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EAN : 9782081404281
192 pages
Flammarion (18/01/2017)
  Existe en édition audio
3.59/5   487 notes
Résumé :
Et si le grand problème actuel était que toutes les injonctions qui nous sont assénées pour nous calmer ne font que nous mettre une pression plus grande ? Et s'il fallait plutôt se foutre la paix pour commencer à vivre ? Fabrice Midal nous explique comment lâcher prise et se donner l'autorisation d'être soi-même.

Cessez d'obéir - vous êtes intelligent. Cessez d'être calme - soyez en paix. Cessez de vouloir être parfait -acceptez les intempéries. Cesse... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (88) Voir plus Ajouter une critique
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sur 487 notes
Mais quand va t-on enfin nous lâcher avec toutes ces injonctions au bonheur, au nirvanâ, au lâcher-prise, à la grande félicité intérieure, à la béatitude ineffable? A coup de méditation transcendantale, de séances de yoga, de voyages au Tibet, de marche dans le désert, de communication avec le cosmos, de feng-shui ou de spiritisme, chacun nous donne la vraie recette garantie de l'accès à la sagesse infinie, le chemin vers un moi authentique et nettoyé en profondeur.
Le dernier en date se paye le culot de nous balancer que tout ça n'est que foutaises et qu'il faut oublier au plus vite les préceptes des précédents ouvrages. Inutile de se farcir la position du lotus pendant des plombes ni de psalmodier des mantras en respirant de l'encens, c'est mauvais pour les poumons et pour les lombaires. Suffit juste de se la jouer cool et de pas trop se mettre la rate au court-bouillon. Et la méditation, on sait pas trop à quelle sauce la pratiquer, finalement.
Mais jusqu'où iront-ils dans le foutage de gueule? Surtout avec un titre aussi tarte!
Le développement personnel me sort par les yeux, cette vaste arnaque pour gogos qui génère de gros bénefs pour les gourous de tout poil (souvent barbus, les gars) avec produits dérivés en tout genre me fout les glandes. Derrière toutes ces petites ou grandes misères humaines il y a souvent de belles grosses névroses, qui mériteraient une vraie thérapie et non une couche de pommade pour les bobos. Quant aux autres, plus légèrement atteints, qu'ils s'en remettent à des moyens plus classiques, une petite aspirine, une tisane ou quelques bouffées de plantes séchées, et tout ira bien.
Je tiens cependant Fabrice Midal pour un type capable d'écrire de bien meilleurs livres, comme "Pourquoi la poésie? l'héritage d'Orphée", un essai dont j'ai dit le plus grand bien dans une autre critique et que je recommande aux amateurs de poésie. Car la poésie c'est la vérité qui jaillit toute nue de l'inconscient et ne s'accoutre pas des oripeaux du marketing. Elle pousse comme les herbes folles, pauvre comme une bohémienne qui dort sur la paille. Elle ne rapporte pas un kopeck aux éditeurs.
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Je ne suis pas une grande fan de la méditation. Les rares fois où j'ai tenté l'exercice, je n'ai jamais réussi ne serait-ce qu'à me détendre. Il faut dire que rien que l'idée de devoir penser sans cesse à ne pas penser, ça m'épuise. Puis la position en tailleur ne m'est pas habituelle, du coup, j'ai vite mal au dos, au genou ou ailleurs ! Enfin, essayer de respirer, de se tenir droit, de ne pas penser... fichtre, je préfère m'abstenir et me vider l'esprit en lisant un bon bouquin.
Je ne suis pas sure que "Foutez-vous la paix ! et commencez à vivre", le dernier livre de Fabrice Midal, connu comme philosophe et enseignant en méditation, participe de ma définition d'un bon bouquin. En revanche, c'est un ouvrage facilement abordable, qui évoque la vie de tous les jours, et le petites misères que l'on s'inflige soi-même quand elles ne viennent pas des autres, avec pas mal de franchise et de liberté.
Je regrette personnellement la formulation du titre et des chapitres, au format d'injonctions au final contradictoires (la forme impérative a quand même un côté contraignant qui jure à côté du message de se foutre la paix, non ?). J'ai moyennement apprécié le déballage de la vie de l'auteur, qui expose sa propre expérience pour nous démontrer comment il s'est sorti de cet engrenage, en prenant le temps de s'écouter et de constater ce qu'il en était de lui et de son état émotionnel du moment, grâce à la méditation pleine présence (et pas pleine conscience, ne pas confondre SVP !!). du coup, il nous invite à y parvenir, comme lui y est parvenu ; ce qui est quand même un chouïa culpabilisant.
Ceci dit, je me trouve plutôt mauvaise langue : ce livre de F. Midal est, comme je l'ai dit, facile à lire et à appréhender. Ses messages sont relativement simples, et vont, me semble-t-il, dans le bon sens, celui d'un peu plus de bienveillance et de tolérance envers soi. Même si je parais un peu ironique, j'ai apprécié la précision du discours, l'attention portée par exemple à des mots pouvant paraitre proches mais qui sont significativement dissemblables : la pleine conscience vs la pleine présence (l'une procède de la conceptualisation, l'autre de la sensation), être calme vs être en paix (quand l'un se prémunie des émotions, les autres les accepte pour ce qu'elles sont).
Je suis un peu critique sur cet ouvrage car il donne une impression de facilité "à se réconcilier avec soi-même", ce qui, finalement, ne dépend que de nous et de notre capacité à nous foutre la paix. Or, si les problématiques exposées me semblent à la fois pertinentes et bien amenées, il n'y a pas tellement de "solutions" apportées, en dehors d'une exhortation à moins de violence vis-à-vis de soi, et de l'apport que peut avoir la méditation pour certains. Un peu court, me dis-je, si des lecteurs de ce livre se trouvaient en souffrance...
Quoiqu'il en soit, un grand merci à Babelio et aux éditions Flammarion pour cette découverte !
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J'avais repéré ce titre depuis peu… son titre m'interpellait, et puis mardi je n'ai pas pu résister à la tentation, lorsque je l'ai vu à la devanture d'une librairie boulevard Voltaire - j'avais un peu de temps avant de participer à une rencontre Babelio… et bien m'en a pris.

