Découvrir

Quand j'ai découvert cette couverture, j'ai été attiré. Cette femme sombre dans un cimetière m'a vraiment intrigué. Et lorsque, j'ai lu le résumé, je me suis dit "il faut que je le lise". Je remercie donc Alexandre Charbonneau pour m'avoir permis de découvrir son roman.

"Léo vient de terminer ses années à l'université, et peut maintenant se la couler douce tout l'hiver, avant de commencer son emploi de prof à la prochaine rentré.

Alors qu'il vient d'emménager dans son appartement, situé à côté d'un cimetière, la situation avec ses amis devient tendue. Alors que les choses continuent à se dégrader, Léo entend des murmures incessants la nuit."

Ah ! Un roman d'horreur de temps en temps ça fait du bien (mon cerveau va très bien). J'ai donc décider de lire mon service presse sachant que j'étais fortement attiré par cette couverture, et que j'avais donc hâte de le commencer.

Mon optique était de lire un ou deux chapitres et de me poser devant une série. Et ben, c'est loupé. Je l'ai dévoré en une soirée. Dès les premières pages, j'ai été happé. Rapidement, le mystère arrive et je me suis posée diverses questions. C'était stressant mais enivrant. L'auteur nous promène, nous faisant douter de tout et de rien à la fois. Les scènes sexuelles, ou non, sont tellement bien décrites qu'on peut ressentir la violence qu'i s'y dégage.

Et lorsque le mystère s'éclaircit et donc que la fin approche, je suis tombé sur le cul. C'est tellement bien ficelé qu'on ne s'en doute pas du tout.

Au niveau des personnages, les personnages sont complexes et bien travaillés.

Léo est mon préféré. Au fil des pages, il m'a attendri par ce qu'il lui arrivait.

Et puis, en autre, il y a Rose, Adam, Jack, Mme Belanger. Chacun à son caractère et un lien avec Léo.

C'est avec grand plaisir que je découvre, pour la seconde fois, un roman d'Alexandre Charbonneau. Sa plume est fluide et enivrante. J'aime comment il joue avec notre psychologie, faisant chauffer notre cerveau.

Pour résumé, ce roman est un coup de coeur. J'ai vraiment aimé ce mélange d'horreur et de fantastique. C'est une très bonne lecture qui m'a fait passer un bon moment.
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Premier roman pour ma part de l'autrice française Maiwenn Alix et ce que l’on peut déjà avancer, c’est que ce livre est un petit bijou graphique ! Une première de couverture qui jure entre le marbre blanc, le doré et le bleu, trois jeunes femmes blondes en costume d’époque et un titre ensanglanté… Voilà déjà qui interpelle ! Mais surtout, la crème de la crème se situe sur la tranche de ce livre qui reprend les codes couleurs énoncés plus haut, sublime. Rien qu’à l’observer, on ne désire qu’une chose, le toucher, le feuilleter et l’exposer chez soi, côté tranche visible bien sûr !

Ce roman young adult narre une uchronie : on y suit l’histoire d’une jeune fille, Gabrielle Lacroix, vivant à notre époque sous le règne de Louis XXI, la révolution de 1789 n’ayant pas aboutit à l’abolition de la royauté. Cette jeune fille, anti-royaliste et au service du réseau républicain, espère secrètement venger son beau-père d’adoption. En effet, à la tête de la plus grosse entreprise d’armement française, influent, riche et démocrate, la Couronne craignait que celui-ci ne devienne une figure réformatrice trop populaire et sous un faux prétexte, le fait emprisonner tout en saisissant l’intégralité de ses biens.

Lorsque Gabrielle apprend qu’elle fera partie de la prochaine émission de téléréalité, Noblesse Oblige, elle y voit enfin un moyen de venger son beau-père déchu et la vie qu’elle n’a pas pu mener. En effet, ce programme offre la possibilité à de jeunes demoiselles du royaume de convoler en justes noces avec des gentilhommes, ce qui lui permettrait de se rapprocher du pouvoir et de servir d’agent pour le réseau républicain.

Même si l’histoire connaît de bons rebondissements et que la lecture prenante, j’ai eu du mal avec certains points de ma lecture.

