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Les chroniques d'Edward Holmes e... tome 2 sur 16
EAN : 9782264067869
504 pages
10-18 (04/02/2016)
4.13/5   49 notes
Résumé :
Au printemps de l'an de grâce 1422, durant la maudite guerre entre les Armagnacs et les Bourguignons, Isabeau de Bavière, reine de France et épouse du pauvre roi fou Charles VI, charge le clerc anglais Edward Holmes de conduire une de ses demoiselles d'honneur au château de Basqueville afin qu'elle puisse prier sur le gisant de son époux.
Mais rien ne se passe comme prévu et, malgré sa sagacité, Holmes se fera berner. Peu après, la reine Isabeau découvre avec... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (9) Voir plus Ajouter une critique
Second volet des aventures d'Edward Holmes et Gower Watson.⚔️


Après avoir mis fin au complot mis en place par Lady Mortimer (voir Une étude en écarlate), Edward Holmes est las de tout. Plus rien ne le passionne et les quelques enquêtes auxquelles il participe ne lui permettent pas de s'occuper l'esprit. Alors, lorsque la reine Isabeau requiert sa présence et lui donne comme mission d'accompagner Jeannette de la tour au château de Basqueville afin d'y retrouver un coffre et de le rapporter fermé, cela ne peut que titiller sa curiosité. Malheureusement, arrivé sur place, tout ne se passe pas comme prévu : le coffre est dérobé, la monarchie est menacée et la guerre risque de reprendre.


⚠️ATTENTION⚠️ : Pour les fans de Sherlock Holmes et Watson de Conan Doyle, vous risquez d'être déçu. Certes, les personnages portent les noms des héros, les titres des oeuvres sont des clins d'oeil, mais l'auteur a pris une grande distance avec l'univers holmésien, d'une part par l'époque historique et les personnages. Par contre, c'est justement la présence de ces personnages de Holmes et Watson qui m'ont permis de découvrir une série plutôt sympathique... et sanglante.


Pourquoi les cours d'histoire que nous avons tous connus étaient ennuyants, sans vie et insipides ???? Parce qu'en lisant ce roman, on ne peut qu'avoir envie d'en apprendre plus sur le conflit entre les Français et les Anglais à cette époque pour obtenir le trône de France.

Jean d'Aillon sous couvert de nous raconter une histoire de complot visant à destituer Isabeau, reine de France nous entraîne dans L Histoire avec un grand H. Nous apprenons alors les raisons de cette guerre pour le trône puisque plusieurs prétendants (légitimes ou pas) pouvaient prétendre au titre. Sans parti pris, Jean d'Aillon nous brosse une histoire vivante de cette période en relatant les affaires de cours de l'époque, mais également les conditions de vie difficiles des Parisiens. le vocabulaire d'antan que cela soit les termes concernant l'habillement, les dialogues ou les courriers apportent sans conteste cette sensation de retour dans le passé.
Une époque peu connue puisque l'auteur base son roman pendant la vingtaine d'années où Paris était anglaise et ose même placer les héros du côté des perdants puisque les Armagnacs gagneront ce conflit et les Anglais quitteront Paris.


Côté enquête : Nos héros Edward Holmes et Gower Watson doivent récupérer des lettres rédigées par la reine Isabeau qui pourrait faire basculer l'histoire si elles tombaient en de mauvaises mains. Jean d'Aillon nous propose une enquête à péripéties ! À chaque fois que tout semble s'arranger, un pépin survient. Cela rend d'autant plus l'histoire attractive. Nos héros vont voir leur duo s'agrandir avec un nouvel enquêteur canin et deux enfants mendiants (Armagnacs donc ennemis du pouvoir en place).
Côté structure du récit, j'apprécie que Jean d'Aillon se permette une grande liberté d'adaptation de l'oeuvre de Conan Doyle. Nous n'avons pas là un énième pastiche, mais une oeuvre inédite qui par moment – avec notamment la rythmique d'action - rappelle les Trois Mousquetaires ou à La Reine Margot d'Alexandre Dumas.

Autre élément sympathique, c'est le rapprochement même éloigné avec l'univers holmésien. Ainsi les personnages portent les noms des héros de Conan Doyle et d'autres comme Lestrade y fait des apparitions. de même, les titres sont en lien avec les oeuvres de Conan Doyle, ce qui est plutôt un bel hommage. Jean d'Aillon prend même le partie de lier les deux romans puisque basant son histoire sur des faits historiques, la famille Basqueville est une branche de la famille Baskerville émigrée en Angleterre.


