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La Ballade de Pern tome 14 sur 16

Simone Hilling (Traducteur)
EAN : 9782266101820
425 pages
Pocket (30/11/-1)
4.08/5   63 notes
Résumé :
Quatre fois par millénaire, la planète Pern est menacée par la chute des Fils qui brûlent tout sur leur passage.
Les chevaliers-dragons s'envolent, prévenus par le chant des Harpistes, et brûlent les envahisseurs avant que ceux-ci n'atteignent le sol. C'est dire que les Harpistes ont un rôle défensif essentiel, ils tiennent la chronique, préparent l'avenir et, le jour venu, annoncent la pluie mortelle. Mais un temps vient où les Fils ne tombent pas. Le cycle ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (6) Voir plus Ajouter une critique
Maître Robinton est un de mes personnages préférés dans ‘La Ballade de Pern'. Si j'avais pu vivre sur Pern, j'aurais certainement aimé intégrer L Atelier des Harpistes. Quoi que conférer l'empreinte à un dragon ce n'est pas mal non plus...

Ce roman est un gros coup de coeur et c'est une bonne chose pour conclure cette intégrale de 15 tomes (j'ai l'édition publiée chez 12-21 qui fait plus de 5,500 pages en numérique).

L'auteure nous offre une biographie de Robinton depuis sa naissance jusqu'à ce que F'lar emmène Lessa (au début du 1er roman ‘Le vol du dragon').

On découvre son enfance entre une mère aimante et un père indifférent voire hostile. Il a une haute estime de lui-même et est jaloux du temps que son épouse passe avec leur fils. Il ne voit pas que Robinton a un talent inné et extraordinaire.

Il n'a que 3 ans quand il compose cet air :

https://www.youtube.com/watch?v=Mus3Sx_dDLs

Quel bonheur de rencontrer Falloner (F'lon) le meilleur ami de Rob et aussi le père de Fl'ar et F'nor. J'ai aussi été émue d'assister à l'arrivée de Sebell alors qu'il n'est qu'un petit garçon et il y a aussi Kasia son grand amour.

J'ai eu besoin de beaucoup de mouchoirs entre Un tome fort en émotions.

On suit son parcours qui l'amènera à devenir le maître-harpiste de Pern. C'est vraiment un beau personnage.

Vous savez quoi ? Je n'ai qu'une envie, reprendre ma lecture depuis le début. Cela tombe bien vu que la fin est clairement une invitation à reprendre ‘Le vol du dragon' et tous les tomes qui suivent.

J'ai aussi trouvé les partitions de l'album « The Masterharper of Pern » avec les paroles d'Anne McCaffrey et la musique/chant de Tania Opland et Mike Freeman. J'ai du boulot pour transposer les partitions pour pouvoir les jouer sur mon violoncelle.

En conclusion, quel cycle épatant!





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Challenge musical 2022-2023
Challenge mauvais genres 2023
Challenge multi-auteures SFFF 2023
Challenge plumes féminines 2023 (1)
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J'ai adoré ce tome, il y a un tel sentiment de nostalgie à l'ensemble et on retrouve tous les personnages importants de la suite. En fait c'est vraiment un roman typique à la mode de Pern, qui fait le lien entre tous les personnages au fil du temps.

Ce tome nous raconte simplement la vie de Maitre Robinton depuis la rencontre de ses parents jusqu'au début de l'histoire du tout premier tome de la série, le Vol du Dragon. Sa vie croisera celle de nombre de personnages connus et nous fera découvrir le contexte du monde à l'époque antérieure à celle du début de la série. En gros le "comment en est-ton arrivé la ?" concernant la jeune Lessa.

Cette chronique sera courte parce que ceux qui ont lu la série dans son ordre de publication (que je recommande) sauront tout à fait de quoi je veux parler et ceux qui ne connaissent pas la série n'ont aucun intérêt à commencer par ce tome ci.

En dehors de Robinton les autres personnages principaux de ce tome sont bien sur ses parents. Et si sa mère est aimante et le protège de son mieux, on ne peux pas en dire autant de son père qui l'ignore totalement. le portrait de Petiron fait limite peur ici, parce que ce n'est pas une mauvaise personne en soi, il ne "fait" rien de mal, il ne maltraite pas son enfant mais pourtant il arrive rien que par son attitude à nous donner envie de le frapper tellement il nous exaspère et qu'on ne le comprend pas.

