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EAN : 9782749145075
464 pages
Le Cherche midi (04/05/2016)
3.48/5   142 notes
Résumé :
Que savons-nous vraiment de nos enfants ? Jenny est médecin, mariée à un neurochirurgien célèbre. Ensemble, ils ont élevé trois superbes enfants. Un soir, la plus jeune, Naomi, 15 ans, ne rentre pas à la maison. Les recherches lancées à travers tout le pays restent vaines. L'adolescente a disparu. La famille est brisée. Plus d'un an a passé et les pires scénarios envisagés. Enlèvement ? assassinat ? semblent de moins en moins plausibles. L'enquête s'essouffle... Cep... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (62) Voir plus Ajouter une critique
3,48

sur 142 notes
Wouah, un coup de coeur qui a pourtant mal commencé, un coup de poing dans l'estomac qui me laisse toute retournée, un coup de massue aux émotions qui me laissent toute pensive.
J'ai eu un peu de mal à entrer dans le roman, le style est simple, les phrases courtes sans poésie ni humour et le personnage principal donne une telle impression de froideur qu'on n'a juste pas envie de la connaître plus.
Et puis, tout explose, la famille modèle, les enfants parfaits, le couple du siècle, le métier gratifiant, il ne reste plus rien que l'espoir. L'espoir de se reconstruire, de survivre, de revivre en essayant de comprendre pas à pas les erreurs du passé.
Et tout le monde fait des erreurs, erreur de jugement, erreur de fatigue cumulée, erreur d'appréciation, erreur de timing, erreur d'émotion, erreur d'amour aussi.
Ainsi quand on croit bien se connaître, bien connaître ses enfants, bien connaître son mari et qu'on se laisse porter, sans plus vraiment réfléchir, par une vie menée à du 400 à l'heure pour combiner au mieux son travail, sa famille et son hobby, on finit sur une corde tellement raide que le moindre grain de sable fait tout basculer.
A qui la faute ? Certains diront à la société qui impose des schémas parfois aberrants, d'autres répondront à la mère qui n'était plus disponible pour ses adolescents qui demandent pourtant plus d'écoute que les bébés, d'autres encore penseront au père plus égoïste qui ne se mêle des histoires familiales que si elles sont graves et encore, d'autres enfin diront aux enfants qui ne tiennent aucun compte des règles établies pour leurs rendre la vie plus belle, plus sûre.
A qui la faute alors…, à nous tous qui essayons de nous couler dans un moule sociétal superficiel en oubliant les choses les plus élémentaires de la vie : la tendresse et l'amour, l'écoute vraie et le pardon.

Et on finit par l'aimer, le personnage principal, cette femme médecin généraliste qui a voulu trop bien faire, trop tout bien faire et qui se bat pour finalement devenir quelqu'un de plus fort et de plus humain.
Comme l'auteure est elle-même médecin, on comprend mieux au fil des pages la dure réalité de concilier ce métier si prenant, si émotionnellement puissant et la vie de famille et, plus je tournais les pages, plus je sentais une réelle symbiose entre l'héroïne et l'écrivain qui doit avoir mis beaucoup d'elle-même dans ce premier roman puissant. Bravo !
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« Ma fille » est le premier roman de Jane SHEMILT. A l'image de son héroïne, elle est médecin, mère de famille et mariée à un neurochirurgien.
L'intrigue et situe à Bristol et sa région et tourne autour de la disparition de Naomi, 15 ans, qui un soir après une répétition de théâtre, ne rentre pas à la maison.
Jenny et Ted, ses parents sont dévastés. Ed et Théo, ses deux frères cadets semblent très perturbés. L'enquête de police piétine et la jeune adolescente ne donne aucun signe de vie.
Au fil des mois, Jenny de plus en plus désemparée, décide de mener sa propre enquête. Elle essaie de retracer les derniers jours avant la disparation de sa fille. Elle interroge ses amis, visite les lieux qu'elle a fréquenté, se remémore son apparence et ses humeurs. Elle s'interroge jusqu'à l'obsession.
Elle sera épaulée par Michael, policier de son état et découvrira une vérité à laquelle elle ne s'attendait pas.
L'histoire se déroule sur deux temporalités : avant la disparition de Naomi (2009) et après (2010). Elle nous est présentée du point de vue de Jenny : la mère. le style de l'auteur est fluide, sans chichi mais sans charme particulier non plus. A part Jenny, j'ai trouvé les personnages à peine esquissés, sans épaisseur. le thème principal abordé (connaissons-nous vraiment nos enfants ?) était a priori intéressant mais pas assez fouillé à mon goût.
Pour conclure : « Ma fille » est un petit thriller psychologique sans prétention qui se lit facilement. Je n'ai ni été déçue ni transportée. Je pense que j'oublierais vite cette lecture.
Lu dans le cadre de la LC IlEstBienCeLivre du mois de février.
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"Que savons-nous vraiment de nos enfants ? Jenny est médecin, mariée à un neurochirurgien célèbre. Ensemble, ils ont élevé trois superbes enfants. Un soir, la plus jeune, Naomi, 15 ans, ne rentre pas à la maison. Les recherches lancées à travers tout le pays restent vaines. L'adolescente a disparu. La famille est brisée. Plus d'un an a passé et les pires scénarios envisagés, enlèvement ?, assassinat ?, semblent de moins en moins plausibles. L'enquête s'essouffle… Cependant, Jenny, désespérée et obsessionnelle, n'a pas renoncé. Elle continue à chercher. Elle sent qu'elle ne retrouvera pas sa fille si elle ne sait pas tout de sa vie. Mais faut-il vraiment vouloir tout savoir de ceux qui nous sont le plus proche ? Car les vérités qu'elle va découvrir sont loin d'être celles auxquelles elle s'attendait." 

