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Erika Foster tome 1 sur 5
EAN : 9782714478856
Belfond (25/01/2018)
3.85/5   396 notes
Résumé :
La glace a immortalisé sa jeunesse, sa beauté… et son mystère : qui était vraiment Andrea ? Victime ou manipulatrice ?
Encore marquée par la mort en service de son mari, l’inspectrice en chef Erika Foster découvre son nouveau poste dans un commissariat de Londres. Premier jour, première affaire et non des moindres : le corps d’Andrea Douglas-Brown, fille d’un riche industriel, a été retrouvé dans le lac gelé du Horniman Museum de Forest Hill. Que faisait la ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (143) Voir plus Ajouter une critique
3,85

sur 396 notes
"La fille sous la glace" est le premier tome d'une série policière aux allures de thriller.

Nerveux, rapide, de bonnes répliques, et un tueur en série qui rôde dans les rues de Londres...

Ce qui fait le succès d'une série, c'est son ambiance, mais aussi son personnage principal, et là, Erika Foster, c'est du lourd...

Amaigrie, triste, ne prenant pas soin d'elle depuis que son compagnon (flic également) est décédé sur une mission qu'elle commandait, elle a tout de la battante abattue, et ça les lecteurs , ils aiment ... Personnage riche, qui a autant de flair sur une enquête que Rex et Milou réunis, elle ne lâche rien, elle va jusqu'au bout quitte à y laisser sa peau. C'est pour cela que je parle de thriller, le lecteur a peur pour elle .

Pour l'heure , elle a intégré une brigade criminelle de Londres, et pour fêter son arrivée, rien de mieux qu'un cadavre fraîchement découvert ! Une fille sous la glace... Mais pas n'importe quelle fille, la fille d'un type très haut placé sur l'échiquier politique anglais, une fifille à son papa très riche, du genre qui met des bâtons dans les roues quand on s'approche de trop près d'une vérité qui le dérange.

Et Erika, qui vient des pays de l'est, qui a commencé par être jeune fille au pair, elle n'aime pas quand on fait des différences dans les meurtres. Selon que tu sois riche ou misérable, la police anglaise ne se foulera pas autant pour résoudre ton meurtre. Vous me direz qu'un mort s'en fout, oui, mais pas Erika, c'est ça que j'aime chez elle, elle ne lâche rien .


Je vous laisse, pour me précipiter sur le tome 2, " Oiseau de nuit" , il y en a 5 au total, le dernier n'est pas encore traduit.
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Un grand merci à Babelio et aux éditions Belfond pour m'avoir permis de découvrir "La fille sous la glace" dans le cadre de Masse critique... et quelle découverte !

Nous sommes à Londres, en cette nuit glaciale du 8 janvier, où Andréa, une jeune fille de 23 ans, sort furieuse d'un pub ; elle erre dans les rues de la ville, tentant en vain de calmer sa colère avant de rentrer chez elle, quand elle est soudain abordée en voiture par l'individu avec lequel elle s'est manifestement disputée lors de cette soirée... et c'est le corps sans vie de la jeune fille qui est retrouvé sous la glace d'un lac de canotage, situé dans un quartier de South London. L'autopsie révèle qu'elle a été ligotée, frappée, étranglée et traînée par les cheveux : il s'agit d'un meurtre sans l'ombre d'un doute.

C'est Erika Foster, officier de Police de Manchester, réputée pour ses compétences en affaires de meurtre sensible qui est mise sur l'affaire.
Et justement, cette affaire est particulièrement épineuse : Andréa est la benjamine d'une famille londonienne, riche, respectable, puissante et très influente, les Douglas Brown, dont le père est un homme d'affaires étroitement lié au gouvernement conservateur britannique.
Or, quand on sait qu'en Grande-Bretagne, la classe sociale influe beaucoup sur le traitement des affaires, on imagine bien que l'enquête d'Erika sera semé d'embûches ; d'autant plus que les premières interrogations sont déjà source de gêne pour la famille : que faisait cette jeune fille mondaine dans un pub malfamé et dangereux ?

Malgré sa solide expérience, Erika est malmenée, confrontée à une multitude d'obstacles de taille : surmédiatisation de l'affaire, pression constante de la famille d'Andréa prête à tout pour imposer ses diktats afin de sauver les apparences, corruption du système policier britannique, rivalités professionnelles au sein du Poste de Police, injustice et maltraitance de la part de la hiérarchie, misogynie ambiante, filature et menaces d'un meurtrier prêt à tout pour ne pas être démasqué...

L'enquête se révèle donc être une véritable course d'obstacles haletante, au cours de laquelle Erika devra déployer tout son potentiel pour franchir un à un chaque barrage d'une affaire vraiment très compliquée et assurement très dangereuse. Et on peut dire qu'elle s'en sort avec brio !

