La trame du roman «
le médaillon de Budapest » de
Ayelet Waldman nous plonge dans l'empire Austro-Hongrois.
Trois périodes.
Trois histoires.
1ère période : Malade et condamné, Jack, est un ancien lieutenant de l'armée américaine. Afin de redonner goût à la vie à sa petite-fille Natalie, qui vit une rupture sentimentale, il lui raconte ses années de guerre 45-46, ou, basé à Salzbourg, il était en charge de surveillé le « train de l'or », train contenant les biens spoliés aux Juifs-Hongrois. Entre mensonges, horreurs de la guerre et déception amoureuse, avant son retour en Amérique, il dérobe un médaillon.
Lui confiant ce pendentif représentant un paon serti de pierres, qu'il a toujours regretté d'avoir volé, il lui demande de retrouver son histoire et sa véritable propriétaire.
2ème période : 2013, Natalie se rend en Europe ou elle a rendez-vous avec Amitaï ; Il détient la photo d'un tableau ou est représenté le médaillon.
Ensemble, ils partent en quête de l'histoire ce médaillon.
A l'intérieur du bijou, ils découvrent une minuscule photo ou y figure deux femmes.
3ème période : après avoir réunis les pièces du puzzle, l'auteur nous entraîne en 1913 pour retracer la vie des deux femmes figurant à l'intérieur du médaillon.
Si l'idée de départ de ce roman pour faire découvrir un épisode de l'histoire de l'Europe est intéressante, je n'ai malheureusement pas été entraînée dans ce patchwork d'époques, de personnages et de lieux.