Si d'un point de vue émotionnel ce tome était exceptionnel, il est vrai que si on le prend d'un point de vue rationnel il y a quelques détails qui sont dérangeant et qui ne collent pas vraiment avec certaines choses qu'on avait vu avant. Mais personnellement ça ne m'a vraiment pas gêné dans ma lecture. Comme je l'ai dit se sont des détails et tous peuvent être plus ou moins expliqués en extrapolant un peu.

Et quel plaisir de retrouver tous les autres personnages, notamment F'lar et F'lon enfant et de découvrir leur père, Lessa en nouveau né, même Groghe avant qu'il devienne un seigneur ou Sebell ...
C'est vrai qu'on pourrait se dire que ça fait un peu juste "grosse liste de noms" à certains moments, mais en fait pas du tout car on les découvre petit à petit, dans des situations normales et bien intégrées dans la vie de Robinton. En fait j'ai eu l'impression à certains moment qu'ils sont tellement peu sur Pern que la politique est une espèce de grande famille dont on fait très rapidement le tours (mais c'était déjà le cas avant), renforcé par le fait qu'à l'époque décrite il n'y avait quasiment plus de dragons.

Au final on a un tome qui n'est certes pas parfait mais qui marche super bien. Il nous remet dans l'ambiance du début de la série et nous donne vraiment envie de la relire pour retrouver ces personnages qu'on a adoré avant. C'est une vrai réussite de mon point de vue et je ne m'en lasse pas !

17/20
Lien : http://delivreenlivres.blogs..
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Pour la première fois dans ma lecture de la série, c'est à dire à un tome de la fin, je regrette de n'avoir pas lu l'ensemble dans un autre ordre.
En effet, on peut choisir de lire la série dans l'ordre chronologique de l'histoire ou dans l'ordre de parution des différents romans. Les deux options ayant leurs avantages, j'ai choisi pour ma ènième relecture de l'ensemble l'ordre de parution car j'ai préféré vivre chronologiquement l'évolution de l'auteur dans son style d'écriture et dans sa maturité littéraire, plutôt que l'évolution des personnages.

Ce tome est le quinzième dans l'ordre d'écriture et il précède le tout premier du point de vue de l'histoire... Je sais, c'est compliqué. C'est à dire que quinze romans séparent ces deux tomes que j'aurais du lire de manière plus contigüe pour savourer pleinement celui-ci. du coup, je n'étais plus bien certaine de qui est qui, qui est le père de qui, qui est mort quand, etc.

Ce tome étant assez crucial du point de vue socio-politique par rapport à l'ensemble, j'estime donc que je ne l'ai pas apprécié à sa juste valeur et je me promets que lors de ma prochaine relecture de la Ballade de Pern, je lirai l'ensemble dans l'ordre chronologique de l'histoire.

Pour conclure, je dirais que l'auteur semble véritablement avoir quelque chose sur le coeur à exprimer à propos des enfants prodiges et/ou incompris par leurs parents auxquel elle consacre un quatrième tome. On peut se féliciter que celui-ci soit le moins puérile et le plus nuancé des quatre.
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Nous sommes ici lors du 9ème passage pour découvrir la jeunesse de Robinton depuis sa naissance jusqu'au début de son accession au titre de Maître harpiste de Pern, l'histoire se terminant plus exactement là où "Le Vol du dragon" commence même si je pense qu'il vaut mieux lire ce dernier (qui est le premier dans l'ordre de parution) avant, histoire de ne pas se gâcher quelques surprises.

Car plus qu'un roman classique, c'est un livre d'histoire que l'on a ici. Pas vraiment de suspens ni de rebondissements, on suit juste pas à pas la croissance de celui qui deviendra un des plus importants personnages de Pern lors de ce fameux 9ème passage. Dans la forme il m'a fortement rappelé "Belgarath le sorcier" et "Polgara la sorcière" pour la Belgariade, car si on se sent un peu détachés et qu'il ne s'y passe rien de passionnant, on y prend principalement plaisir avec l'impression de retrouver un vieil ami dont on avait pas eu de nouvelles depuis quelques temps.