On prend effectivement un réel plaisir à suivre Erika tout au long de l'enquête, véritable Miss Marple des temps modernes, et le fait de la découvrir sous tous ses aspects, même les plus intimes, est fort plaisant !
J'ai été très admirative de cette femme hors du commun dotée de nombreuses qualités humaines – courage, intégrité, détermination, instinct très développé, persévérance, générosité, caractère bien trempé, audace, professionnalisme.
On ne peut que ressentir de la compassion dans ses moments de fragilité, de solitude et de doute. La perte récente de son mari, officier de police également, tué lors d'une précédente affaire qui a mal tourné et à laquelle participait également Erika, m'a également beaucoup touchée.

J'ai également été charmée par certains autres personnages du roman : les détectives Moss et Peterson, alliés inconditionnels d'Erika, mais aussi le séduisant médecin légiste Isaac Strong qui, de par leurs valeurs d'intégrité, de confiance, d'affection et de solidarité contrastent avec le monde de brutes dans lequel ils évoluent.

L'écriture fluide et cinématographique de Robert Bryndza rend la lecture passionnante, et le rythme effréné de l'enquête ainsi que le suspens insoutenable m'ont maintenue en haleine jusqu'à la dernière page.


En somme, un très bon thriller au féminin, surprenant du début à la fin et qui, pour moi, réunit tous les ingrédients pour un moment de lecture réussi ! Vivement la suite !
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Voici un polar venu du froid mais pas scandinave pour autant, puisqu'il s'agit en l'occurrence de la neige et de la pluie britanniques. Ce qui n'empêche pas qu'on se les pèle, à Londres, puisque même les étangs ont gelé. Mais bref, fi de ces considérations météorologiques, place au suspense. Ingrédients :
- la victime : Andrea, alias « la fille sous la glace », jeune femme d'une vingtaine d'années, belle, pleine de vie, pleine aux as (merci papa, voir ci-après), est retrouvée morte étranglée sous la surface d'un lac gelé. Appartenant à la fine fleur de la haute société british (son père est Lord et accessoirement riche homme d'affaires) et passant son temps à fréquenter boutiques et bars correspondant à son standing, on découvre qu'elle a cependant passé les dernières heures de sa vie dans l'un des quartiers les plus mal famés de la ville. Que faisait-elle là ? Piégée, enlevée, ou petite fille riche qui cherche à s'encanailler dans les bas-fonds interlopes ?
- l'enquêteur : en fait une enquêtrice, Erika Foster, tout juste arrivée de Manchester après une suspension de plusieurs mois suite à la mort de cinq de ses hommes (dont son mari) au cours d'une opération qu'elle dirigeait. Brillant élément de la police mais fragilisée par ce drame personnel et professionnel, est-elle capable de mener l'enquête ? Parce que, inévitablement, il y a :
- les bâtons dans les roues : vu l'identité de la victime, Erika est soumise à de grosses pressions hiérarchiques, politiques, médiatiques. Sans compter la rivalité avec un de ses collègues masculins, et son manque de confiance en elle après l'épisode tragique de Manchester.
Mélangez tout ça, ajoutez-y fausses pistes, témoins introuvables, caméras de surveillance en panne, vrai-faux suspect, cold cases ressemblant furieusement au meurtre d'Andrea, et pour pimenter le tout, assaisonnez avec l'impulsivité d'Erika qui lui joue quelques méchants tours.
Résultat : je ne suis pas spécialiste du polar, mais j'ai beau chercher, je ne vois pas grand-chose de très original dans cette enquête. L'ambiance est glauque sans être sanglante ou ultra-violente, l'héroïne est sympathique et un peu agaçante à force de jouer cavalier seul, et même si l'identité du coupable n'est pas une grosse surprise, l'ensemble tient bien la route. Rien d'exceptionnel dans la construction ni dans l'écriture, mais le rythme assez soutenu permet de passer quelques heures plaisantes sans prise de tête. Efficace, fluide, prenant, mais pas inoubliable.

