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Bonsoir amis et amies ,
Pour tout vous dire , je suis en colère.
Non, irrité.
Non , énervé.
Non , grognon .
Non , chouin - chouin ...
Ah , enfin, certains et certaines me demandent pourquoi ...Ça en a mis du temps...
Bon , je vous le dis , après avoir lu ce livre sorti en poche , intrigué , je l'ai examiné sous toutes les coutures aprés et ...je n'ai rien trouvé , rien , rien de rien . Où sont les éléments qui me disent que ce roman fait suite à d'autres ? Que les personnages principaux sont récurrents, qu'on les a déjà rencontrés , qu'on les connaît ? Là , il y a un vrai problème parce que ce livre , on nous le livre un peu " à l'insu de notre plein gré " et ça me gêne beaucoup , mais vraiment beaucoup ...J'aurais vraiment aimé savoir que c'était le troisième épisode d'une trilogie ... Mais rien , pas un mot , j'ai beau regarder au début, à la fin , rien .... Je trouve ce procédé légèrement, mais très légèrement seulement , malhonnête . Comment ? On peut trouver ce renseignement dans certaines critiques d'amies et amis babeliotes ? Oui , mais moi , je regarde la note globale , je lis le roman , je rédige et je découvre les critiques après.....Sur le livre en poche , rien et c'est la cause de mon ire , de mon courroux ........ Pourquoi ne m'a - t - on rien dit ?
Bon , alors , en l'absence de mon libraire , j'ai jeté mon dévolu sur ce livre que j'ai ...adoré. Ben , oui , les copains et copines, un gros zéro pointé pour la com , mais une excellente note pour ce roman.
Franchement , un seul conseil , lisez le prologue ( non , pas la quatrième, trop racoleuse pour être honnête ) , le PROLOGUE !... Je suis certain que vous allez passer à la caisse ( du magasin ) sans lever le regard vers la caissière, aussi jolie soit - elle , car vous serez ... ailleurs . Bon , ne pas payer , j'ai pas dit ça non plus , vous avez vu le regard du vigile ? Ça démarre fort , ça continue fort , ça finit fort , c'est tout ce que je peux vous dire .Un récit maîtrisé entre un procès d' aujourd'hui pour des événements passés et quels événements....C'est un récit vif , alerte , bien écrit , sans temps mort , avec une héroïne en mauvaise posture , certes , mais ....De l'action , de l'action ...
Une fois plongés dans ce récit , si je puis dire " plongés " ( vous verrez plus tard .. taisez - vous et ....nagez!! ) c'est simple , ça se passe tout seul ...enfin , presque tout seul ...Un conseil , lire ce livre sans savoir nager ...ça ne coule pas de source ....sauf si on reste " cool " ...( oui , là , je reconnais , c'est pas vraiment " nul " .)
Bref , un bon , un très bon moment en perspective . Dommage qu'en ne disant rien des deux précédents romans , avec les mêmes personnages , on nous ait privé(e)s d'éléments intéressants qui freinent notre élan et qu'on nous ait aussi privés de bonnes lectures ...
Si vous voulez apprécier ce très bon roman , chères et chers amis , intéressez- vous aux précédents tomes . Trop de détails freinent notre plaisir dans ce troisième opus . Pourtant , je vous l'assure , c'est du bon , voire du très bon . Hélas, le succès d'un roman ne tient pas qu'à la qualité de son auteur .Ici , il est très , trés bon .. le concepteur de " l'enrobage " très ... tres...je me tais .. vous m'avez compris ....et attendez - vous à une suite ....
Personnellement , je ne reviendrai pas en arrière pour des raisons faciles à imaginer pour un bon lecteur . Je le regrette car trop d'éléments nous manquent . Il est dommage que les honorables personnes qui accompagnent les auteurs ...ne le sachent pas .
Je vous l'avais dit , je suis ronchon .. grognon ....Ça va passer . Lisez dans l'ordre , et...dites - moi . Je pars vers d'autres horizons mais , franchement , Nicolas Feuz , c'est un tout bon ...On en reparlera .
A bientôt. Amitiés...Je vous envoie à toutes et tous un brin de muguet ...du jardin . Plein de bonheur à vous ....et à tous ceux que vous aimez ...
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Bon, c'est après l'avoir lu que j'ai découvert qu'il s'agit du 3ème tome d'une série "Jemsen", personnage central et procureur suisse de son état.