Pour conclure : Pour les fans de Sherlock Holmes, vous risquez de trouver le livre très éloigné de l'univers de Conan Doyle. Par contre, joli clin d'oeil pour parler d'une époque méconnue et oubliée, mais très sanglante. 😱 Une fiction passionnante, basée sur des faits historiques avérés et relatés de manière passionnante. Que demandez de plus ???😍
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Pour son deuxième roman dans l'univers des chroniques d'Edward Holmes et de Gower Watson, Jean d'Aillon, garde les meilleurs éléments pour nous cocotter une nouvelle intrigue qui sera nous tenir en haleine de la première à la dernière page.

Comme dans Une étude en écarlate, nos deux compères vont ici évoluer dans leur contexte historique et auront une influence non négligeable sur les événements, d'autant que le sujet est une question centrale de la guerre de Cent ans. Si celle-ci est introduite de manière habile, elle manque hélas de perspectives plus lointaines (le sujet touche même, par ricochet aux origines du conflit centenaire).

De mêmes sherlockiens et holmésiens pourront ressentir ici un petit sentiment de frustration. L'intrigue n'est pas vraiment celle d'un apocryphe. Certes, il y a bien un Holmes et un Watson (qui ressemblent beaucoup à vous savez qui…), cette fois-ci il y a même deux jeunes irréguliers et une certaine femme… mais le roman tient ici davantage du roman historique.

Les personnages sont plaisants, l'intrigue est intéressante, le style est agréable et de belles surprises viennent ponctuer la lecture. Mais quelques défauts doivent être révélés. La narration est ici clairement omnisciente et aucun effort n'est consenti pour donner du corps au récit. Certes nous savons que Holmes écrit une chronique mais en dehors de cela, le lien avec le canon reste ténu.

Quelques mauvaises surprises viendront également gâcher le plaisir : des références à une autre nouvelle (le chanoine à la lèvre tordue) assortie de quelques révélations mineures, mais surtout la révélation complète du roman précédent alors que tout cela ne se justifie aucunement…

L'approche parfois utilitaire de certains personnages est assez étonnante, sans être désagréable. Il est fort probablement que ceux-ci (du moins certains) fassent parler d'eux à l'avenir. Les meurtres sont ici nombreux et la justification pas toujours heureuse, mais tout cela reste dans des proportions acceptables (pour un roman, nous sommes bien d'accord).

Le chien des Basqueville est un roman agréable, vite et facilement lu, qui donnera immanquablement envie de poursuivre les aventures de nos deux compères…
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Quand on est holmésien pur sucre et néanmoins féru d'histoire comme moi, on ne peut que se réjouir qu'un auteur, qui plus est Jean d'Aillon, ait réuni le plus grand des détectives et le moyen-âge franco-anglais. Edward Holmes déduit et se plante, parfois, tout du moins au début tandis que son compère et non faire valoir Watson, prénom Gower, est un habile archer, bretteur de première, ce qui aide dans certaines situations.
Outre les armagnacs et les bourguignons partenaires, connus, de guerre au fil de notre histoire auxquels viennent se greffer les ineffables anglais toujours partants lorsqu'il faut aller guerroyer contre leurs voisins françois, Aillon a concocté, ici, une histoire de preuves sur les infidélités de la reine Isabeau de Bavière, épouse de roi Charles VI dit le fou, qui aura l'élégance de mourir rapidement, suffisamment pour ne rien savoir, pour autant que ces allégations fussent véridiques.
Historiquement et pour cause, nul n'est sûr de l'infidélité de la reine, qui si elle avait été prouvée, aurait été répudiée. Lors du traité de Troyes elle a sous-entendu cette infidélité, avec Louis d'Orléans, notamment, pour signifier la bâtardise de Charles VII et justifier la légitimité de Henri V au trône de France.
Isabeau aurait eu 12 enfants dont, prétendirent certains historiens, Jeanne d'Arc, bâtarde royale.
Bref Holmes doit retrouver des lettres compromettantes se trouvant au château de Martel de Basqueville (Bacqueville en Caux – Normandie, actuellement). Pour ce faire il utilisera, entre autres, un chien, le fameux chien des Basqueville, appelé Gracieux. Outre le chien des Baskerville, Holmes utilise, souvent, un chien (dont j'ai oublié le nom) au flair redoutable, d'où ce clin d'oeil.
Autre clin d'oeil, les deux jeunes mendiants rappellent le jeune Billy et les garçons des rues de Conan Doyle.
Dans la langue savoureuse du moyen âge nous suivons cette enquête, toute en respect des us et coutumes de l'époque ainsi que des usages et des convenances dû aux puissants.
Entre intrigues, chevaliers, chambellans et chambellanes, ducs et nobles, marguilliers et echoliers, chanoines et clercs, maîtres et valets, une fausse servante et une fausse dame noble et même une Constance Bonacieux, riche veuve, n'ayant rien à voir avec celle de Dumas, Aillon nous fait effectuer un voyage des plus plaisants dans cette histoire romancée attachante.
Un roman qui ne nous laisse pas le temps de le voir passer de par une richesse du verbe et de l'utilisation, sans excès, de cette langue imagée de l'époque.
Une intrigue bien menée, sans temps mort.
De l'humour mais pas trop.
De la belle ouvrage.


