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EAN : 9781092145145
Mirobole (08/01/2014)
3.42/5   56 notes
Résumé :
"Éclairé par la lune, cela ressemble à un arbre mort, qui se déplace, frappe çà et là avec ses tentacules et grogne."
La lande de Skanör voit s'écraser une météorite d'où émerge une créature avide ; cent cinquante et une personnes convergent des environs de Stockholm pour un suicide collectif ; une boutique d'aquariophilie est tenue par une femme étrangement proche de ses poissons... Dans ces contes horrifiques, Anders Fager s'empare des grands thèmes de la m... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (15) Voir plus Ajouter une critique
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En Résumé : J'ai passé un bon moment de lecture avec ce recueil de plusieurs nouvelles horrifiques et fantastiques qui nous plongent dans des histoires souvent, sombres, sanglantes, dérangeantes et glauques. Certes tous les textes ne sont pas au même niveau et certains ne m'ont pas convaincus, mais dans l'ensemble on a là un recueil vraiment efficace et intrigant qui offre aussi une mythologie qui se dévoile tout au long des différents récits et qui donne envie d'en savoir plus sur ses monstres avides de pouvoir et de puissance. le style de l'auteur se révèle simple, porté par des phrases courtes et percutantes, le tout étant vraiment visuel et nerveux, même si parfois il se révèle un peu trop froid pour vraiment emporter le lecteur, le rendant plus spectateur qu'autre chose. Un recueil qui m'a convaincu et je lirai sans soucis d'autres textes de l'auteur pour me faire frissonner.

Retrouvez ma chronique complète sur mon blog.
Lien : http://www.blog-o-livre.com/..
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Anders Fager a un style très personnel. Quelque chose de direct, de cash, de moderne, où se mêlent l'humour, le sexe, la drogue, le banal qui cache l'innommable... Il revisite de manière actuelle le mythe de Cthulhu, avec des sectes, des sorciers, des smartphones, des réseaux sociaux et des créatures glauques tapies dans l'ombre qui ne rechignent pas à persuader des enfants de se laisser manger la main ou de balancer un ami dans le trou. Que ne doivent pas faire les Grands Anciens ou leurs rejetons pour survivre...

J'ai commis l'erreur de lire La Reine en Jaune avant Les Furies de Boras... J'avais été scotché, littéralement explosé, par La Reine en Jaune. Dès lors, je ne sais pas trop si ce recueil-ci est réellement plus faible ou si l'effet de surprise est passé et que je suis moins sensible à la technique d'Anders Fager... Car on se rend compte, à force, qu'il recycle pas mal.

Il démarre fort avec un sacrifice humain, passant d'une boîte de nuit à la lande, et mélangeant sexe, effets gore et viagra... cette petite touche d'humour noir qui fait le charme de Fager. Et ensuite, la qualité du recueil ne cesse de diminuer ou presque.

Le voeu de l'homme brisé nous ramène dans le passé, lors d'une période trouble de l'Histoire de la Suède. Certaines scènes très crues sont rendues avec brio par l'auteur. Mais j'ai eu du mal à m'impliquer.

Joue avec Liam met aux prises un enfant et ses amis et une créature affamée tapie au fond d'un trou, et prête à tout pour manger de la chair humaine. Cela reste fort bien écrit, mais présente quelques longueurs.

Trois semaines de bonheur nous montre le quotidien d'une jeune fille qui partage de nombreux traits communs avec les poissons qu'elle élève. D'ailleurs, elle les nourrit de manière très ... personnelle... Il faut lire pour comprendre. C'est glauque et malsain, intime et personnel, et présenté de manière fort directe.

Un Pont sur Västerbron détaille de manière très factuelle un suicide collectif. Ce qui m'a gêné, c'est justement ce côté factuel, qui empêche de savoir réellement si on est dans un rapport de police, dans un article de journal, dans une évocation avec un narrateur omniscient, etc. La banalité des descriptions, sur l'âge, les activités des victimes... fait naître (c'est le truc de Fager) l'horreur en filigrane, en creux...

Encore, Plus fort! montre les efforts de deux amants pour avoir une vision de l'au-delà en s'étranglant durant l'acte sexuel. Il y a une tension, pendant les deux tiers de la nouvelle, puis j'ai trouvé que la fin se bâclait un peu et n'était pas à la hauteur des attentes suscitées.

L'Escalier de Service nous montre l'horreur d'une situation racontée à un psychiatre. le rêve récurrent raconté par la patiente se révèle bien réel et montre que même les Profonds ou ce genre de créatures à tentacules éprouvent le besoin de laisser une descendance. C'est assez convenu mais correct.