En lisant le résumé, j'ai directement eu envie de connaître le fin mot de cette histoire. Mais, c'est d'abord la superbe couverture de ce livre qui m'avait attirée, je l'avoue.

Avec ce thriller psychologique, l'auteure nous offre un roman plein de suspense, dans lequel elle joue avec la multitude d'hypothèses et de questions en suspens jusqu'à une fin assez surprenante.

J'ai beaucoup aimé l'écriture de Jane Shemilt ainsi que la construction de son récit.
Elle y alterne en effet deux temporalités et deux lieux différents. L'héroïne, Jenny, mère de l'adolescente disparue, raconte les jours qui ont précédé et suivi la disparition à Bristol fin 2009 mais aussi son quotidien dans le Dorset fin 2010 – début 2011, soit plus d'un an après. Jenny nous confie ses pensées, ses doutes, ses angoisses et ses espoirs, au fur et à mesure de l'enquête, ainsi que des souvenirs en rapport avec la famille.
J'ai apprécié cette structure littéraire, qui permet de mieux appréhender ce qu'a pu ressentir chacun des membres de cette famille à chaque moment de l'enquête.

Je n'ai toutefois pas trouvé les personnages très attachants et je ne suis pas parvenue à éprouver beaucoup d'empathie pour eux. Je trouve que les événements sont abordés avec un certain détachement, un certaine distance, sans doute à l'image de celle que Jenny essaie de prendre.

En bref, j'ai passé réellement un bon moment de lecture avec ce roman, j'avais hâte de connaître le dénouement, mais je n'ai pas éprouvé énormément d'émotions, ni ressenti un véritable coup de coeur.
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Voilà quelques semaines que j'enchaîne les lectures qui ont un thème similaire : la disparition d'un enfant. J'ai commencé avec Ne pars pas sans moi (où il s'agissait d'un enfant en bas-âge, avec une alternance de point de vue et de temporalité), puis Trois jours et une vie (là encore, un enfant plus jeune), et à présent Ma Fille, où une adolescente de 15 ans disparaît du jour au lendemain.
Le récit se décline en deux temps également : dans chaque chapitre, Jenny nous raconte sa perception des événements au moment de la disparition de sa fille, puis un an plus tard. J'ai eu du mal à accrocher à ce mode de narration, car au début, j'ai nettement préféré les passages qui se déroulent dans le passé. Je voulais en apprendre davantage, et le présent n'était composé que de lents états d'âme de Jenny qui m'ont un peu ennuyée. Ces chapitres sont finalement là pour dépeindre toutes les conséquences de la disparition de Naomi sur la vie de la famille.

Jenny est une mère médecin, parfois absente, mais qui surtout ne connaît pas du tout ses enfants. J'ai ressenti un peu de pitié pour elle : on se rend bien compte qu'elle fait tout ce qu'elle peut pour les aider, pour les laisser se construire seuls. Mais ce n'est pas du tout ainsi que ses enfants l'interprètent. Et au fond, sa naïveté et son absence ne font que confirmer une vérité qui s'impose de plus en plus au fil du roman : Jenny ne sait absolument rien de sa fille.
Je n'ai vraiment pas compris comment ce personnage avait pu se laisser aveugler à ce point, et fermer les yeux sur autant de détails au sujet de sa fille : la cigarette, l'alcool, la drogue, le sexe… Et sur ses autres enfants aussi, d'ailleurs.

Des petites perches sont lancées par Ed, le fils aîné, dont l'on ressent toute l'aigreur envers sa mère dans les rares scènes de confrontation. J'ai trouvé dommage que cet aspect du roman ne soit pas approfondi : pourquoi balancer que Jenny ne connaît pas Théo, si ce n'est pas pour expliquer par la suite ?