Comme en plus l'écriture d'Anne McCaffrey est toujours aussi agréable et que sa maîtrise du rythme nous pousse quand même à nous sentir de plus en plus intéressés en approchant de la fin, c'est finalement un ouvrage indispensable pour tout ceux qui ont déjà lu les épisodes précédents de cette fabuleuse aventure de Pern.
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C'est avec ce tome 4 que prend fin le cycle des Harpistes. Il est consacré à Robinton, le Maître Harpiste qui est l'un des personnages récurrents du cycle de la grand guerre des fils. C'est un personnage que j'aime beaucoup. Il oeuvre beaucoup pour sauver Pern et les Chevaliers-dragons. A l'instar de Menolly et Piemur, je me faisais une joie de découvrir son histoire. Mais je ressors un peu déçue de ma lecture.

Robinton a eu une vie pleine d'aventures, trop peut-être. Ce tome débute à sa naissance et prend fin lorsque Fax est tué au début du Vol du dragon. Entre ces deux événements, il va lui arriver de quoi meubler plusieurs vies. On a l'impression qu'il se trouve toujours au bon endroit au bon moment. Et l'auteur nous le décrit un peu trop parfait. C'est un jeune prodige de la musique, très précoce. Coincé entre une mère omniprésente et un père distant, ses débuts dans la vie ne sont pourtant pas évidents.

Malgré ces défauts, l'histoire de Robinton se lit facilement. On découvre la jeunesse d'autres personnages croisés dans d'autres tomes. On en regarde certains sous un nouvel oeil (Camo, Sebell,...). Grâce aux amitiés de Robinton, on rencontre le père de F'lar et F'nor et on découvre brièvement la vie au Weyr avant que F'lar et Lessa prennent les choses en main.



A trop vouloir en faire un personnage hors du commun, Anne McCaffrey caricature un peu son Maître Harpiste. Dommage!

Lien : http://mondedemara.canalblog..
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critiques presse (1)
SciFiUniverse
26 septembre 2011
Ecrit trente ans après Le Vol du Dragon, le premier volet de la trilogie initiale (complétée avec La Quête du Dragon et Le Dragon Blanc), Le maître harpiste de Pern donne un éclairage très intéressant sur l'un des personnages majeurs du neuvième passage des Fils. Et comme la jeunesse de Robinton a un côté dramatique, l'histoire n'en a que plus de force. Un très bel épisode de La Ballade de Pern.
Lire la critique sur le site : SciFiUniverse
Citations et extraits (5) Ajouter une citation
- Sois aussi heureux que je l'ai été avec ton père, lui murmura-t-elle à l'oreille, et, comme il se raidissait, elle s'écarta un peu, le fixant d'un regard pénétrant, et ajouta : Car nous avons été heureux... ensemble.
Il réalisa alors qu'elle disait vrai, que c'était lui que son père ne supportait pas.
- Toi, tu as le coeur assez grand pour aimer le monde entier, termina-t-elle en le lâchant.
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Fax ne souhaite pas que ses sujets soient instruits, Rob, dit Mallan. C'est aussi simple que ça : ce qu'ils ne savent pas ne leur nuira pas, parce qu'ils n'apprendront pas non lus quels sont leurs droits.
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Merelan se leva brusquement et, murmurant qu'elle devait aller voir Lorra, quitta la pièce avant d'éclater en sanglots ou de jeter quelque chose à la tête de son insensible époux.

Sortant en coup de vent dans l'air glacé du soir, ne s'arrêtant que pour jeter une veste sur ses épaules, elle savait qu'elle ne parlerait plus jamais, jamais, à Petiron des efforts de Robinton. Il ne méritait pas d'avoir un fils si talentueux.
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- La musique de son père n'est pas copiée et envoyée à tous les Forts et Ateliers, dit Lobirn. Mais les chansons de Robinton le sont depuis qu'il a trois Révolutions! Tu comprends maintenant?
Irrité par l'incapacité de Lotricia à saisir le comique de la chose, son visage se congestionna de nouveau.
- Tout le ridicule est pour Petiron! Ce compositeur vaniteux et condescendant n'a pas la moitié du talent de son propre fils!
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Personne ne peut mettre de la joie dans la musique si elle ne vient pas du coeur.
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Anne McCaffrey reading at Eurocon 2007
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