Le bourreau blond nous ramène une des Furies de la première nouvelle, chargée d'un contrat dans un home. C'est intéressant. Mais excessivement long, lent et parfois lassant.

Ajoutons que des textes courts, appelés Fragments, s'intercalent entre les nouvelles et mettent en scène des personnages rencontrés par ailleurs, ou éclairent d'une nouvelle manière les situations présentées dans les nouvelles. Ainsi, la femme-poisson apparaît de manière fortuite. Ou des Furies...

Le génie (osons le mot) d'Anders Fager vient des références croisées entre les textes. Y compris avec les textes de la Reine en Jaune. le home de la dernière nouvelle de ce recueil est abondamment présent dans le second recueil, par exemple. Idem pour un sorcier. Et ainsi de suite.

Cette aptitude à entremêler ses personnages, les lieux, les événements crée un univers très personnel, fort, glauque, désespéré, mais aussi cocasse par les situations et les problèmes très terre-à-terre que connaissent les monstres présentés. Je suis fan.
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Récemment un client m'a demandé « que lisez-vous de beau en ce moment ? ». Je savais en mon fort intérieur que mes lectures ne correspondraient pas à son interprétation de « beau », même si je vous assure qu'il y a une certaine beauté dans la monstruosité tentaculaire et visqueuse des récits des Furies de Boras, de Anders Fager. Alors quand je lui ai dit que ce n'était peut-être pas très beau mais que je prenais beaucoup de plaisir à lire un roman horrifique nordique, j'ai senti qu'il continuait de me faire la conversation pour la forme, en regrettant de m'avoir posé la question. Je lui ai expliqué que c'était un recueil de nouvelles d'horreur, mêlant histoire contemporaine et folklore suédois, que c'était très intéressant, gardant pour moi les rituels de chair et de sang, les cultes démoniaques, les prédatrices sexuelles mi-femmes mi-monstres et les enfants adeptes de tyrannosaures mythiques mangeurs de SDF. Ce sont des choses qui ne se disent pas à certaines personnes.




Aurais-je piqué votre curiosité ? Et il ne s'agit que d'une poignée de nouvelles parmi ce recueil foisonnant d'idées. Les Furies de Boras, parlons-en, donc. Avis aux âmes sensibles, à ceux qui préfèrent de « belles lectures », sachez que Les Furies de Boras peut déconcerter, dégoûter, voire marquer un peu profondément vos nuits. Car oui, il y est question de tout ce que j'ai cité au-dessus, et bien plus.
Anders Fager utilise le fantastique d'une manière bien à lui. Chaque nouvelle commence simplement : un groupe de jeunes adolescentes surexcitées qui descendent d'un bus pour s'éclater dans une petite boîte de nuit de province, un petit garçon qui passe par le trou du grillage de la maternelle pour observer un lapin, une jeune femme casanière qui sort à la recherche de contacts humains, deux amants aux jeux sexuels débridés ou encore une jeune femme de la bonne société qui décide de suivre une psychanalyse pour évacuer les rêves terrifiants qui sapent son humeur et ses forces. Anders Fager inscrit ses nouvelles dans un contexte historique ou contemporain de la Suède, dans les méandres des grandes villes, dans les familles recomposées de la classe moyenne, dans les provinces reculées du pays, lors de la grande guerre du Nord et de ses avancées sanglantes, reflétant ainsi d'abord l'image de son pays, de son histoire et de son folklore. Puis vient le moment où l'étrange apparaît, où une ambiguïté imprègne le texte, où le lecteur sent une tension s'installer et sait que d'un moment à l'autre tout peut basculer, les masques tomber et les monstres se révéler. Orgies rituelles pour déités païennes, sociétés secrètes de sorciers sans âge, créatures millénaires avide de sang ou de vengeance, appelées par les hommes ou tombées du ciel, l'horreur s'installe dans l'univers de Fager et tranche brutalement l'herbe sous les pieds du lecteurs, qui ne s'attendait pas à de tels retournements de situation.

En tout cas, je peux dire que la violence inattendue de certaines nouvelles m'a profondément marquée, il m'arrive encore parfois d'y penser plusieurs heures et jours après, au boulot ou à la maison. Je repense au choc des mots de l'auteur contre ma raison, à leur violence et à leur magie propre, celle de rendre réel, tangible, un panthéon démoniaque de déités cruelles sans visages. Je repense aux personnages, à la fois excités et désespérés, esclaves de leurs monstres, intérieurs et extérieurs. Et je me dis que Les Furies de Boras, c'est bigrement bien foutu comme recueil de nouvelles d'horreur, parce qu'y en a certaines qui continuent de me foutre les chocottes quand j'y repense, que j'ai eu plus d'une fois le poil des bras hérissés durant sa lecture, et surtout parce qu'il ne tombe jamais dans l'outrance, sait s'arrêter au moment approprié pour maîtriser l'émotion de son lecteur et varie les styles d'écriture avec un talent indéniable d'une nouvelle à l'autre.