Foutez-vous la paix est un ouvrage assez déroutant. Son titre est volontiers provocateur. Si, comme moi, vous recherchez un ouvrage sur la méditation, vous serez surpris ; Fabrice Midal est avant tout un philosophe. S'il place la méditation au centre de sa « pratique » philosophique son propos est avant tout de nous mettre en garde : le fameux « Foutez-vous la paix » qu'il répète tout au long de son ouvrage vise à nous interpeller, à nous faire douter, à remettre en cause nos certitudes. Se foutre la paix, c'est renoncer , c'est choisir d'être "autrement", de déplacer le curseur de soi vers les autres, c'est donner la préférence à l'être et non pas au faire, c'est renoncer à l'action fébrile.

Foutez-vous la paix est un ouvrage qui n'est pas vraiment facile ; le langage de Fabrice Midal peut surprendre. Deux chapitres :« Cessez de vous torturez, devenez votre meilleur ami », et « Cessez de vous comparer, soyez vous-même » m'ont paru un peu plus abordables… Pour autant, je suis convaincue que cet ouvrage ne va pas me quitter. La dernière page tournée, j'ai envie de reprendre certains chapitres pour les approfondir - et en particulier mieux comprendre la notion de « paix » que développe Fabrice Midal.

Pour moi, Foutez-vous la paix est un ouvrage original, qui défend et développe des idées neuves, c'est une réflexion qui nous enrichit, qui nous donne envie d'avancer. Bien loin du « prêt à penser contemporain», il s'agit d'une redécouverte du sens de la méditation et de la plein présence.

Un petit plus : une bibliographie bien conçue, et même un site internet permettent au lecteur d'aller plus loin.
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Pour être heureux, il faut méditer, ne pas être agressif, ne pas ressentir de la colère, sourire, penser comme les autres, suivre le groupe, consommer, parfois au-dessus de ses moyens et se taire, surtout se taire.

J'ai fait tout ça pendant deux ans et cela ne m'a pas empêché de perdre mon boulot dans un chaos destructeur. Je pense simplement que j'étais tellement dans la retenue de mon être que je transpirais le contraire et mes collègues et cadres n'étaient pas dupes, j'étais le mouton noir.

Fabrice Midal arrive alors dans ma vie avec le titre de son livre qui me fait de l'oeil et il remet les pendules à l'heure (du moins les miennes).

Je n'ai pas envie de posséder un mois d'avance de fringues pour aller bosser, de peinturlurer mes ongles assortis aux fringues, de dire du mal de mes collègues dès qu'elles sortent de mon bureau mais de jurer mon amitié aux mêmes dans la salle de pause, de faire dix pauses café dans la journée, pas envie de leur sourire, et même pas envie de leur parler si je les croise dans la rue. C'est fini !

À bas les injonctions contradictoires, les soi-disant normes de la société, les modèles qui ne nous correspondent pas, l'agitation inutile, le contrôle, la perfection qui ressemble souvent à de la médiocrité puisque forcée et contre nature.