Le rythme s'accélère environ 100 pages avant la fin, peut-être un peu tard, mais tellement efficacement qu'il en est impossible de lâcher le livre sans en connaître le dénouement.
Ce final m'a étonnée car je ne m'y attendais pas du tout. Il permet de reconsidérer les premiers événements, de les voir sous un autre oeil, et donne même envie de relire quelques scènes pour se demander ce qu'on a manqué. J'ai été stupéfaite par la noirceur d'un personnage en particulier. Je me suis fait manipuler par l'auteure jusqu'à la toute fin, qui m'a d'ailleurs laissée un goût d'inachevé. Là encore, j'aurais aimé avoir davantage d'explications. Pourquoi ?

En conclusion

Ma Fille est un livre surprenant par son dénouement, auquel je ne m'attendais pas. J'ai trouvé l'intrigue lente à se mettre en place et le rythme un peu bancal : après avoir tâtonné pendant 300 pages, tout s'accélère pour le dénouement qui nous tient en haleine. Une lecture surprenante, mais que je n'ai pas pu m'empêcher de comparer à Amelia que j'ai largement préférée.
Lien : https://carnetparisien.wordp..
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> https://booksandrap.wordpress.com/2016/06/21/ma-fille-jane-shemilt/


Avis : Ma fille » est LE thriller dont j'attendais le plus la sortie car le sujet m'intéressait beaucoup. Je remercie encore une fois chaleureusement les éditions du Cherche Midi Éditeur pour l'envoi de cette petite pépite ! J'ai passé un excellent moment.


« Ma fille » raconte l'histoire d'une famille et plus particulièrement du point de vue de la mère : Jenny, qui se voit perdre sa fille. Disparition, enlèvement, meurtre ? Toutes les options sont envisageables et exploitées par la police afin de découvrir ce qui lui est arrivé. Où est passée Naomi, 15 ans, élève d'apparence modèle à qui tout réussissait ? C'est ce que cette mère acharnée a pour but de découvrir.


J'ai adoré ce bouquin. Je pense que je vais avoir du mal à réellement m'exprimer sur ce que j'ai ressenti, et j'espère faire de mon mieux pour vous convaincre de le lire à votre tour et de vous immerger dans cette histoire cauchemardesque.
Je n'ai pas été happée ni absorbée dans le roman durant les 100 premières pages, je dois l'avouer. Mon rythme de lecture ne me permettait pas de dévorer la moitié du roman d'un coup et je pense que c'est ce qui a fait, qu'au début, je n'accrochais pas. Lire 30 pages par-ci, 40 pages par-là pour un thriller, ce n'est pas ce qui est le mieux pour rentrer à fond dans l'intrigue. Bien heureusement j'ai vite remédier à ça héhé. Et je dois dire que ce fût une sorte de révélation. J'ai complètement été scotchée par l'histoire, j'avais envie de connaitre la suite, connaitre tous les vilains secrets que cette famille recelait, je voulais savoir pourquoi et comment Naomi s'était évaporée. En bref, connaître enfin la vérité.


J'ai appris à la fin du bouquin, que c'était le premier roman de l'auteur. Chapeau bas à Jane Shemilt c'est une réelle réussite ! Sa plume est fluide, entraînante, addictive. Les chapitres sont plutôt courts, l'alternance entre la semaine de la disparition de notre adolescente et l'année qui suit ce drame est parfaitement maîtrisée. On ne s'y perd absolument pas. L'auteur distille à la perfection les informations, on apprend au compte-goutte la progression de l'enquête de police et c'est ce qui m'a beaucoup plu : le fait qu'on ait le temps de complètement psychoter et de suspecter tout le monde. J'ai beaucoup aimé le fait que le lecteur soit plongé dans les pensées de Jenny la mère. C'est un personnage complexe, dont je vous parlerais un peu plus bas, soyez patients :p
L'ambiance est tendue et angoissante durant tout le bouquin, ça n'aurait pas pu être autrement vu le sujet difficile du roman : la perte d'un enfant. C'est décrit avec beaucoup de détails, on a aucun mal à imaginer les scènes, ni les émotions.


Parlons enfin des personnages, et je ne parlerais que de Jenny pour ne vous spoiler en rien des rebondissements de l'histoire. Jenny est une mère courage. J'appelle comme ça les mères qui arrivent à garder la tête haute malgré tous les pépins rencontrés sur leur chemin. J'ai aimé le fait que ce soit un personnage complexe, avec des défauts et des blessures. Mais je l'ai aussi détestée pour son comportement trop exigeant envers ses enfants. On ne fait pas des enfants pour exiger d'eux la perfection, il faut les laisser vivre et apprendre de leurs erreurs. Ils ne faut pas qu'ils aient constamment peur de nous décevoir, il faut justement qu'ils s'épanouissent en étant eux-même et non pas en se créant un personnage parfait qui ravira les parents. Mais on fait tous des erreurs, et Jenny en paye assez les pots cassés tout au long de l'histoire. J'ai eu beaucoup de peine pour cette mère qui aime profondément ses enfants. Elle est médecin de métier, ce côté là m'a pas mal plu, elle arrive à gérer les situations compliquées avec calme et retenue sans trop paniquer.


