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Les Annales du Disque-Monde tome 10 sur 35
EAN : 9782367931104
412 pages
L’Atalante (07/01/2013)
3.89/5   419 notes
Résumé :
La manivelle tourne...
Et les diablotins se décarcassent dans la boîte à images.
Car un alchimiste d’Ankh-Morpork a découvert la magie des images animées. Une activité fébrile s’empare d’une colline déserte au bord de l’océan : Olive-Oued.

Du friçon ! De l’aventure !
Avec les étoiles
☆☆Victor Marasquino☆☆ et ☆☆Delorès de Vyce☆☆
Et avecque mille éléfants !
Une da... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (28) Voir plus Ajouter une critique
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Une hystoire plus grande que la vye dans un monde pris de follye ! de la magye, une passionne torryde, de l'actyon débrydée, des trolls et 1000 éléphants ! Voyez cette ymmense hépopée hépique qui défye l'entendement !

C'est un peu ce qu'aurait pu imaginer Planteur comme tagline à ces « zinzins d'Olive Oued ». Et ce serait à peine mensonger. Ce 10ème tome des annales du disque monde est un très bon cru, parmi les meilleurs.

La galerie de personnages de ce volet est une réussite totale. Planteur, Victor, Ginger, Gaspode, Roc, Detritus… des 1ers rôles aux seconds couteaux, ils sont tous excellents et bénéficient de dialogues aux petits oignons.
Quant au pastiche du microcosme hollywoodien, il est absolument savoureux. Non seulement on rencontre avec bonheur tous les archétypes du monde du cinéma mais en plus on s'amuse à identifier les références filmiques qui sont nombreuses dans le livre, de « Lassie » à « Chantons sous la pluie », « Blanche Neige » et bien d'autres, jusqu'à culminer dans un climax tout simplement énorme qui mélange « L'attaque de la femme de 50 pieds », « 7 ans de réflexion » et « King-Kong ».

Comme d'habitude, derrière la grosse déconnade, il y a tout de même du fond. Ici Pratchett se moque du star-system où des gens deviennent célèbres et importants simplement parce qu'ils sont et non par ce qu'ils ont fait. Il pointe du doigt le pouvoir un peu abêtissant des écrans sur les gens.

Bref, un excellent tome qui fait mal aux zygomatiques.
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Cela faisait longtemps, presque dix ans, que je ne m'étais pas replongé dans le monde fou de Terry Pratchett.
Pour retrouver le disque-monde, j'ai choisi ce titre qui m'avait laissé un très bon souvenir.

Les zinzins d'Olive-Oued, ce titre est une référence au film de et avec Jerry Lewis "Le zinzin d'Hollywood" ("The errand boy" 1961), la référence avait d'ailleurs échappé à beaucoup des jeunes lecteurs de Pratchett...

C'est que la traduction d'une oeuvre, en général et celle de Pratchett en particulier est une gageure !
Patrick Couton, le traducteur de l'ensemble des annales du Disque-monde, a eté à juste titre récompensé pour son travail qui tient autant de l'adaptation pour le lectorat francophone que de la simple traduction.

Pratchett avait ce sens du gag non-sensique si "british" que l'on retrouve par exemple chez les Monty-Python.
Ici, c'est un mage qui découvre les images animées aussitôt, l'industrie du cinéma se développe.

Les zinzins d'Olive-Oued est une critique farfelue du monde du septième art, sauce hollywoodienne bien sûr.
Lea (re)lecture de cet opus est un régal, un choix parfait pour de la détente de qualité, car Pratchett ne manquait certes pas d'humour, mais pas non plus de finesse !
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Les zinzins d'Olive-oued... il m'aura fallu quelques temps et quelques chapitres avant de capter le jeu de mots du titre et de cette ville spectaculaire, née de rien et regroupant toute l'industrie du clic... olive-oued, olive-ou'd, oliw'-oud... aaah !
Un tome qui sera donc centré sur le cinéma et son industrie, bourré de références (je n'ai pas tout reconnu, et il aura fallu qu'on s'y mette à plusieurs avec les copains-trolls pour éclaircir certains points ^^), de King Kong à Cthulhu (pour les plus évidentes).

Le tout est extrêmement drôle, notamment grâce à deux petits toutous, à des trolls pas si bêtes, à un planteur JMTLG complètement métamorphosé par l'industrie, et à des mages que j'attends impatiemment de retrouver.

Reste que parfois Pratchett en fait un peu trop et ne parvient pas à utiliser totalement toutes les idées géniales qu'il met en place.
Cela reste un très bon tome et une lecture agréablement déjantée !
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Moving Pictures
Traduction : Patrick Couton

Pour le cinéphile qui se double, en général, d'un amoureux de l'Histoire du cinéma, "Les Zinzins d'Olive-Oued"*, dixième volume des Annales du Disque-Monde, est un vrai régal. Certains le trouveront un peu long mais, quand on lit et relit Pratchett, on se rend compte très vite que les longueurs, il adore.