De fait le lecteur entre sans préliminaires dans le vif du sujet, avec une présentation brutale des protagonistes, par ailleurs aux caractères et psychologies subtils ; le style du roman se prête à cette absence d'introduction , et honnêtement ne pas avoir lu les précédents tomes n'interfère pas trop la lecture de celui ci. Vu les rapports entre les personnages, l'on se doute qu'il nous manque quelque-chose mais l'on peut faire avec...

J'aime beaucoup ces romans secs, nerveux, sans fioritures, au style direct et froid, l'équivalent d'un uppercut littéraire quand ils sont bien construits.
Celui ci est particulièrement efficace. " La montagne vomit les deux corps", dès la première page, là l'on se dit que si la suite est du même tonneau, l'on tient de la bonne came polar.

Et le roman tient ses promesses ; une machination époustouflante qui monte et s'épanouit à la toute fin, une pression paroxystique sur chaque protagoniste se ressentant à quasiment chaque page, le vissent littéralement aux mains.

Machiavélique à plusieurs niveaux, précis sur tous les détails, tant pour la trame que pour les personnages principaux froids et déterminés, sans pitié pour quelques autres secondaires plus ou moins innocents et ne méritant pas forcément leur destinée, on achève ce polar avec regrets ; la suite des histoires du procureur Jemsen (tomes 4 et 5 parus) devra viser haut pour encore étonner et enthousiasmer le lecteur.
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Etonnant Nicolas Feuz dans ce polar qui rudoie violemment la perspicacité du lecteur.
Mal grès un début qui peut paraître chaotique voir brouillon, on attrape vite le fil de cette intrigue sans jamais avoir l'occasion de deviner où elle va nous mener tant l'auteur brouille les pistes. On est happé par cette histoire incroyable où il faut patienter jusqu'à l'épilogue pour découvrir le dénouement complet.
La narration enchaîne de courts chapitres qui donnent un rythme de plus en plus effréné au déroulé de cette histoire. le récit est parfaitement construit alternant les épisodes dans le temps et dans l'espace sans que l'auteur ne nous perde. On a l'impression d'être embarqué sur un frêle esquif au milieu des remous d'un torrent.
L'inspectrice Tanja Stojkaj est amenée menottes aux poings à son procès. Elle est accusée d'avoir séquestré quatre hommes dans un moulin souterrain, à la suite de quoi deux d'entre eux auraient trouvé la mort alors qu'elle aurait fait exploser une retenue d'eau, noyant le puit dans lequel ils étaient retenus. Les otages avaient une heure pour découvrir lequel d'entre eux a tué la mère et le fils de la policière. Mais les preuves manquent au procès et les choses ne sont pas aussi évidentes sous la plume de Nicolas Feuz...
« L'engrenage du mal » est une belle réussite qui réunit tous les éléments pour passer un moment intense et inoubliable dans un polar hors norme. C'est un véritable page turner.
Editions Slatkine et Cie, le Livre de Poche, 251 pages.
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Troisième tome des enquêtes du procureur Feuz euh, je veux dire Jemsen, et de sa greffière Keller, on commence fort, en retrouvant un des personnages clef des tomes précédents à son procès en Assises (enfin l'équivalent suisse des Assises). On ne sait pas trop pourquoi mais on comprend vite que c'est très très grave est qu'elle joue sa liberté - sa vie.
Parallèlement, on suit en alternance les chapitres révélant l'enlèvement et la séquestration de quatre hommes qui sont mis en demeure de révéler leur faute façon Jigsaw.
Une très bonne intrigue, bien découpée et au tempo parfait, qui fait frémir. Les personnages manquent un peu de finesse mais l'intrigue bien costaude fait passer tout ça et on est rapidement dans l'interrogation, la recherche du coupable de l'indice, on est sur des charbons ardents.
Un bonne série somme toute.
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J'ai pour habitude de ne jamais trop me fier aux commentaires fait en quatrième de couverture des livres que je m'apprête à lire. Souvent, même, je ne les lis pas du tout. Mais, ici, j'aurais pu. Parce que, s'il est bien quelque chose d'indéniable, c'est que ce roman, c'est « de la très grande horlogerie ». Petit à petit, les pièces s'assemblent, l'engrenage dont il est question ici est parfaitement huilé, et, soudain, le mouvement entier se met en mouvement, sans heurts, sans à-coups.

