J’ai largement préféré ce tome au précédent ! Même si l’histoire de Tokiwa m’a semblé peu importante, ce sont les conséquences de ses actes qui nous intéressent ici : impitoyable, mettant dans l’embarras nos personnages préférés, j’étais énervé. Avant de me rendre compte qu’Onizuka ne faisait rien. Il semble que lui aussi, se soit fait happé par la directrice. Heureusement, ses anciens amis sont là pour le réveiller. Ensuite, on enchaîne les superbes scènes, notamment celle qui suit le refus de la Z-1, double pages crayonnées incroyable ! Le GTO passe enfin à l’action !!!
J’ai aimé en apprendre plus sur Fuyutsuki, son passé, pourquoi elle enseigne... Il y a une scène puissante et très bien mise en scène à la fin du tome. Cette fin qui donne aussi plus d’empathie envers Tokiwa et son terrible drame... On retrouve l’essence du GTO overboosté en mode loufoque, cependant, difficile de voir où tout cela va nous mener.
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Le grand final !! Un max d’action, rien ne va plus. Je l’avoue, ce tome m’a tiré une larme. Face à la tempête, aux larmes de nos héros préférés, on se prend en pleine figure des doubles pages incroyables et les personnages sont sublimés au point de rendre notre visage baigné de larmes.
C’est l’heure du bilan. Ce dernier tome est excellent, pour moi au niveau du 17e. L’histoire se conclut. Mon cœur est serré à l’idée de ne plus me replonger pendant des heures dans cet univers qui m’a fait réfléchir, pleurer, rire et fait voir la vie différemment. GTO ne peut laisser indifférent. Alors, oui, l’humour est parfois lourd, l’auteur est un peu trop concentré sur le sexe et les perversions, mais le message est fort et la fin du manga très bien géré, dans le scénario, la découpe des cases ou les dessins qui claquent telle une moto démarrant au quart de tour.
L’auteur a su me tenir sur les 25 tomes. Le 17e et le 25e tome resteront mes préférés.
Voilà. L’heure de faire ma dernière critique. Je ne pense pas lire les autres aventures d’Onizuka, exception faite du Young GTO. Merci Fujisawa, merci Eikichi. Je vais savourer la vie un peu mieux, le coeur plus léger. Pour finir, une citation de PNL : « La ville est grande, j’veux juste faire un tour, libre comme Onizuka ».
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Le choix moral d’Uchiyamada. Que dire. Drôle et symbolique à la fois, j’hésitai entre rigolade et admiration. Génial. On souffle. Le temps de quelques pages. Puis tout s’accélère, Shibuya passe à l’attaque, Wonderbra perd le contrôle et une terrible nouvelle nous rend malades d’inquiétude. Puis rien ne va plus. Plus qu’un tome.
Un excellent tome.
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Deux parties dans ce tome : la première, hilarante, avec le scène 18 der Onizuka et un plan qui tourne mal, le rendant célèbre dans le monde entier. Cela tournera bien, heureusement et aidera Miyabi à aller mieux. Mais les ennemis vont se servir de leur espionnage pour faire exploser cette dernière au vol. Les origines de l’accident de la 4-4 nous sont enfin révélées. Ce tome est intense, lourd psychologiquement, mais plein d’espoir quand on voit comment ses camarades vont se démener. Le masque tombe pour Shibuya.. De même qu’un autre personnage. Au sens propre... Comment est-ce que se finira cette histoire ?
Ce que l’on peut dire, c’est que le plan de Wonderbra fonctionne bien. Tout le monde est matrixé par les mails de l’ange. 20 ans avant, un ersatz des réseaux sociaux et du cyberharcèlement qui a fait tant de ravages...
Intense et recherché,ce tome fait avancer l'histoire !! Les secrets tombent... Plus que deux tomes !
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Fin de l’arc Tokiwa. Pas sûr que le traitement soit vraiment le plus subtil, mais le contexte de publication de l’œuvre n’aide pas trop à comparer avec les standards et normes sociétales contemporaines. Pas mécontent de quitter l’arc Tokiwa qui ne m’a pas spécialement emballé. Ensuite, le tome n’est que douceur : focus sur Anko et Yoshikawa.. C’est doux, c’était l’été, c’est le développement d’une relation pleine de légèreté entre deux personnages que tout opposait.
La fin du tome m’a donné de l’espoir : cette fois, nous allons nous concentrer sur Miyabi. Un nouvel antagoniste nous est révélé. Les choses sérieuses peuvent commencer...
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On est clairement sur le début d’un arc : nouveaux personnages dans le corps enseignant, nouveaux élèves, beaucoup de changements dans l’établissement du GTO. L’auteur utilise encore la carte de l’élève qui ne vient pas en cours depuis le début de l’année, mais ça fonctionne moins : histoire atypique, mais ça fait redondant et il n’a pas le même charisme que Mayu. Un autre problème, c’est la découverte loufoque d’un nouvel élève qui tombe quelque peu comme un cheveu sur la soupe… Même si GTO est irréaliste, c’est peut-être un peu trop gros.
Les ennuis se succèdent pour Onizuka. Quelques plans intéressant notamment dans sa lutte contre la nouvelle directrice. Les deux se livrent un duel à distance. Mais est-ce qu’Onizuka résistera aux coups bas de ce nouveau personnage ? À voir...
Le tome se clos sur une nouvelle élève qui va être problématique… En bref, on repart pour un nouvel arc. Intensité dans le duel Onizuka, directrice, mais un peu fade et redondant. Un peu peur pour cet arc final.
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Le beau temps contraste avec l’ambiance lourde instaurée dans ce 19e tome de Great Teacher Onizuka. Teshigawara devient fou et une violence malsaine s’empare du récit. Face à cette violence, même Onizuka ne sera pas insensible. Deux scènes très marquantes, celle des coups de feu et l’autre dans l’école. Nous apprenons aussi la vie de Teshigawara, une vie nulle, froide, broyés par la pression sociale de la société japonaise. Les scènes avec la voisine sont touchantes. Difficile aussi de se rendre compte comment la solitude et l’angoisse transforme un être vivant en personne violente, égoïste, manipulatrice totalement déconnectée de notre réalité. Fin de l’arc Teshigawara, moment puissant et prenant, conversation solide entre les deux hommes. C’est peut-être ici que se montre le vrai message de GTO : Onizuka ne sauve pas les gens, ils leur ouvrent les yeux. Puis, c’est à eux de décider s'ils veulent s’en sortir… Ou non.
Bon tome avec son lot d’émotion et d’action comme on aime. La fin du tome réserve une nouvelle surprise... L’arc final s’enclenche !
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Ce tome commence par une action de grande classe d'Uchiyamada, logique au vu de son développement dans les autres tomes , lui aussi, influencé par le GTO. Le tome se scinde en deux : on en apprend plus sur Miyabi, son secret de polichinelle commence à s’effriter sans nous en dire plus. Fujiyoshi est mis à l’honneur. Décidément, Fujisawa arrive bien à développer les relations entre ses collégiens, sans tomber dans l’excès ou dans le pathos.
Le reste de l’histoire se concentre sur Onizuka et la sœur de Azusa , qui se mettent à la recherche de cette dernière. La fin, explosive, promet un tome 19 riche en rebondissements.
Un bon tome, qui n’arrive pas à la hauteur du tome précédent, exceptionnel. On sent la fin arriver : les derniers secrets comment être traités. Un bon tome, dans la lignée des autres, moins impactant.
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