Merci aux éditions Belfond et à Babelio pour cette opération Masse Critique privilégiée.
Lien : https://voyagesaufildespages..
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Erika Foster, inspectrice, arrive dans un nouveau poste et cela part sur des chapeaux de roues. Dès qu'elle se présente, elle doit se rendre sur une scène de crime. On a découvert, dans un lac, le corps d'une jeune fille. Elle est la fille d'un riche industriel. Par contre, le quartier où est retrouvé le corps est mal famé.
Qu'allait faire la victime dans ce quartier ?
La famille se préoccupe plus des apparences que du reste. Des secrets de famille vont-ils apparaître ?
La DI Erika Foster est un personnage attachant malgré son fort caractère. Il ne faut pas oublier que lors d'une mission, il y a quelques mois, elle a perdu son mari.
La victime et sa famille, cachent bien des secrets que l'on va découvrir au fur et à mesure de l'enquête.
La victime est-elle une manipulatrice ?
L'enquête va être difficile à mener, la famille faisant obstruction.
Cette affaire est pleine de rebondissements, ce qui fait l'attrait de ce livre, car on ne voit pas les pages se tourner.
Un premier livre de l'auteur dont le DI Erika Foster va devenir un personnage récurrent.
C'est le deuxième livre que je lis de cet auteur et probablement pas le dernier.

Lu dans le cadre du Challenge Polar autour du monde.
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La DCI Erika Foster débarque à Londres pour enquêter sur la mort d'Andrea Douglas-Brown, une « fille à papa » qui avait semble-t-il décidé de se dévergonder dans les quartiers chauds de Londres. L'enquête s'annonce difficile du fait de la position haut placée du père de la victime, Lord Simon Douglas-Brown. Avec cette famille en vue, aux nombreuses relations politiques et qui peut faire et défaire des carrières, il faut faire preuve de discrétion et surtout ne pas faire de vagues. Erika n'a donc pas vraiment les coudées franches pour enquêter sur la vie d'Andrea, sans compter qu'elle arrive dans un nouveau commissariat, avec une nouvelle équipe plus ou moins heureuse de l'accueillir. Car si Erika est reconnue comme une enquêtrice brillante, sa dernière enquête à Manchester l'a mise à bas : elle se sent responsable de la mort de cinq de ses équipiers dont son mari Mark. Fragilisée, Erika saura-t-elle dénouer les fils de cette enquête à haut risque ?

Je l'avoue d'entrée, les premières pages du thriller de Robert Bryndza m'ont laissée quelque peu de marbre. Voici un auteur, me suis-je dit, qui se lance dans son premier polar en usant des bonnes vieilles recettes : une enquêtrice compétente mais à la vie personnelle compliquée, un chef sympa mais qui souhaite rester dans les clous, des collègues plus ou moins accueillants avec l'arrogant de service qui finit par se mordre la queue. Mais ça, c'était la première impression, très vite envolée… Car notre Erika Foster n'a rien à voir avec une autre Erica qui joue les Desperate Housewives dans une station balnéaire suédoise…

Erika Foster est impulsive et tête brulée. Elle est plus du style à agir avant de réfléchir, à suivre son instinct même si tout semble le contredire. Elle n'a plus rien à perdre, son mari est mort, et il ne lui reste que cette obsession : faire éclater la vérité et trouver le meurtrier d'Andrea. Alors que tout se dresse contre elle, elle continue à suivre son idée, déterminée jusqu'au bout. Son combat face aux puissants de ce monde est courageux. Droite dans ses bottes mais totalement brisée, Erika n'est pas du genre à se soumettre à l'establishment, ce qui l'a rend particulièrement touchante. Ses collègues ensuite sont également réussis. Avec Peterson, le beau gosse efficace et discret et Moss, l'équipière au grand coeur et à la grande gueule, le trio fonctionne.

Enfin, le réalisme de l'intrigue nous attire d'un côté dans les quartiers nantis et d'un autre dans les bas-fonds londoniens, autour du trafic des filles de l'est. On sent que ce sujet tient à coeur l'auteur, lui qui vit en Slovaquie et qui a choisi une héroïne d'origine slovaque. Entre triste réalité et polar, Robert Bryndza a trouvé le bon équilibre, servi par une écriture soignée : des chapitres courts et un rythme de plus en plus nerveux à mesure que l'on s'approche du dénouement que je n'ai pas vu venir pour ma part.