On l'aura compris, ce tome est moins centré sur le juge Jemsen. C'est vraiment Tanja qui se trouve au centre de cette dramatique intrigue. Et l'on n'est pas déçus : on voit bien qu'elle n'est pas loin de tomber dans le gouffre qui s'ouvre sous ses pas !

On ne peut, d'ailleurs, s'empêcher de plaindre Flavie Keller, que l'on découvre d'ailleurs plus en détails. Et le rapprochement – non sans dangers – entre Norbert Jemsen et le commissaire Dan Garcia est tout à fait jouissif, tellement ces deux personnages qui semblent n'avoir que peu de points communs donnent l'impression d'être patauds dans cette relation professionnelle.

Bref, on se laisse entraîner dans cette histoire dont on ne comprend pas tout de suite les tenants et les aboutissants. Et, même si on peut commencer à deviner une partie de la fin, la lecture est vraiment bien fichue ! Mais je ne dirai rien d'autre, pour ne pas spoiler !

Alors, pour tous ceux qui ont déjà découvert le juge Jemsen, il n'y a évidemment pas à hésiter. Et, pour ceux qui ne le connaîtraient pas encore, eh bien il est temps de vous y mettre !
Lien : https://ogrimoire.com/2020/0..
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"L'engrenage du mal, il est utile d'avoir préalablement lu certains des autres romans pour plus de cohérence et de confort lors de la lecture car N.Feuz fait de nombreuses références aux titres précédents, même si le fond de l'nquête est différent.
Manipulations, enlèvements, meurtres, prostitution sont les thèmes ici abordés pour étayer l'hstoire principale, la peur, la protection physique et mentale ainsi que la vengeance.
Des hauteurs Suisses au fond d'une mine abandonnée, le sort de plusieurs personnes est en jeu et le suspense est à la hauteur des cimes enneigés.
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Après le miroir des âmes et L'ombre du renard, L'engrenage du mal est le troisième roman de la série consacré au procureur neuchâtelois Jemsen.
Tout commence par une bien macabre découverte : deux cadavres sont recrachés par les sources du col des roches. S'ensuit quasi immédiatement une session au tribunal où nous retrouvons Tanja… sur le banc des accusés ! Non, vous n'avez pas raté un épisode, c'est tout simplement que dans ce tome, l'excellent Nicolas Feuz prend l'intrigue à revers. Et c'est au travers de ce procès que nous découvrirons, par un jeu d'alternance passé/présent, les origines de cette séquence judiciaire.
Comme dans les précédents opus, l'auteur maîtrise les codes, langages et procédures (il a été juge et avocat ne l'oublions pas), et en use pour construire une intrigue à la fois subtile et puissante.
On est baladé par l'auteur, passant d'un choc à un autre, les révélations s'enchaînent à un rythme soutenu pour notre plus grand plaisir, aboutissant à un final éclatant.
Attention, même si c'est très bien ficelé, le lecteur qui prendrait par le mauvais bout la série, y perdrait en substance, les personnages se sont construits au fil des trois épisodes et celui-ci en est l'apogée. Les masques tombent, mettant à nu chacun des protagonistes dans ce qu'ils ont de plus fragiles, ou de plus forts.
Un page turner diabolique, passionnant et palpitant.
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J'ai eu grand plaisir à retrouver le procureur Norbert Jensen, sa greffière Flavie Keller et le commissaire Daniel Garcia dans ce troisième volume de la série consacrée au procureur. On retrouve aussi Tanja, mais elle est en bien mauvaise posture : en effet elle revient à la Chaux de Fonds depuis la prison de la Tuilière où elle est en détention préventive afin d'y être jugée. le roman alterne le récit du procès et de l'enquête sur les faits que l'on reproche à la jeune femme. Nous avions laissé le procureur et son équipe dans l'avion qui les ramenait de Corse à la fin du deuxième épisode (L'ombre du renard), et Tanja avait appris qu'une personne âgée avait été assassinée à Lausanne, elle avait compris qu'il s'agissait de sa mère.