Ce livre fait du bien, il est tout simple, juste du bon sens, mais quand nous sommes pris dans une certaine mouvance, il est difficile d'en sortir sans aide. L'auteur nous aide à déculpabiliser, nous pouvons nous retrouver sans être comme les autres et en ressentir une liberté certaine.
Lien : http://pyrouette.canalblog.c..
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Fabrice Midal Foutez-vous la paix ! Et commencez à vivre
Flammarion /Versilio ( 188 pages- 16, 60€)


Un titre choc pour un livre qui nous invite à cesser de nous gâcher la vie.
Un livre idéal pour se déculpabiliser et y puiser d'autres résolutions.
Fabrice Midal étaye les 15 chapitres en glissant des expériences, personnelles ou pas.
Les citations sont pléthore, celles en exergue de chaque rubrique donnent le ton.

Son but ? Nous recentrer sur l'essentiel. Savoir dire non aux multiples sollicitations, aux injonctions, savoir s'affranchir du carcan des contraintes.
Commencez par «  être son meilleur ami » et non pas son tyran, son bourreau.
Pourquoi vouloir toujours être parfait en tout, jouer au super -héros, être le best?
L'auteur nous encourage à savoir prendre des micro pauses, afin de retrouver notre liberté, notre énergie majeure , afin de doper notre créativité, et de nous éviter le burn out inévitable quand les tensions s'accumulent.

Dans le chapitre 12, intitulé : Cessez d'avoir honte, l'auteur souligne la nuance entre s'aguerrir et s'endurcir. Comme Thomas Andrieu, le héros du roman de Philippe Besson, Fabrice Midal, confie avoir mal vécu sa différence, obligé de la taire dans une famille où l'homosexualité relève d'une maladie. Il met en garde, conseillant de s'aguerrir pour être capable d'aimer, de s'émerveiller , d'espérer et non pas de s'endurcir, comme ceux qui se renferment jusqu'à « manquer la vie ».
L'auteur incite à cesser d'avoir honte, à ne pas rejeter sa vulnérabilité et à vivre « ses émotions avec douceur et humour ».
Le chapitre final s'adresse aux parents à qui on demande de «  cesser de discipliner leurs enfants », de les «  bombarder d'injonctions ». le philosophe ne cache pas son admiration pour le parcours du footballeur Griezmann qui s'est lancé un défi à 14 ans, un choix personnel et non le «  fruit du désir inassouvi de ses parents ».

Pour les émules de Fabrice Midal, les adeptes de la méditation, il faut savoir qu'il organise des séminaires. Dans ce recueil, il décline les nombreux bienfaits que la méditation apporte. «  Méditer, c'est s'oublier pour s'ouvrir au monde ». «  La méditation est une respiration sans consignes ni sanctions », «  un art de vivre ».
«  Rester ouvert et curieux », comme le préconise la pratique de la «  mindfulness, la pleine présence ».
Ce livre extrêmement libérateur et déculpabilisant ne se lit pas d'une traite, le propos demande une relecture parfois, vu sa portée philosophique.

Les notes bibliographiques listent les ouvrages de références de l'auteur, nourri par la poésie ( Dickinson, Eliot), le bouddhisme, l'hypnose, la philosophie.

