On a l'impression en ouvrant ce livre bien documenté sur la genèse de cette formidable aventure de cet opéra rock « Starmania », que d'autres se sont servi pour écrire les mêmes propos que ses artistes avaient soulignés dans leur propre bouquin au sujet d'une vedette comme
France Gall, dont je me tairais les noms.
L'auteur de ce livre parle aussi de ces disputes du groupe Starmania 79, ensuite celui de 88, mais cela s'arrête là. le journaliste culturel son dernier l'hiver est sur la biographie de la jeune comédienne/chanteuse Louanne, don je n'ai, sachant que je ne m'intéresse pas aux biographies de vedettes récentes. Je ne dis pas ses biographies soient mauvaises, mais pour moi, ce n'est pas génération, ce n'est pas le genre de biographie que je porte dans ma bibliothèque.
Pour revenir à ce livre, j'ai appris à mieux connaître chaque artiste qui travaillât sur Starmania. Nous connaissons tous l'histoire de
Michel Berger,
France Gall, Daniel Balavoine, Fabienne Thibaut… Mais je me suis surtout arrêté sur le témoignage des artistes par rapport aux autres. Si certains ne furent pas tendres dans leur témoignage avec
France Gall, d'autres on veut l'organisation du travail de certains artistes. Diane Dusfrene, n'était pas non plus un exemple de facilité, de même Daniel Balavoine assez mal vu par certains, puis Maurane qui à l'époque fut fragile, elle n'arrivait pas à suivre à cause de sa santé : c'est assez visionnaire du fait que son coeur a lâché. On ne connaît l'endurance de certains artistes qui devait se faire violence. Mauranne absente, Michel anxieux,
France Gall avait un tempérament dur avec les autres, mais aussi avec elle-même ; Daniel Balavoine était sensible etc, etc. Ce qui est intéressant, c'est le travail de la collectivité, comment arriver à développer tous unis dans chacun de leur talent.
Alquier va plus loin, de plusieurs témoignages après la mort du créateur visionnaire,
Michel Berger (pas
Luc Plamondon, il est seulement l'auteur des textes) le Starmania est devenu bordélique, on mélange tous les musiques en accord avec Plamondon, du rock le Starmania passe à la mode disco, puis samba, certes c'est une audace, mais qui n'a plus rien avoir avec les origines de Starmania, un opéra rock…
Le journaliste à fait un excellent travail, poux le meilleur livre sur Starmania