Un succès, vous dis-je. Alors, amateurs de fantastique et d'horreur laissez-vous tenter par ce recueil à la beauté glaciale. On compare souvent son auteur à Lovecraft ou Stephen King. Pourquoi pas, moi je trouve qu'il a son propre style, plus sexy que Lovecraft, plus rock'n'roll encore que King, et cette fois avec l'imaginaire et le folklore nordique, presque plus brutal et glaçant que ses confrères américains.

Remercions donc les éditions Mirobole, jeune maison d'édition bordelaise, pour la traduction de ce recueil. J'ai déjà parlé d'eux en évoquant le roman de S.G. Browne, Comment j'ai cuisiné mon père, ma mère… et retrouvé l'amour, cette fois-ci un roman fantastique américain, parodie de roman de zombie dont l'humour m'avait étiré les muscles zygomatiques de la première à la dernière page. Mais Mirobole nous offre des romans fantastiques ainsi que des polars venus des quatre coins du globe, des russes, des polonais, des américains, des suédois, et même des moldaves ! le tout avec des couv' au graphisme léché qui donne envie de les collectionner dans sa bibliothèque. de la qualité, donc, de l'objet jusqu'au contenu de l'oeuvre. Alors, suivez mon conseil : découvrez Mirobole.

Lien : http://www.lalibrairiefantas..
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Quelques très bons textes, mais trop peu d'originalité et une narration trop peu immersive pour crier au chef-d'oeuvre

Au départ, la démarche de l'auteur semble intéressante : mettre au goût du jour, dans une version Explicit Lyrics, les mythes Lovecraftiens. de ce fait, on en attend beaucoup, et la déception n'en est que plus grande : trop peu de textes s'éloignent suffisamment du Maître pour parler de réinvention (plus d'adaptation glauque, explicite, contemporaine et scandinave), et on a trop le sentiment d'un vague copier-coller. Trop peu de textes suscitent réellement le frisson, l'horreur, le dégoût, l'excitation érotique ou même la simple immersion (les textes les plus réussis étant justement ceux qui y parviennent). Je n'ai jamais ne serait-ce qu'approché les sensations provoquées par la lecture d'un écrit du génie de Providence, ou celles d'un Stephen King ou d'un Dean Koontz, par exemple. Enfin, les choix narratifs, du staccato à la Ellroy (qui passe parfois très bien, mais parfois aussi se révèle pénible à lire) au fait de finir plusieurs textes en queue de poisson, sans fournir la moindre clef, ne vont clairement pas recueillir l'adhésion de toutes les catégories de lecteurs. Et c'est dommage, car Anders Fager se révèle doué pour décrire les psychologies autres, que ce soit celle d'un enfant (alors qu'il est adulte), celle d'une femme (alors que c'est un homme) ou celle d'une créature à demi-humaine (alors qu'il est -enfin on l'espère- comme vous et moi).

Est-ce intéressant ? Globalement, oui. Un chef-d'oeuvre ? Globalement non, même si certains textes sont de très haut niveau. Est-ce recommandable ? Vaste question. Les facteurs bloquants seront le côté malsain et explicite de la chose, les particularités de l'écriture et le fait que lire un clone de Lovecraft vous gêne ou pas. J'ai presque envie de dire qu'il vaut mieux ne pas l'avoir lu pour avoir une chance de réellement passer un moment angoissant et prenant avec ce livre.

Par contre, j'ai globalement trouvé que pour une fois, le sexe (omniprésent) était au service de l'histoire et s'inscrivait le plus souvent logiquement dans cette dernière. Je craignais une utilisation racoleuse, commerciale et en grande partie gratuite de la chose, et finalement mes craintes ne se sont pas concrétisées.

