Michel est un loser pathétique, un personnage transparent que toutes le femmes méprisent. Et un beau matin, sans raison apparente, il devient un séducteur irrésistible, tous les regards se tournent vers lui. “Et voilà comment je suis devenu un connard”. C'est une comédie sur l'égoïsme, la lâcheté et tous les affreux petits défauts qui nous menacent lorsque les regards se tournent sur nous. Drôle, bien mené, on retrouve une peu de
Gérard Lauzier dans cet opus. On est loin de l'excellent "Soucoupes" écrit avec Obion, mais j'aime toujours ce que fait
Arnaud le Gouëfflec.
Commenter  J’apprécie         120