Malgré tout, il y a eu une ombre au tableau. Alors non, je n'avais pas deviné la finalité de cette histoire, mais j'ai été extrêmement déçue par la manière dont l'auteur la clôt. J'espérais autre chose. J'ai toujours détesté les fins ouvertes, et cela n'a pas fait exception. Je n'ai pas eu les réponses à mes questions, je n'ai pas su pourquoi. On n'a aucun réel épilogue, rien n'est vraiment confirmé et ça m'a beaucoup dérangé. Mais l'auteur fait ses choix et on ne peut évidemment rien modifier haha.


Pour conclure, je voudrais vivement vous recommander ce thriller qui occupera toutes vos pensées lorsque vous ne serez pas plongés entre ses lignes… « Ma fille » est un premier roman parfaitement exécuté où se mêle suspense, révélations, mensonges et amour.
Laissez-vous entraîner dans cette histoire et découvrez en même temps que Jenny toutes les vérités que l'auteur a mis en place pour vous. Une très belle découverte et une vraie réussite ! Je conseille !


Pour la note : 17/20.

Lien : https://booksandrap.wordpres..
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Citations et extraits (34) Voir plus Ajouter une citation
– Cesse de dire que tu sais tout des autres. Tu ne sais rien du tout. Ça n’a aucun rapport avec le monde naturel, ajouta-t-il d’une voix plus forte. Il l’exploite, il fait une série de photos provocantes pour attirer l’attention. Elle est trop jeune pour s’en rendre compte, mais toi, tu dois bien le voir.
– Ted, c’est de l’art.
– Je n’en reviens pas que tu brandisses cette excuse bateau. C’est de la pornographie.
– Ce n’est pas de la pornographie, protestai-je, haussant le ton à mon tour. Elle portait un slip, bon sang ; elle a gardé son manteau jusqu’à ce qu’elle soit cachée par les branches.
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Hormis le fait que c'est normal et humain, s'excuser donne aux autres la possibilité de pardonner.
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C’est une chance. Bonne chance, c’est mon jour de chance, un coup de chance, souhaite-moi bonne chance. Un mot bien banal pour décrire les revirements de fortune, la vie qui s’ouvre ou se ferme devant vous, comme des grandes portes claquant au vent. Naomi ne pensait pas qu’elle aurait besoin de chance un jour. Elle se figurait qu’elle était née sous une bonne étoile. Je le croyais aussi ; je croyais que c’était notre cas à tous. Il y a seulement un an, j’étais persuadée que nous avions tout ce que nous pouvions désirer.
C’est difficile de savoir quand au juste les choses ont commencé à changer. Je reviens en arrière, passant en revue chaque étape pour déterminer à quel moment j’aurais pu infléchir le cours du destin. Je peux choisir presque n’importe quel point de ma vie et lui donner une nouvelle direction.
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C’est une chance. Bonne chance, c’est mon jour de chance, un coup de chance, souhaite-moi bonne chance. Un mot bien banal pour décrire les revirements de fortune, la vie qui s’ouvre ou se ferme devant vous, comme des grandes portes claquant au vent. Naomi ne pensait pas qu’elle aurait besoin de chance un jour. Elle se figurait qu’elle était née sous une bonne étoile. Je le croyais aussi ; je croyais que c’était notre cas à tous. Il y a seulement un an, j’étais persuadée que nous avions tout ce que nous pouvions désirer.
C’est difficile de savoir quand au juste les choses ont commencé à changer. Je reviens en arrière, passant en revue chaque étape pour déterminer à quel moment j’aurais pu infléchir le cours du destin. Je peux choisir presque n’importe quel point de ma vie et lui donner une nouvelle direction
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Si les jours s’enchaînaient trop vite, au moins la vie se poursuivait sans heurt. Il suffisait de trouver le bon équilibre. Famille. Mariage. Carrière. Peinture. Si la balance penchait trop d’un côté, si le travail phagocytait le reste, personne ne s’en plaignait. J’avais parfois l’impression que c’était une répétition avant la vraie vie et que, si quelque chose tournait mal, ce n’était pas grave. Un jour, je parviendrais à tout maîtriser. Je serais la mère, l’épouse, le médecin et l’artiste parfaits. Ce n’était qu’une question d’entraînement. Si je me trompais, je n’avais qu’à réessayer.
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