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J'ai l'habitude de lire des polars moyenâgeux l'été, parce que je trouve que cela met mon petit cerveau de vacancier au repos. Normalement cela se passe dans un moyen âge inspiré par « les visiteurs », il y a une enquête sur des meurtres affreux et des rebondissements croquignolets toutes les 10 pages, on croit que c'est le diable qui est passé par là et on a peur mais en fait non à la fin c'est toujours un inquisiteur / un prêtre / un croisé revenu moitié zinzin (ad lib..) qui veut punir la population du village pour une raison quelconque et chelou. En prime un des héros couchote avec une bougresse, on a donc deux ou trois chapitres un peu chauds et c'est très bien (même si en gros on relit pour la quinzième fois une mauvaise resucée du "roman de la rose" mais bon, soit, on est en vacances).
Voici donc pourquoi j'ai choisi ce livre ci, cette année là, l'allusion à Sherlock Holmes (un de mes héros de référence) en prime.
Et bien c'est totalement l'inverse de d'habitude ! L'auteur est un universitaire (probablement passionné par le moyen âge) alors niveau contexte historique, attention on ne déconne pas ! Que ce soit les enjeux politiques (la guerre bourguignons / d'armagnac et tout le contexte qui annonce l'arrivée de jeanne d'arc que je n'avais d'ailleurs jamais vraiment bien compris) ou la vêture, ou les rues de Paris, tout est rigoureusement crédible, argumenté, précis, voire maniaque (oui je m'intéresse un peu au moyen âge moi aussi donc j'ai quelques notions). Donc très clairement ça change de Jacquouille la fripouille… Mais malheureusement coté « scénario » ou « histoire », à l'opposé des autres romans du genre, c'est d'une platitude sidérale. En gros il faudrait 5 pages (en étant généreux) pour expliquer l'intrigue et sa solution mais l'auteur en prend 492 (Edition poche) pour en venir à bout, justement pour bien nous expliquer comment les gens sont habillés et qu'est ce qu'ils mangent et comment ils sont armés et par quelle rue ils passent etc… Bref on ne va pas se mentir : même si intellectuellement on est content d'apprendre tout ça, niveau amusement ben on s'ennuie ferme, il n'y aucun enjeu, aucun suspense, le plat total. Et quant à la référence à home et Watson je la cherche encore dans ses personnages au cerveau rabougri qui mettent deux-cents pages à comprendre une énigme fine comme un bout de cargo et qui en plus fait aimer les femmes à Holmes ! (Sacrilège ultime pour ceux qui s'y connaissent). Donc bon, ce n'est pas un mauvais livre mais pour être juste on dira que c'est vachement distrayant… pour une thèse d'histoire médiévale.
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Dans le Chien des Basqueville, le roman démarre au printemps 1422. Paris est alors aux mains des Anglais et la misère dans la capitale du royaume de France atteint des sommets, tandis que la campagne environnante est régulièrement ravagée par des bandes de routiers commandées par les Armagnacs. Signé deux ans plus tôt, le traité de Troyes a écarté de la succession le dernier fils de la reine Isabeau de Bavière et du roi Charles VI, Charles, retiré dans ses terres au sud de la Loire. C'est Henry V de Lancastre, le roi d'Angleterre et époux de Catherine de Valois, qui doit ceindre la couronne après la mort de Charles VI et, ainsi, unir les couronnes des lys et des léopards sur une même tête après la signature de l'honteux traité de Troyes.
Or, justement, voilà que l'on fait chanter la reine de France ! Un mystérieux corbeau lui fait dire qu'il possède un coffre dans lequel est serrée une correspondante compromettante, signée de sa main. Pour la récupérer, elle doit payer une certaine somme, sinon, l'inconnu menace de tout révéler, ce qui pourrait avoir des conséquences particulièrement funestes pour le royaume de France ! Un coffre qui était jusqu'ici dissimulé dans un château normand appartenant à un ancien fidèle du duc d'Orléans, Guillaume Martel de Basqueville, mort à Azincourt et que Edward va devoir chercher, au péril de sa propre vie, pour ramener à la reine les documents sensibles qui pourraient lui valoir le même sort que les brus du roi Philippe le Bel : l'enfermement dans un cachot jusqu'à ce que mort s'ensuive, pour adultère.