Fabrice Midal, philosophe et enseignant de la méditation, signe un livre rassérénant, dans lequel chacun peut tirer profit. La bienveillance, un maître mot.
Merci à Babelio pour la découverte de cet ouvrage, qui m'a permis de ne pas stresser en voyant le décompte des jours qui me restaient pour rédiger une chronique.
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Citations et extraits (183) Voir plus Ajouter une citation
L'intuition dont je parle là n'a rien d'ésotérique, ce n'est ni un mystérieux sixième sens, ni un pouvoir réservé à quelques-uns. Elle se révèle quand nous devons prendre une décision immédiate, sans avoir le temps de rassembler les informations rationnellement nécessaires à cette prise de décision. Nous pouvons alors soit hésiter et tergiverser, soit sauter le pas. Mais, contrairement à ce que l'on pourrait croire, nous ne sautons pas dans l'inconnu: nous en savons beaucoup plus que ce que nous pensons savoir. Nous emmagasi- nons en permanence des tas de connaissances acquises par différents canaux qui ne sont pas forcément ceux des transmissions classiques du savoir. Ces données sont en nous, elles ne remontent pas nécessairement à la surface de notre conscience, mais c'est en elles que puise notre intuition pour nous guider. Quand je > que cette issue d'un problème sera heureuse, ou bien qu'au contraire, cette situation va dégénérer, je ne fais pas usage d'une boule de cristal, mais j'analyse en un éclair ces indices et ces informations que j'ignore posséder... et qu'il m'est donc impossible de vérifier.
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Car méditer ne consiste pas à être conscient », mais à toucher un sens de présence avec l'entièreté de son être, avec son corps, avec son cœur, avec ses émotions, comme avec son esprit, en étant ainsi ancré dans le monde. Méditer n'est pas réfléchir, mais sentir. C'est être présent à ce qui se passe, simplement, sans chercher à prendre conscience sans cesse de ce qui se produit. À la manière du cycliste qui tient en équilibre sur son vélo parce qu'il ne se pose pas la question de savoir quel est l'angle idéal pour ne pas basculer d'un côté ou de l'autre; il ne réfléchit pas en conscience, mais il se fait confiance. Il sort de lui-même, il se fout la paix pour adapter, sans y penser, sa manière de pédaler et de tenir le guidon, à la configuration du chemin qu'il suit.
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"Selon les lois de l'aérodynamique, le bourdon ne peut pas voler: le rapport mathématique entre sa tête, trop grande; et ses ailes, trop petites, l'empêche de soutenir son corps en l'air. Mais le bourdon ne le sait pas: c'est pourquoi il vole", s'amusait Igor Sikorsky, un pionnier russo-américain de l'aviation, inventeur de l'hélicoptère, en développant la théorie de ce qu'il nommait "le pouvoir de l'ignorance".
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Nous allons de masque en masque derrière lesquels nous nous dissimulons. Mais quand est-ce que je suis moi ? Quand est-ce que je touche la vie nue, cette chose qu'on ne contrôle pas, qu'on ne décide pas, qu'on ne maîtrise pas, et qui est là, et qui ne peut, au fond, que nous émerveiller ? Prisonnier de toutes mes identités, j'ai l'impression de ne plus être que ma fonction, ma position sociale, ma place dans ma famille. Quand je me fous la paix, je me désapproprie de ces fonctions, je redeviens un être humain, juste un être humain. Et c'est un soulagement extraordinaire...
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"Calme" (...) vient de l'occitan "calma". Ce terme maritime désigne l'absence de vent qui contraignait autrefois les marins à l'inactivité, c'est-à-dire au chômage. Quand la mer est calme il est impossible d'avancer ! Le calme est l'absence de mouvements, l'immobilité statique.
Evidemment que j'aime et apprécie les moments où je me sens en harmonie avec l'ordre du monde, pendant lesquels le temps semble enfin suspendu. (...) Mais je sais aussi qu'un "calme-toi" ne calme jamais quiconque. Ce sentiment dont je veux parler n'est pas une injonction; il nous arrive de surcroît, c'est un don, il se gagne.
Ce sentiment je l'appelle paix. "Paix"(...) est issu de la vieille racine indo-européenne "pehg que l'on retrouve dans le latin "pax" mais surtout dans le verbe "pango" et dans le grec "pégnumi" et qui signifie réparer, ajuster, travailler. La paix implique un effort pour que tout soit rassemblé avec justesse. Soit tout l'inverse du mot "calme". Pacifier n'a donc rien à voir avec calmer. En ce sens la méditation pacifie, mais elle ne calme pas. Heureusement !
Le sentiment de paix ne correspond nullement à l'idéal lisse et parfait véhiculé en Occident depuis l'époque d'Epicure et des Stoïciens, il n'est pas ce calme reposant sur une vision étroite, éteinte, terne et donc fausse de la vie. La paix n'implique pas de se prémunir du tumulte des émotions, de la vie, des vagues et même des roulis; au contraire elle les intègre dans son amplitude. Elle n'est pas bousculée par de petites agressions (...) elle n'est pas l'absence de troubles, mais la capacité d'entre en rapport, avec patience et douceur, avec l'ensemble de la réalité, y compris avec sa propre rage, avec son chagrin dont on reconnaît ainsi l'existence au lieu de les nier. Je n'étouffe pas ce chagrin, je ne l'escamote pas, ce qui serait d'une incroyable violence, je ne le juge pas non plus, mais je suis simplement présent à lui. Je ne me donne pas l'ordre de me calmer. Je me fous la paix ! Je ne rajoute rien à l'expérience que je vis.
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Fabrice Midal vous présente "La théorie du bourgeon", son nouveau livre, disponible en livre audio !
Résumé : Le découragement est le problème majeur de notre temps. Là où nous pourrions avancer, nous baissons les bras. Là où nous pourrions être victorieux, nous partons perdants. On nous a fait croire que nous devions être dans le contrôle permanent, dans l'efficacité absolue. Mais la vie ne se contrôle pas, elle ne se gère pas. Comment inverser le mouvement ? Comment retrouver l'élan pour sortir de la paralysie qui nous guette, pour rejoindre enfin le monde et essayer de le réparer ? Se fondant sur les enseignements de philosophes qui, comme Nietzsche, Bergson ou Hannah Arendt, ont affronté ce péril majeur avec lucidité, Fabrice Midal nous amène à reprendre confiance en nous et en l'humanité. Avec La théorie du bourgeon, il nous apprend à cultiver la vie dans son surgissement, ce bourgeon qui réside en nous et qui ne demande qu'à croître pour donner des fleurs, pour donner des fruits. C'est ce remède anti-découragement que je vous invite à découvrir.
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