Une fois entrée au Château de Versailles, tout le livre ne tourne qu’autour de Gabrielle (point de vue interne) et laisse peu la place aux autres candidates du programme, ne lui permettant pas de tisser des liens forts avec d’autres candidates (Agnès et Solange) ou encore de créer une véritable rivalité avec un adversaire de taille. De même, toute la partie sur les cours (leçons d’étiquette, de politique intérieure et internationale ainsi que de surintendance du foyer) que reçoivent les candidates en arrivant au Château de Versailles sont passées sous silence, ce qui crée aussi pour le lecteur ce manque d’attachement pour les autres personnages.

Finalement, le “méchant” cache bien son jeu, ce qui nous surprend ! Ceci étant, j’ai été très surprise de la tournure des événements car je ne pensais pas ouvrir un livre sadomasochiste . D’ailleurs, j’ai été choqué (le mot est faible) par le contenu du livre de ce point de vue, n’ayant pas vu la note de l’éditeur à ce sujet. Je ne m’étais pas préparée à lire les scènes de torture que le Dauphin inflige aux femmes . Selon moi, la note d’avertissement n’était vraiment pas bien située, elle aurait dû au moins figurer en 4ème de couverture. Plus d’un lecteur a dû être surpris, tout en sachant que le livre est en tête de gondole dans les rayons adolescents de certaines librairies, il faut vraiment souligner que le public visé doit être un public averti.

Cette tournure malsaine que prend le livre m’a déplu, je trouvais que ça ne collait pas avec l’histoire et son déroulement, cela en a fait l’intrigue principale, à laquelle on s’accroche et a relégué la quête de l’héroïne en seconde partie. D’ailleurs, quel dommage de ne pas avoir créé plus de suspens et de tension autour du double jeu de Gabrielle, elle n’a jamais été sur le point d’être compromise par la monarchie pour son appartenance du réseau républicain (sauf une fois avec le Dauphin au moment du dîner et encore ce n'était pas bien haletant).Cependant, en tant que lecteur, nous sommes furieux contre le réseau républicain qui laisse Gabrielle à son triste sort . Mais ce fil a bien été exploité me semble-t-il puisque l’on découvre que le réseau projetait, après avoir laissée seule Gabrielle en enfer, d’en faire une martyre pour récolter tous les lauriers.

L’histoire “d’amour” avec Antoine, son garde suisse ne me paraît pas crédible. A mon sens, on sent que les personnages avaient besoin chacun d’une épaule après les terribles découvertes qu’ils effectueront tous les deux mais leur relation aurait gagné à être approfondie ou alors à rester purement amicale. Par ailleurs, je n’imagine pas la douleur pour Antoine de découvrir que [marquer] sa fiancée n’est autre qu’une des filles qui a servi de jouet au Dauphin et qui est malheureusement décédée sous ses coups, le pire étant qu’Antoine ne peut même pas chercher à punir le coupable puisqu'il s’agit du Dauphin en personne .

Je souhaitais voir si ce roman était mieux que “La Sélection” de Kiera Cass mais finalement, je trouve que l’histoire est beaucoup moins prenante (encore une fois, tout tourne à l’action et les relations entre les personnages ne sont pas suffisamment développées, ce qui nous prend sûrement moins aux tripes).

Une lecture divertissante et plaisante mais pas mémorable pour ma part. Si je devais conseiller un lecteur sur quel roman choisir entre “La Sélection” et “Noblesse Oblige”, mon choix se porterait sans hésitation sur “La Sélection”.

Livre de présentation et de règles du jeu de plateau britannique Warhammer Battle, dans une version qui n'a plus cours aujourd'hui. C'est un livre dépassé, mais présentant sommairement assez bien l'univers,ses peuples et son histoire. Cependant, si vous ne comptez pas jouer au jeu, il vous est inutile.

L'intérêt principal de cet ouvrage est qu'il est écrit par une femme entre la fin du 19ᵉ et le début du 20ᵉ, et qui fut reconnue à son époque. C'est aussi une critique de la vie des femmes de la haute société de l'époque. 
Mais les descriptions insipides et incessantes de leurs centres d'intérêts (coupes de cheveux, couleurs de leurs tenues...) deviennent ennuyeuses. Les intrigues pour se faire valoir et s'élever dans la société, également incessantes, deviennent lassantes.
L'aspect historique aurait pu avoir un intérêt s'il y avait quelques développements historiques, politiques, économiques. 
L'aspect humain aurait pu avoir un intérêt, mais les personnages n'ont pas d'attrait et ne sont pas développés dans leur psychologie.