Tout commence une fois de plus à Ankh-Morpork où, comme nous l'avons déjà signalé, pullulent toutes les corporations professionnelles, dûment constituées en guildes. Parmi elles, la guilde des Alchimistes est plutôt méprisée. du Patricien au dernier des voleurs, tout le monde les tient pour des espèces de malades mentaux, doublés d'incurables maladroits. Qui pis est, les expériences auxquelles ils se livres, souvent tonitruantes et toujours affichées comme scientifiques, frôlent le domaine de la magie pure alors que celui-ci demeure la chasse gardée des Mages de l'Université de l'Invisible.

En ce jour (dont j'ai oublié la date exacte) du siècle de la Roussette, à Ankh-Morpork, à l'issue d'une explosion particulièrement formidable, un alchimiste noir de suie vient donc de créer un produit appelé à un avenir surprenant : l'octocellulose. Très inflammable, l'octocellulose deviendra le support idéal pour les images animées que peignent à toute vitesse enfermés dans des boîtes derrière un objectif, les traditionnels petits diablotins verts. le résultat est fabuleux et tient presque du miracle : le clic (= nous disons film) est né.

Peu soucieux de voir la puissante Université de l'Invisible émettre un veto quant à leur prometteuse invention et plus encore aux bénéfices pécuniaires qu'elle laisse deviner, les alchimistes décident de concert de s'exiler à Olive-Oued, un trou absolument perdu non loin de la côte, où, de toutes façons, la lumière sera idéale pour tourner les clics.


Dans le but très louable de présenter à la population ankh-morporkienne "la kinématographie amusante et instructive", Gauledoin, président de la Guilde des Alchimistes, se charge d'organiser quelques séances publiques.

Et c'est à l'issue de l'une d'entre elles que, comme beaucoup d'autres avant eux, Victor Tugenbeld, apprenti-mage à la veille de passer son examen du 3ème cycle ; Mme Marietta Cosmopilite, couturière de son état ; Détritus le Troll, éjecteur préposé à la porte du "Tambour Rafistolé" qui ne sait pas encore qu'un jour, il sera sous-officier du Guet de Nuit et le chien prodige Gaspode, lequel parle et raisonne avec un cynisme pratiquement humain, laissent tout tomber pour prendre (à pied et pratiquement sans rien dans les poches) le chemin menant à Olive-Oued.

Tout à fait comme si des voix mystérieuses leur soufflaient à l'oreille de s'y rendre sans plus tarder ...

Encore plus fort : Planteur Je-m'tranche-la-gorge, dit la Gorge, marchand de saucisses immangeables parfaitement à jour dans ses cotisations à la Guilde des Voleurs, célébrité locale de la population marchande et indicateur occasionnel du Guet, s'y laisse prendre lui aussi. Dans ces images qui sautillaient sur le drap ayant servi d'écran à la démonstration de Gauledoin, la Gorge a en effet repéré le reflet impérieux de milliers de pièces d'or.

Bussinessman-né (avec tout ce que cela implique d'audace, d'arrogance, de mauvaise foi et de malhonnêteté), Planteur J.M.T.L.G. s'impose très vite au malheureux Gauledoin qu'il finira par évincer de la compagnie d'images animées qu'il a pourtant créée. Metteur-en-scène visionnaire avant la lettre (style Cecil B. de Mille revu et corrigé façon Terry Pratchett), hanté par des visions glorieuses de troupeaux d'éléphants en marche, de danseuses adroitement dénudées aux plis et rondeurs stratégiques et de batailles homériques filmées à grand renfort de figurants, il ne met pas longtemps à initier sur le Disque-Monde ce que notre monde à nous désigne sous le terme de star system.

Pour financer tout ça, Planteur aura le premier l'idée des sponsors et des encarts publicitaires. (Ses prises de bec sur la question avec son neveu, Sol, donnent d'ailleurs quelques uns des dialogues les plus hilarants du livre.)

Mais revenons aux "étoiles" de Planteur J.M.T.L.G. et de son studio (l'ex-studio de Gauledoin rebaptisé "Les Films du Siècle de la Roussette").

Elles s'appellent Victor Marasquino (alias Victor Tugenbeld) et Delores de Vyce (alias Theda Whitel, Ginger pour les intimes). L'ancien marchand de saucisses chaudes fourrées dans des petits pains rassis ne sait pas trop comment ça se fait mais dès que l'opérateur Electro commence à tourner sa manivelle pour enregistrer les images animées, ces deux-là changent. Une alchimie incompréhensible se produit, les hommes soupirent, les femmes se pâment ... le tiroir-caisse tinte.

