, l'amitié, l'amour, la vengeance, la fierté, la trahison, la peur et la mort; l'auteur nous envoie tout cela en vrac, sans retenu, dans ce récit noir et désespéré. Les dialogues sont secs, francs, directs et sans appel. Je n'ai pas pu m'empêcher d'entendre des bribes de chansons de notre ami Renaud pendant que je lisais, pardon..., pendant que j'écoutais ces cris de la rue que l'auteur nous laisse sur les pages de son roman. de la souffrance et de la haine traduites et rejetées sous une forme de poésie récitée avec acharnement et avec un rythme soutenu. Un langage, une ambiance et une époque très similaires à l'univers de ce chanteur que j'admire. Pour le reste, c'est tout de même de la musique trash qui domine tout au long du récit, à l'image du déroulement des évènements.

Jacques-Olivier Bosco nous livre une histoire de jeunes truands, pas à mobylette comme le chanterait Renaud, mais en grosse cylindrée, époque oblige... La violence a évolué avec le temps, évidemment, et l'auteur nous le prouve d'une manière bien sombre et, encore une fois, totalement désespérée.

L'auteur ne fait pas dans la demi-mesure - comme à chaque fois finalement! -, c'est violent, c'est noir oui, mais toujours en respectant des règles de vie et des valeurs fondamentales! Mais nous sommes tout de même confrontés à des gamins avec des armes démesurés dans les pognes, dans une ambiance des cités; témoins de coups qu'on monte et qu'on exécute comme on peut, témoins d'effusion de sang, des morts à la pelle, des exécutions de sang-froid, pour un regard qu'on n'aime pas, des propos qu'on accepte pas ou des situations que l'on ne tolèrent plus. La haine, la folie, la rue quoi...

Le lecteur restera partagé - et ceci à chaque instant - entre l'envie de voir Loupo et son équipe enfin serrés, maîtrisés, voir tués, ou l'envie de les voir se sauver à tout jamais. Car Loupo, au fond, c'est un gamin que nous percevons comme étant juste et réglo - on s'attacherait presque! -; Jacques-Olivier Bosco nous ferait presque oublier finalement qu'il s'agit d'un salopard de criminel qui ne mérite pas de s'en sortir. Nous en sommes conscients, évidemment, mais cette idée, nous la mettons un peu entre parenthèse; allez savoir pourquoi. Nous sommes face à un garçon qui subi son parcours - qui a besoin parfois de s'évader, de quitter la réalité - mais paradoxalement qui contrôle tout, ou presque.

L'aboutissement de ce polar est à la hauteur de mes attentes, soit logique, réaliste et juste. Je n'en dirai pas plus, évidemment.

Ah une dernière chose, j'ai beaucoup aimé ce petit clin d'oeil pour l'écrivain Janis Otsiemi, également édité chez Jigal! Jacques-Olivier Bosco l'a placé dans le rôle d'un des personnages, une sympathique attention!

Bonne lecture.
Lien : http://passion-romans.over-b..
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Voilà un livre que j'ai bien du mal à chroniquer, parce que je me sens très ambivalente quant à ce que j'ai pu ressentir à sa lecture. J'ai aimé lire ce livre que j'ai dévoré en quelques heures. J'y ai trouvé plaisir. Pourtant, après lecture il me reste un goût d'inachevé.

Les personnages m'y paraissent anachroniques. L'impression de malfrats d'hier dans la cité d'aujourd'hui. Leurs caractères sont sur certains aspects plutôt bien brossés mais sur d'autres à peine esquissés. Ainsi la jeune femme qui tombe amoureuse de Loupo. Elle arrive de façon opportune dans le récit pour l'étoffer, mais elle-même a finalement peu de profondeur. Comme la plupart des autres personnages qui sont juste survolés. Pourtant, l'auteur nous propose une piste lorsqu'il dit qu'elle semble avoir un lourd passé, mais finalement, cette piste, lui-même ne la creuse pas davantage. On ne saura rien de plus sur les raisons qui l'ont fait aimer cet homme, rien non plus sur son histoire personnelle.

Loupo lui-même me semble décrit de façon un peu manichéenne. Un voyou malgré lui, à cause de son passé, mais un homme d'honneur pourtant. L'intrigue est assez réussie, quoique classique. Elle nous embarque dans l'enchaînement de circonstances qui font que Loupo, malgré son souhait de se rendre à la justice après avoir blessé un enfant remet sans cesse au lendemain cet objectif.

L'écriture est percutante, parfois poétique, ça se lit vite et avec plaisir, mais peut-être un peu trop vite pour être finalement réellement marquée par cette histoire. Bref, je reste sur ma faim, une faim de loup, car l'écriture de ce livre est chouette, l'intrigue bien foutue et que finalement, peut-être que le vrai problème c'est surtout qu'il est trop court.
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Citations et extraits (10) Voir plus Ajouter une citation
D'autres iront s'en prendre aux villageois démunis, aux villageois démunis, aux plus faible, nous, c'est aux généraux qu'on s'attaque,lorsqu'ils sont à terre, qu'ils nous tournent le dos. Ces gradés, ces capitaines d'industrie, ces guerriers du CAC 40 déciment leurs propres citoyens pour se nourrir, nourri ,leur cause, leur promotion, leur soif de puissance, de pouvoir. Ces enfoirés vont pousser des mecs au suicide, à la rue, aux restos du cœur. Nous, on braque des postes, des banques, des truc assurés. On fait chier personne. On prend des risques, des putains de risques. Pour les emmerder, c'est vrai. (page 123)
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Mes paupières s'arrachent, la lampe de chevet brûle mes rétines et je me redresse d'un coup. Le cœur en vrac, j'étouffe, j'ai soif. Je suis trempé, normal, j'émerge. Toujours les mêmes images, le même rêve, la même scène. La flamme sort de la gueule d'un canon et la balle gicle comme du sang. Les doigts devant son visage s'envolent. Derrière, il y a ces yeux, ces feux, cette folie, comme un break de batterie, un roulement de basse, un riff de guitare, comme un cri. La violence et la peur. Avant que la balle ne frappe. (p.7)
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L’arme l’inhibait, tant sur le plan physiologique que psychologique, de sorte qu’il ne pouvait s’en séparer, tout juste s’en éloigner, comme si un sentiment, un lien les unissait.
Un destin.
Du jour où il l’avait tenue en main il avait compris. Compris qui il était et qui il serait : un hors-la-loi. Ce n’était pas à double sens : il était gangster pour pouvoir porter une arme et non l’inverse. Mais le calibre ce n’est pas seulement les balles, le feu et la mort, c’est aussi une présence, une force en elle-même. Jouer du flingue c’est jouer au poker, disait Mesrine, et ça, Loupo ne le savait pas encore.
C’est là, que ça a commencé.
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Je l’ai déjà dit, on s’en fout de crever, rien à foutre de la vie, rien à foutre de la mort! On s’en fout! On a des yeux de shootés, c’est normal, elle est là notre came, notre drogue, l’adrénaline, le sang, la haine et la violence! C’est notre cocktail, c’était dans nos biberons à nous.
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Le grain tombe et l'écorce s'envole, grommelle le flic entre les dents.
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