Certes, c'est un avis d'une femme du 21ᵉ siècle qui utilise le 3ᵉ droit imprescriptible du lecteur (selon Daniel Pennac) : le droit de ne pas finir un livre.

Un grand coup de cœur!

Après avoir été percuté par une voiture, un chat de gouttière est recueilli par Satoru, un jeune homme calme et dévoué. Mais cinq ans de vie commune plus tard, Satoru doit malheureusement se séparer de son chat, qu'il a nommé Nana, et cherche à le donner à quelqu'un de confiance. Nous suivons alors leurs nombreux voyages aux quatres coins du Japon, durant lesquels Satoru renoue avec d'anciens amis et Nana découvre le passé de son maître.

Ce roman est très bien construit et très agréable à lire. Chaque rencontre nous apprend de nouveaux souvenirs et nous révèle des pièces du puzzle de la vie de Satoru et de ses amis. Les changements de points de vue se font de manière très fluide et très compréhensible.
C'était vraiment amusant de lire le point de vue du chat. J'ai beaucoup aimé son humour, son incompréhension face aux étrangers comportements des humains, et surtout ses révélations sur le mode de vie des félins!
J'ai été émue par ce choix de raconter la vie d'un homme à travers les yeux de son chat. On n'y pense pas toujours, mais nos animaux domestiques comprennent beaucoup de choses. Quand nous sommes heureux, quand nous sommes tristes, quand nous sommes inquiets. Je suis toujours touchée quand ils restent auprès de nous, même dans les moments les plus difficiles.

Je n'ai pas grand chose à dire sur le fond de ce livre, n'ayant personnellement pas assez de recul historique ou historiographique.
Sur la forme, je trouve que l'ouvrage est une excellente porte d'entrée pour mieux comprendre des événements clés de l'histoire. Certes, le livre n'est pas complet, bien que très épais. L'ajout de cartes appuie bien la portée pédagogique. Mais c'est avant-tout un livre d'ornement pour être honnête.

Bon… malheureusement je crois que ce livre n’était pas du tout fait pour moi. J’avoue qu’il ne m’intéressait pas vraiment, mais comme c’était un livre de développement personnel qui avait été recommandé par Jungkook, j’ai tenté ma chance.

Dès le début, j’ai su que je n’allais pas apprécier ma lecture, mais je me suis forcée à finir. En soi, le livre n’est pas foncièrement mauvais, il n’est juste pas fait pour moi. L’autrice y dit des choses intéressantes, mais à chaque chapitre je me disais "oui, ça je sais" et non "waw, je n’avais pas pensé à ça". Tout était un peu trop simple à mon gout, et la plume était assez banale aussi.

Point positif : il y a pas mal de références à différentes œuvres, coutumes, articles, et j’ai apprécié ça.

Ouvrage captivant, biographie romancée d'un acteur plus discret que d'autres de la seconde guerre mondiale, Félix Kersten, qui devient masseur personnel d'Heinrich Himmler en 1939.
Le récit nous plonge dans une période plusieurs fois explorée et racontée mais il offre une perspective unique à travers les yeux de Kersten qui usera de son influence sur Himmler pour sauver des milliers de victimes du regime nazis. La narration est riche en détails historiques ce qui permet s'immerger dans l'époque mais on imagine que les échanges entre les deux hommes sont le fruit du talent de l'auteur. Au fil des pages qui se tournent les prises de risques augmentent pour le docteur Kersten et laisse le lecteur médusé. On ne peut s'empêcher de se demander comment est-ce possible, comment Kersten a réussi à obtenir de l'un des homme les plus cruels qu'il soit, artisan d'une des périodes les plus sombre de l'histoire, la moindre faveur.