Fort heureusement pour nous et surtout pour la survie du Disque-Monde, on ne fait pas des études de mage sans que la chose ne laisse sa marque sur vous. Aussi Victor se rend-il très vite compte que, dans cet Olive-Oued qui grouille de figurants, où les maisons ne sont que des décors interchangeables et où chacun - humain, nain, troll et même elfe - ne semble penser qu'à l'image de lui-même qu'il donne au monde extérieur, quelque chose ne tourne pas rond.

Aidé par Gaspode, le chien parlant qui s'est attaché à lui, Victor s'aperçoit que, presque toutes les nuits, Ginger se transforme en une somnanbule qui s'en va dans les dunes afin d'y creuser le sable et d'en dégager une porte. Cette découverte, ajoutée à un livre écrit dans une langue pictographique visiblement très ancienne qu'il a récupéré entre les mains d'un cadavre abandonné sur une plage voisine, finit par le persuader que quelque chose d'invisible (Olive-Oued ? son genius loci ? autre chose de bien pire ?) tire toutes les ficelles de cette ruée sur les images animées ...

Mais dans quel but ?

L'ouvrage abonde de clins d'oeil et de jeux de mots qui raviront et/ou attendriront les amoureux du cinéma. C'est aussi dans cet opus qu'apparaît pour la première fois le personnage de Mustrum Ridculle, dit Ridculle le Brun, nouvel archichancelier - et pour longtemps, croyez-moi ! - de l'Université de l'Invisible. Un anticonformiste de très haut niveau qu'on se réjouira de retrouver dans les volumes ultérieurs. Ses échanges avec le malheureux économe - qui commence ici à osciller doucement vers la folie douce - sont des plus savoureux et j'avoue y trouver, je ne sais trop pourquoi, un son qui me rappelle les pires délires d'Alphonse Allais ou de Pierre Dac.

Enfin, détail très important pour la suite des volumes, c'est à la fin des "Zinzins ..." que la Mort s'autorise deux "irrégularités" qui seront à l'origine de l'intrigue du "Faucheur", le tome suivant.

La Mort, de plus en plus sympathique, il faut bien le dire.

* : dans le texte original, Pratchett a utilisé le nom "Holly-Wood."

Enfin, je ne résiste pas à vous placer ici ce lien :

http://pratchett.free.fr/apfdsc10.html

Vous y trouverez pas mal de notes, notamment sur les clins d'oeil cinéphiliques par lesquels Pratchett, dans son "Olive-Oued", rend hommage au cinéma tout en le tournant en dérision. On notera le nom anglais de Gauledoin : Silverfish qui, évidemment, fait penser à Samuel Goldwyn, de son vrai nom Samuel ... Goldfish.

Eh ! oui ! N'en déplaise à certains bonnets de nuit tout à fait primaires, Terry Pratchett est un monsieur bougrement cultivé. Par exemple, si les premiers cinéastes décidèrent de quitter l'Est des USA pour s'installer à Hollywood, c'était bel et bien en raison de la lumière ...

P.S. : Je précise que le physique de Victor Tugenbeld est un mélange de Clark Gable et de Douglas Fairbanks. ;o)
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Je crois bien que c'est un des Pratchett qui m'a fait le plus rire jusqu'ici ! (Une fois de plus chapeau bas au traducteur, M. Couton !)

Je me suis régalé à lire les aventures de Victor, Ginger, Planteur, Détritus, Gaspode et tous les autres, et dieu sait qu'ils sont nombreux ! Un vrai plaisir de lecture dans ce pastiche génial d'Hollywood, superbement traduit, bourré de jeux de mots, de références, bien sûr, et de petites phrases bien senties sur la bêtise des masses face à l'écran, j'ai positivement tout adoré dans ce bouquin !

