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EAN : 9782258102972
276 pages
Presses de la Cité (26/09/2013)
3.12/5   12 notes
Résumé :
La grande histoire – l'une vraie, l'autre romanesque – de la manufacture des tabacs de Morlaix de 1800 à 1870.

A Morlaix, la réouverture de la manufacture des tabacs, par Napoléon Ier donne un coup de fouet à la ville. Après les années de turbulences révolutionnaires, descendants de corsaires, marins, commerçants, ouvriers et paysans mordent dans la vie à pleines dents. Ainsi Charles Dirou devient-il contremaître et pompier à la manufacture, Joséphin... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
J'ai moins apprécié ce deuxième tome car l'intrigue m'a paru trop touffue, presque brouillonne. En effet les personnage sont très (trop ?) nombreux et leurs liens évoluent très vite alors que les années défilent à toute allure, au point qu'on finit par en perdre ses repères. le rythme ne ralentit qu'au dernier tiers du livre, lorsqu'on aborde plus spécifiquement l'histoire de la fameuse Gabrielle du titre, comme si tout le reste du roman n'avait servi que d'introduction à cette dernière partie... J'ai davantage aimé ces chapitres, mais c'était un peu tard...

Comme dans L'herbe à la reine, l'aspect historique est bien présent, le contexte politique et socio-économique ayant un impact déterminant sur le quotidien des personnages quelle que soit leur classe sociale. Par contre, la manufacture de tabac censée être au centre du récit n'apparaît plus dans le récit qu'en arrière-plan, de manière très épisodique (sauf dans le dernier tiers du roman, là encore).

Je termine donc la lecture de Les mains de Gabrielle légèrement déçue en espérant que le troisième tome de la série, Trois ronds de fumées, me plaira davantage...
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Citations et extraits (1) Ajouter une citation
Si une retenue de deux et demi pour cent était pratiquée sur les salaires, c'était pour alimenter une caisse de secours. L'ouvrier malade ou blessé voyait arriver chez lui le docteur Boscher, médecin de la manufacture, rémunéré par elle. La caisse de secours permettait de payer les médicaments et d'aider la famille à survivre. "Vaut mieux un accident de travail, avait expliqué le vieux Yann à Charles. Dans ce cas tu reçois ton salaire entier le temps de guérir. Si tu es seulement malade, tu as le tiers de ta paye. Et le jour où tu défuntes, ta veuve reçoit une aide. Tes gosses crèvent pas de faim tout de suite, si tu veux."
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