🪢 3 récits entrelacés 🪢

Alicia, Timo et Fridric. 3 histoires, 3 intrigues et 3 points de vue principaux. La première est envoyée dans l’Europe de l’Est , établir un contact en tant qu’ambassadrice des Communautés du Nord auprès des autochtones surnaturels. Le deuxième part à la recherche d’un nouveau mentor, le précédent le lui ayant conseillé. Et enfin le troisième tombe sur un livre pour le moins … déroutant à la bibliothèque. Énigmes, secrets et tests au rendez-vous.

🐻 gare aux garous 🐻

De nouvelles populations font leur apparition, et les intrigues sont rondement menées. Ce titre pourrait à mon avis se lire sans nécessairement avoir lu le tome 1, de rares références y sont faites mais ne pas les avoir n’empêche en rien la bonne compréhension de l’histoire. J’ai aimé cet aspect indépendant du premier tome, et y retrouver en plus de nos protagonistes principaux Isa et Xurio notamment. Ils insufflent une certaine fraîcheur et spontanéité dans ce récit aux tournants parfois attendus à mes yeux.

📖 page turner 📖

Vous cherchez une lecture fluide et entraînante ? Vous êtes au bon endroit! Ravie de retrouver le style impeccable de l’auteur qui nous emmène dans ces 3 intrigues fantastiques de manière agréable. Les dialogues sont parfois piquants pour notre plus grand plaisir et la dimension spirituelle n’est pas en reste ici. Même si je n’ai pas été très emballée par les 3 histoires qui peinent à s’entremêler, il faut reconnaître à l’auteur la capacité à m’avoir tenue alerte jusqu’au bout.

💫 en bref 💫

Une bonne lecture, un deuxième tome qui a sa propre histoire. 3 intrigues différentes. Une lecture fluide et agréable. Du surnaturel, des problématiques actuelles et des personnages bien construits.

Comme souvent lors de mes choix d'achats de littérature jeunesse ce sont d'abord les dessins que je regardent et même si les Loup sont légions dans ce type de récit (Le loup, mini-loup etc....) j'ai craqué ici clairement sur la couverture.

J'ai aimé l'histoire de cet album qui montre que même si l'on est petit (ce que dit souvent mon neveu), on peut faire en sorte de se rassembler pour contrer les plus grands.

Car notre loup est un carnivore qui cherche des proies pour se nourrir mais dans ce récit c'est tel est pris qui croyait prendre et cela jusqu'à la tout fin de l'album.

Les dessins sont très beaux et le nom des personnages assez drôles pour petits et grands comme par exemple avec Babybec.

Le type d'histoire à lire aux enfants avant de dormir ou durant un temps calme.

Attention spoiler !!
Lundi, des patates . mardi, des patates. Mercredi, des patates aussi. Jeudi, des patates , vendredi des patates et samedi : des patates aussi. Et dimanche , jour du seigneur , on mange ... des patates au beurre.
Voilà,c'était le livre.
C'est idiot comme c'est agaçant, et l'inverse aussi d'ailleurs.

Un roman touchant qui fait écho à beaucoup de niveaux... voyage temporel, historique et émotionnel...
J'ai adoré et pris un grand plaisir à découvrir le parcours de son héroïne.
Merci à Isabelle Fontaine d'avoir eu le courage et la pugnacité d'aller au bout de son rêve...
Hâte découvrir ses prochaines œuvres. Bon vent à elle