Version détaillée de la critique, nouvelle par nouvelle, sur mon blog.
Lien : https://lecultedapophis.word..
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L'éditeur est allé piocher treize nouvelles dans trois recueils de l'auteur.
Je ne sais si tout est du même gabarit ou s'il s'agit du meilleur mais on tient là de la littérature fantastique de haut vol, qui s'inspire inconstestablement de Lovecraft, en remettant si l'on veut l'univers de notre auteur de Providence préféré au goût du jour, mais aussi de Clive Barker et ses fameux livres de sang, anthologie savoureuse.
La mythologie lovecraftienne rejoint parfois la scandinave et les monstres sont légions dans ce recueil, qui viennent de l'espace et vivent sous terre, qui se cachent au fond de cave humide ou de forêt profonde, qui communient et communiquent avec des adolescentes ou de très jeunes enfants, idôlatrés par des disciples prêts à tout pour à la fois cacher leur existence mais aussi perpétuer leur culte.
De nombreuses histoires se répondent par des personnages qui se croisent ou des situations communes, échos qui renforcent un univers glauque et glaçant, en partie invisible et indicible, réalité qui oeuvre dans l'ombre et peuple les cauchemars.
Vivement d'autres traductions de Fager.
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Citations et extraits (7) Voir plus Ajouter une citation
Une mort qui ne peut être arrêtée que par la luxure. Viens avec moi dans la voiture. Sur la banquette arrière. Les gens forniquent comme des porcs. Ils se battent et crient. Les voitures se balancent dans le brouillard. Des enfants sont conçus, des jeunes gens pleurent. Une fille de dix-sept ans couverte de vomi gît dans un fossé et appelle sa mère.
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La boîte de nuit d’Underryd se situe loin dans la forêt, au centre du triangle délimité par Värnamo, Borås et Jönköping. Dans un trou enténébré au nord du Småland. On a toujours dansé à Underryd. Depuis Dieu sait quand et même longtemps avant. D’abord sur des pierres moussues, puis au carrefour lui-même. À l’endroit précis où les routes menant aux trois villes se croisent. Au son des chalemies et des violons, puis de l’accordéon. On y a installé une piste de danse dans les années vingt et elle s’est graduellement étendue au fil des ans pour devenir un véritable parc. En plein milieu de la forêt. Dans les années quatre-vingt, les fêtes ont été transférées dans une grange. Un édifice imposant que quelqu’un a eu la drôle d’idée de peindre en mauve. Puis on l’a agrandi pour en faire une boîte de nuit avec cinq bars, trois pistes et une pizzeria. On a construit un parking digne d’un hypermarché et on a veillé à faire venir les meilleurs groupes. Thorleif pour maman et papa, Jerry Williams pour les fans des fifties. Du freestyle, Pontus et les Américains ou Petter pour les jeunes. Ça rocke à Underryd. Tous les habitants de la ville travaillent pour la boîte de nuit. (« Les furies de Borås »)
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"Le lapin est dans le trou, marmonne Liam tout bas. Vas-y et tu le verras." Quand le gamin s'est approché sans bruit du trou, on le pousse. C'est faisable. Faisable. Faisable.
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Les soldats tiennent à nouveau conseil auprès de Bjarne. Que va-t-on faire ? Le Norvégien paraît têtu et n’a-t-on pas déjà trouvé toute sa nourriture ? Son cochon et ses pitoyables poules ? Il doit y avoir davantage. Les paysans dissimulent des choses. Bon, qu’est-ce qu’on fait ? On discute de méthodes de torture, comme si on évoquait les semailles de printemps. Une demi-lune apparaît dans le ciel ; elle éclaire la neige et les visages blancs. Quatre gamins frigorifiés. Des Finlandais originaires de l’Ostrobotnie. L’aîné a vingt-et-un ans, le cadet, seize. Le Norvégien à terre pourrait être leur père à tous. Écrasons ses pouces avec le cran de sécurité du mousquet, suggère le plus jeune. Arrachons-lui les dents. Brûlons la maison, propose un autre. Où dormiras-tu si nous brûlons sa maison, crétin ? Allongeons-le sur le feu. (« Le vœu de l’homme brisé »)
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« Iä ! Iä ! Le Bouc noir a mille enfants ! » Les filles se battent autour de Bidoche. Pour sa chair. La sainte offrande au Bouc de la forêt. Les filles d’Underryd. Ce sont les filles du Småland. Sussilull et Sussilo se nourrissent l’une l’autre de morceaux de viande crue et fumante. Les filles semblables à des pavots, des lys ou des pivoines. Ce sont des ménades hardcore, toutes autant qu’elles sont. Ce sont des gamines cannibales qui nourrissent un monstre sorti de l’abîme avec du foie chaud et fumant. Alexandra et Anna le lèvent ensemble vers le fouillis de bras. Le Messager tremble d’excitation et se penche de plus près. Il écrase la tourbe et les brindilles. Il prend appui sur du sol plus stable. Ses tentacules frénétiques font siffler l’air et cela pue la mort et le méthane. (« Les furies de Borås »)
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Videos de Anders Fager (7) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Anders Fager
A l'occasion du festival "Imaginales" à Epinal, rencontre avec Anders Fager autour de ses ouvrages "La reine en jaune" et "Les furies de Boras" aux éditions Pocket
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