« La Fille sous la glace » est apparemment le premier volet de la série. Et ça, c'est une bonne nouvelle !
Merci à Babelio et aux éditions Belfond pour l'envoi de ce livre et cette très bonne découverte !
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Citations et extraits (45) Voir plus Ajouter une citation
Et vous, demanda-t-elle à Peterson, vous êtes quoi ?
- Un policier.
- Bien sûr, mon cher. Mais quel est votre grade ?
- Detective.
- Vous me rappelez quelqu'un, poursuivit-elle. Comment s'appelle cette série, avec un policier noir ?
- Luther, répondit Peterson en dissimulant tant bien que mal sa lassitude.
- C'est cela, Luther. Il est formidable. On ne vous a jamais dit que vous lui ressembliez un peu ?
- Si. En général des gens comme vous.
Erika ne put s'empêcher de sourire.
- Oh, merci ! s'écria la vieille dame qui, manifestement, n'avait pas saisi le second degré dans la remarque de Peterson. (...) Quel est le grade de Luther?
- DCI, je crois. Ecoutez...
- Alors, répondit la vieille dame en flattant le bras de Peterson, s'il y arrive, vous pouvez y arriver aussi.
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C'est toute la question, quand on confie l'éducation de ses enfants aux autres. On emploie des nannies, et on n'est plus qu'un figurant dans la vie des gosses : on les voit avant le bain, une heure par-ci par-là... Et vous, l'enfant, vous devenez un pur ensemble de données : le petit a eu un A en maths, il sait jouer la Lettre à Elise au piano... Et si on lui achetait un poney pour aller avec sa tenue de polo ?...
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- Quittez la partie, sauvez votre carrière. Parfois, il faut accepter de lâcher prise.
- Navrée, Monsieur, c'est non. Trop facile. Cinq femmes sont mortes et leurs assassins s'en tireraient pour la seule raison qu'ils appartiennent à l'Establishment? Et pour quoi? Pour qu'ils puissent faire encore plus de fric? Qu'ils entretiennent leur train de vie confortable?
- Vous allez y laisser votre badge et votre réputation.
- Mon boulot m'a déjà tout enlevé ou presque, Mark. Une vie que j'aimais, dans le Nord, entourée d'amis. Ma maison... Le sens moral est la seule planche de salut qui me reste
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Erika s'éveilla, étranglée par l'angoisse. Elle chercha l'air. Une luminosité surnaturelle et oppressante l'enveloppait. Elle vida ses poumons longuement. Puis elle prit conscience de son environnement en voyant le volant. Elle était assise dans sa voiture. De retour dans le présent. Derrière son pare brise couvert d'une couche de neige fraîche.

Le rêve revenait souvent hanter son sommeil et elle se réveillait toujours au même moment. Quelque fois, la scène se déroulait en noir et blanc et, alors, le sang de Mark ressemblait à du chocolat fondu...
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- Mais vous avez investi quarante-six mille livres. N'est-ce pas un peu beaucoup pour un simple associé passif ?
- Tout est question d'échelle. Pour moi, quarante-six mille livres ne représentent pas une somme énorme. Evidemment, pour vous, avec votre salaire d'officier de police, c'est un montant faramineux.
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Vidéo de Robert Bryndza
La rentrée littéraire d'hiver vue par @Jacques Lindecker 493 romans ont été publiés en janvier/février. Des premiers romans aux têtes d'affiche, suivez le guide pour vous y retrouver. En avant-première la liste des livres présentés :
« Les indésirables », Kiku Hughes, éditions Rue de Sèvres « le smartphone et le balayeur », Emmanuel Guibert, éditions Les Arènes BD
Littérature française « Serge », Yasmina Reza, éd. Flammarion « On était des poissons », Nathalie Kuperman, éditions Flammarion « Les jours voyous », Philippe Mezescaze, éd. du Mercure de France « le dernier enfant », Philippe Besson, éd. Julliard « L'odeur d'un père », Catherine Weinzaepflen, éd. des femmes « Aller aux fraises », Eric Plamondon, éd. Quidam « La brûlure », Christophe Bataille, éd. Grasset « Avant le jour », Madeline Roth, éd. de la fosse aux ours « Les orages », Sylvain Prudhomme, éd. L'arbalète Gallimard « le démon de la colline aux loups », Dimitri Rouchon-Borie, éd. du Tripode « Danse avec la foudre », Jérémy Bracone, éd. de L'Iconoclaste « Des diables et des saints », Jean-Baptiste Andrea, éd. de L'Iconoclaste « Presqu'îles », Yann Lespoux, éd. Agullo « Certains coeurs lâchent pour trois fois rien », Gilles Paris, éd. Flammarion « Un dimanche à Ville-d'Avray » Dominique Barvéris, éd. folio (en poche)
Littérature étrangère (« Ce genre de petites choses », Claire Keegan, éd. Sabine Wespieser) « Jane, un meurtre », Maggie Nelson, éd. du Sous-sol (parution le 4 mars) « Dans la ville provisoire », Bruno Pellegrino, éd. Zoé « Tu auras dû t'en aller », Daniel Kehlmann, éd. Actes sud « C'était le jour des morts », Natalia Sylvester, éd. de L'Aube « Jolies filles », Robert Bryndza, éd. Belfond Noir
Sur les mers « Mauvaise étoile », Christophe Migeon, éd. Paulsen « Tout l'or des braves », Clifford Jackman », éd. Paulsen
Diffusion lundi 22 février 18h30 (durée 40 mn) #colmar #colmarandyou #festivaldulivredecolmar
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