Ça commence sur une évasion de prison, violente. On se dit : « Ah oui, je suis dans un roman. » et puis on se souvient de l’actualité récente et le cœur serré on sait que ça existe dans la vraie vie. L’écriture addictive nous a déjà « ferré » alors on continue car ce malfrat, il faudra bien que quelqu’un le coince, non ?
Ensuite on fait connaissance avec Éric et Nora, installés avec leur fille près de la montagne Sainte-Victoire où ils tiennent des chambres d’hôtes. Une petite vie tranquille loin du tumulte de la ville. On réalise très vite qu’ils ont eu de l’argent pour acheter ce domaine et que s’ils sont là c’est pour se faire oublier en vivant comme tout le monde. Quelques retours en arrière, bien construits, avec de nombreuses explications, nous aideront à comprendre comment ce couple est arrivé là. Lui, petit magouilleur de base n’a pas fréquenté les bonnes personnes. Très doué, il a été recruté « de force » pour un gros coup. Mais il a été gourmand et ne s’est pas contente de la petite part qu’on lui a donnée. Mais tout ça c’est du passé. Il a su louvoyer, changer de pays, d’identité et devenir un autre, discret, « rangé des voitures »…. Personne ne peut le retrouver. Personne, vraiment ?
Aucune raison pour que l’évadé, qui l’a connu dans une autre vie, vienne se promener vers Aix en Provence. Aucune raison pour qu’une improbable rencontre se fasse… Mais quand Éric apprend par la presse les événements de la prison, il sait qu’il va falloir être vigilant.
Tout pourrait s’arrêter là, chacun chez soi. Mais Philippe Paternolli nous emmène dans un récit captivant. Avec les flash-backs on va découvrir la personnalité d’Éric et de sa compagne, on va connaître leur histoire, leurs choix. Avec le présent, on va suivre leur quotidien et celui d’autres personnages plus ou moins liés à eux.
Suspense, rebondissements, adrénaline au maximum, construction parfaitement mise en place, c’est avec une écriture rapide, alerte, que l’auteur m’a accrochée dès les premières pages. Je suis rentrée dans le milieu du grand banditisme et j’ai cerné toutes les conséquences de ce genre de choix. Ce n’est pas la liberté, c’est être ficelé, surveillé, vivre sur le qui vive permanent, avoir peur, prendre des risques, ne pas avoir une vraie vie de famille, jouer avec sa vie à chaque instant…
J’ai beaucoup apprécié cette lecture. Les scènes sont visuelles, on se croirait dans un film, ça bouge, ça bouscule et on sent que tout peut déraper d’une minute à l’autre. Les dialogues sont vifs, adaptés au rythme du récit. Dans les passages plus calmes, les protagonistes se posent et on sent une réelle réflexion sur les décisions prises ou à prendre.
Je n’ai ressenti aucun temps mort, j’avais sans cesse envie de connaître la suite, de découvrir l’évolution des individus J’appréhendais la conclusion, j’avais peur des clichés, d’avoir tout deviné et finalement, j’ai trouvé la fin dure mais assez réaliste.
NB : les mues : quelle idée originale !

Lien : https://wcassiopee.blogspot...

Un vrai plaisir de retrouver la plume de Sophie Astrabie. Comme à chacun de ses lives, elle nous emmène dans un nouvel univers et une nouvelle histoire. Mais sa finesse d’esprit, son humour et sa sensibilité sont toujours là.
Excellent roman, je recommande

Que dire à propos de ce roman si ce n'est qu'il est bouleversant à tous les niveaux.
Le personnage éponyme est d'une complexité étonnante et magnifiquement bien écrit. Ceux qui l'entourent sont tout aussi complexes et l'histoire qui les lie est envoûtante. À travers les différents chapitres de la vie de Jane Eyre, on comprend d'où viennent sa philosophie, sa manière de penser et sa manière d'observer les gens dans leurs moindres détails en essayant de comprendre ce qui les pousse à faire telle ou telle chose.
Je n'avais aucune attente concernant ce livre mais je l'ai tout simplement adoré et en ai dévoré chaque page. Charlotte Brontë a fait de cette œuvre mon second ouvrage favori.

Lors de l'achat, j'ai été intriguée par la couverture et par le résumé...
Je ne vais pas cacher ma déception lorsque j'ai constaté que le noeud principal de l'histoire allait tourner autour de "la frénésie". Aussi, les scènes s'enchainent trop vite et se resolvent à la hâte. Je n'achèterai pas la suite.

Il ne faut pas se mentir ! On est mal ! Et lire ces 96 pages ne nous rassure pas !

Elisabeth Badinter met en lumière la dénatalité sur notre planète, notamment en Europe des 27 où seuls 8 pays ont un solde naturel positif. Hors Europe, c'est 6 pays sur 15 dans lesquels on enregistre moins de naissance que de décès.