Je crois bien que pour l'instant il est dans mon top 3 du peu que j'ai lu de Pratchett, avec mortimer et Au guet !
Babelio c'est le bien (même si c'est le mal pour la pal, mdrrrr !), dire que je ne le connaissais pas, cet auteur et que sans tous mes amis ici je serais passée à côté ! Quel malheur ç'aurait été !!! Bref j'adresse un merci collégial à tous ceux qui l'ont lu et l'ont commenté pour me donner envie de le lire !
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Citations et extraits (83) Voir plus Ajouter une citation
"- Vous savez quelle est la plus grande tragédie du monde ? demanda Ginger sans lui accorder la moindre attention. Ce sont les gens qui ne découvrent jamais ce qu'ils veulent vraiment faire ni pour quoi ils sont doués. Tous les fils qui deviennent forgerons parce que leurs pères l'étaient déjà [...] Tous les gens doués qui ne découvrent jamais leurs talents. peut-être qu'ils ne naissent jamais au bon moment pour les découvrir.
Elle pris une profonde inspiration. "Ce sont tous les gens qui n'arrivent jamais à savoir de quoi ils sont réellement capables. Toutes les occasions gâchées."
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Les origines de la guerre civile d'Ankh-Morpork ont toujours fait l'objet de débats houleux entre historiens.
Deux grandes théories s'affrontent : 1) Le peuple, lourdement imposé par un roi particulièrement idiot et désagréable, avait estimé que trop c'était trop et qu'il était temps d'abandonner le concept démodé de la monarchie -- que remplaça, entre parenthèses, une succession de suzerains despotiques qui imposèrent tout aussi lourdement le peuple mais qui eurent au moins la décence de ne pas prétendre que les dieux leur en avaient donné le droit, ce qui soulagea un peu tout le monde ; ou 2) Au cours d'une partie de monsieur-l'oignon-l'andouille dans une taverne un joueur avait accusé un adversaire d'empalmer davantage d'as que d'habitude, les couteaux avaient alors jailli, puis un premier type avait abattu un banc sur la tête d'un second, un troisième en avait poignardé un quatrième, des flèches s'étaient mises à voler, un acrobate s'était balancé au lustre, une hache lancée au petit bonheur avait atteint un passant dans la rue, ensuite on avait appelé le Guet, un pyromane avait mis le feu au mastroquet, un costaud avait renversé un tas de gens avec une table, après quoi tout le mine s'était mis en rogne et jeté dans la bagarre.
Bref, une guerre civile avait éclatée, phase par où toute civilisation adulte se doit d'être passée*...

*Déjà, on bénéficie d'une meilleure excuse pour taper son frère que le prétexte habituel, à savoir : ce que sa femme a dit sur maman à l'enterrement de tarie Véra.
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Il (Victor) n'avait jamais voulu devenir mage. Il n'avait jamais voulu grand chose, sauf peut-être qu'on lui fiche la paix et qu'on ne le réveille pas avant midi. Quand il était petit, on lui demandait "et toi, qu'est-ce que tu veux faire plus tard, p'tit bonhomme ?". Et lui répondait : "J'sais pas. Qu'est-ce que vous avez à proposer ?"
On ne laisse personne s'en tirer très longtemps avec ce genre d'attitude. ça ne suffit pas d'être soi-même, il faut travailler pour devenir quelqu'un d'autre.
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- J'suis sûr que tu te demandes, dit l'animal en posant encore son regard pénétrant sur Victor, comment ça s'fait que je parle
- M'était même pas venu à l'idée, répondit Victor
- A moi non plus. Jusqu'à y a deux semaines. De toute ma vie, j'ai jamais sorti un putain de mot. J'travaillais pour un type, là-bas, dans la grande ville. J'faisais des tours, tout ça. J'tenais un ballon en équilibre sur mon nez. J'marchais sur mes pattes de derrière. J'sautais à trvaers un cerceau. Et après, j'passais l'chapeau dans ma gueule. Tu vois, quoi. L'show-biz. Puis vl'a une bonne femme qui me tape sur la tête et qui fait:"Hou, le mignon pt'tit toutout, on a l'impression qu'il comprend tout ce qu'on raconte." Alors, moi, je m'dis "Ho ho, j'ai même plus besoin d'faire d'effort, m'dame", et alors je m'rends compte que j'entends les mots et qu'ils me sortent de ma gueule à moi. Du coup, j'ai attrapé l'chapeau et j'ai filé à toutes pattes avant qu'ils réagissent.
- pourquoi donc? demanda Victor
Gaspode roula des yeux. " A ton avis, à quelle existence exactement peut s'attendre un authentique chien qui parle ? fit-il. J'aurais pas dû l'ouvrir, ma putain d'gueule.
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" Ces six diablotins, là, poursuivit-il en les montrant d ' un doigt prudent pour éviter les griffes,regardent par le petit trou devant la boîte et peignent les images de ce qu'ils voient. Il en faut six, d ' accord? Deux qui peignent les images, et quatre qui soufflent dessus pour les sécher. À cause de l ' image suivante qui arrive, tu vois vois. Parce qu' à chaque fois qu'on tourne cette manivelle, là, la bande de membrane transparente descend d ' un cran pour l ' image d ' après. " Il tourna la manivelle. Elle fit clic-clic, et les démons baragouinèrent.
" Pourquoi ils font ça? demanda Victor.
- Ah, répondit Electro,ça, c'est parce que la manivelle actionne une petite roue garnie de fouets. C'est le seul moyen de les faire travailler assez vite. Tous ces diablotins, c'est feignants et compagnie.
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Vidéo de Terry Pratchett
Extrait de "De bons présages" de Terry Pratchett et Neil Gaiman lu par Stéphane Ronchewski. Parution en numérique le 24 septembre.
Pour en savoir plus : https://www.audiolib.fr/livre-audio/de-bons-presages
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