Une seconde intrigue palpitante, oscillant parfaitement entre une parfaite maîtrise historique et le talentueux hommage à Arthur Conan Doyle et Alexandre Dumas.
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Citations et extraits (9) Voir plus Ajouter une citation
Arrivé au tribunal, Blondel fut présenté au greffe de la prison situé dans la partie est de la forteresse. Comme le lieutenant du guet n’avait pas exigé de conditions particulières pour l’emprisonnement du prévenu, le guichetier lui laissa le choix de sa cellule.
Quelques chambres confortables étaient aménagées dans le haut du gros donjon. Plus bas s’étendait une grande salle voûtée où pouvaient s’entasser une centaine de prisonniers sur des nattes de paille. Plus bas encore, au sous-sol, se trouvait une cave où l’on serrait les prévenus dans des fers. Encore plus profond, on trouvait de sinistres cachots aux murs suintants qui portaient comme noms : la Fosse, le Puits, la Barbarie, la Chausse d’Hypocras ou encore la Fin d’Aise. Dans certains, où l’on ne pouvait se tenir ni debout ni couché, le prévenu était descendu par une corde et il gardait perpétuellement les pieds dans l’eau.
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Maussade, Holmes se demandait comment il allait occuper le reste de la journée. Avec Watson, ils avaient passé une partie de la matinée à débattre sur la décision royale annoncée le samedi à son de trompe à tous les carrefours : les Parisiens devaient porter aux changeurs agréés par les maîtres de la Monnaie tous les deniers gros qu’ils possédaient, les pièces leur étant reprises à leur poids d’argent, donc pour une valeur ridicule. Cette monnaie ne devait plus être utilisée car le prétendu dauphin émettait des pièces identiques et donc illégales. Elle serait remplacée par des doubles tournois de trois deniers que les gens appelaient déjà « niquets », ces pièces leur faisant la nique.
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Comme autour de la Grande Boucherie , des baraques abritées par un auvent -qu'on appelait des bauves -s'étaient installées dans des ruelles avoisinantes de La Tête Noire .
Pour la plupart , il s'agissait de rôtisseries qui proposaient des morceaux d'oie entre deux tranches de pain , mais la chair du volatile se faisant rare , elles vendaient désormais surtout des pigeons rôtis .
Malgré l'état peu ragoûtant des lieux - on pataugeait dans un mélange de sang d'animaux, de boue et de déjections dans les rues de la Tuerie et de l'Ecorcherie - et le fait qu'on mangeait debout , la clientèle d'officiers et de magistrats du Châtelet était nombreuse . P. 437
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_ je me le remémore maintenant ! ne s'agissait-il pas d'un des capitaines de Meaux ? Celui qui rançonnait vilains , voyageurs et marchands et les pendait à un orme s'ils ne pouvaient payer , s'amusant même de leurs cris et de leurs convulsions .
_ Celui-là même , confirma Constance sur un ton de colère . Un jour , il a saisi un laboureur et l'a battu pour qu'i paye une somme trois fois supérieure à sa fortune . L'épouse de ce pauvre vilain , grosse d'un enfantelet , a tenté en vain d'attendrir le coeur de ce monstre . Et comme Vaurus restait inflexible , elle a tout de même réuni la somme . Mais il s'était écoulé quelques jours et le capitaine avait fait pendre son mari . A l'annonce de cette mort , la pauvresse a maudit son bourreau et Vaurus , en rage , l'a battue avant de l'attacher toute nue à l'orme des pendaisons .
( ... ) La nuit tombée , personne n'est venu la délivrer par crainte du bâtard de Vaurus . Ses cris et sa douleur ont provoqué l'arrivée des loups .
Les fauves l'ont assaillie dans la nuit , lui ont ouvert le ventre et ont dépecé l'enfant . P. 45
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Les hommes n’étaient pas différents des hannetons, prêts à tout dévorer et détruire sur leur passage, quitte à mourir de faim.
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Vidéo de Jean d` Aillon
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