La philosophe nous donne quelques raisons sur ce phénomène et la condition de la femme y est pour beaucoup évidemment. La femme a dû, doit et devra toujours se battre pour une égalité avec l'homme, que ce soit à la maison ou au travail. La faute aux stéréotypes en partie ! Tant que la femme sera assimilée à la Mère. Tant qu'il sera estimé "normal" qu'elle doive sacrifier ses études, sa carrière, son emploi, ses désirs de femme, et effectuer seule les tâches domestiques et l'éducation des enfants... et bien la situation risque de ne pas s'améliorer.

Mais quelles seront les conséquences à long terme ? Et là revient certaines inquiétudes des femmes, leurs droits ne seront-ils pas de nouveau en danger comme par exemple au Etats-Unis avec la loi sur l'IVG ?

"Le décalage d'implication dans le quotidien explique notamment 62 % des femmes souhaiteraient que les choses changent [...], mais à l'extrême opposé 69 % des hommes ne souhaiteraient pas que cela change." Paradoxe : 87 % des hommes interrogés se déclarent prêts à s'impliquer davantage au quotidien pour soulager leur compagne. Mais étrangement, leur capacité d'initiative ménagère ne semble pas inscrits dans leur ADN ! Les hommes veulent bien "aider", mais rarement "partager".

Jean-Claude Kaufmann, sociologue

Bon et bien cela fait bien flipper tout ça, je vais retourner à mes thrillers... :)

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Le commentaire de Lynda :
Caitlin Wahrer nous a concocté un récit qui est construit sur deux époques bien distinctes, chacune ayant son importance pour nous permettre de rassembler les pièces du casse-tête que forme cette intrigue.
Octobre 2015.
Le téléphone sonne chez Julia et Tony Hall, un couple qui vit une existence paisible dans leur grande maison du Maine.
Au bout du fil, Tony apprend que son frère Nick vient d’être admis aux urgences suite à une agression.
Le monde de Tony s’effondre encore plus lorsque l’inspecteur, en charge de l’affaire, lui fait part de ses doutes concernant le témoignage de son frère.
Si Tony est prêt à tout pour sauver son frère, Julia, elle, est prête à tout pour sauver son mari à la dérive.
L’auteure nous propose un scénario bien ficelé, j’ai apprécié la construction, j’ai ressenti un certain essoufflement du récit par moment, je l’explique par mon envie de plus de révélations, de plus de tension lors de certains passages.
La lumière est mise, plus particulièrement, sur quatre personnages, Nick, un jeune homme qui est victime d’une terrible agression, Tony qui est prêt à tout, même au pire, pour que son petit frère aille bien, Julia une compagne qui veut éviter le pire et cet inspecteur, John Rice.
Les interactions entre eux quatre sont intéressantes à suivre, surtout lorsque nous sommes plongés en 2019 lorsque certaines révélations nous sont faite, je vous avoue n’avoir pas du tout anticipé celle-ci.
L’auteure prend son temps, le suspense est bien mené, la tension monte crescendo jusqu’à la fin qui m’a surprise et ravi, je viens de passer un bon moment de lecture.
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La lecture des 5 blessures qui empêchent d'être soi-même ! m'avait laissé sur ma faim. Le dernier paragraphe qui traitait de la solution pour panser les blessures était trop succinct. Ce livre vient compléter le premier ouvrage en détaillant le sujet de l'acceptation.
Il éclaire ce que l'on entend par acceptation, décrypte le comportement lié à l'égo pour se protéger et surtout reconnaître quand l'ego intervient afin de s'en détacher.
Ce livre m'a permis de comprendre mes comportements et ceux des personnes qui m'entourent dans les moments de crise. En revanche, je ne sais pas si la solution de l'acceptation peut totalement guérir les blessures, mais peut au moins les rendre moins vivaces.

Très chouette B.D même si le thème des soins palliatifs peut faire peur et semble peut être déprimant ... mais c'est sans compter sur l'empathie et le professionnalisme de cet infirmier appelé l'homme étoilé, j'aime sa façon de prendre soin, de mettre de la lumière dans les yeux de ses patients. Nous avons tous notre façon bien à nous de prendre soin de nos patients et c'est mieux ainsi chacun apporte des choses différentes tant que c'est du bien être c'est le plus important mais je reste admirative de ce genre de soignants comme cet infirmier qui n'a pas peur de montrer ses sentiments, qui n'a pas peur du regard des autres et qui donne, donne, donne !