A peine rentrée, elle se rend sur place et brise les scellés posés par la police vaudoise car elle est sûre que ses collègues ne lui apprendront rien, elle passe les lieux au luminol grâce à un flacon qu'elle a volé dans les locaux de la police neuchâteloise. Son fils de deux ans a disparu et Tanja est prête à tout pour le retrouver. Elle retourne à Neuchâtel où elle agresse deux collègues qu'elle soupçonne de protéger l'assassin supposé de sa famille.

Lors de son procès, Tanja reconnaît ces petites infractions, mais nie tout le reste qui est nettement plus grave. Elle affirme qu'on lui a tendu un piège et qu'elle est totalement innocente. Dans son réquisitoire, Jensen reconnait que les apparences sont contre elle, mais que s'il s'agit bien d'un piège, il faut reprendre l'enquête.

Je n'en dirai pas plus pour ne pas gâcher le plaisir de la lecture. Comme toujours avec Nicolas Feuz, il y a nombre de rebondissements, le suspense reste constant jusqu'à la fin, impossible à deviner. Les chapitres sont courts et l'alternance du procès et des faits qui l'ont précédé gardent la tension du récit. On ne s'ennuie pas le moins du monde dans ce polar et la fin s'ouvre sur la suite des aventures de cette équipe pas triste du tout. On visite égalament les moulins souterrains du Col des Roches, uniques en Europe. Feuz utilise avec brio les lieux particuliers de la région pour les rendre encore plus incontournables, il excelle comme guide touristique. Ces lieux sont liés à ses intrigues, ainsi hier en faisant du nordic walking au Landeron, j'ai pu me remémorer le début de L'ombre du Renard. le côté régional de ces polars les rend encore plus agréables et intéressants pour les habitants du coin. C'est très plaisant de parcourir New York avec son inspecteur préféré, mais c'est tout autre chose de vivre sur les lieux et de les associer à une fiction qu'on a apprécié, d'imaginer par exemple la statue de David de Pury recouvertes d'entrailles sanguinolentes en prenant le bus !

Le procureur Jensen dit que la grande majorité des Suisses ignore tout du côté sombre de notre pays et on peut supposer que l'auteur, lui-même procureur, parle par sa bouche. Je n'en doute pas une minute, j'espère toutefois que la police et la justice réelles fonctionnent mieux que les policiers et magistrats mis en scène dans ces polars, parce que sinon on a vraiment du souci à se faire et notre pays serait devenu une vraie république bananière. Un nouveau personnage apparaît, un juge vaudois qui doit bien avoir quelque chose à se reprocher puisque son ADN figure dans le fichier des empreintes génétiques.

A la fin de cette intrigue palpitante, on peut se demander si Jensen est un idiot qui se fait embobiner, s'il est incapable d'exercer sa fonction (puisque ses fans savent bien qu'il n'est pas procureur mais prof de géographie) ou si plus grave, il ne serait pas complice des agissements de policiers peu honnêtes. D'ailleurs le commissaire Garcia en prend largement à son aise et ne se contente pas de boire des bières en service, quant à Flavie, elle n'est peut-être pas si innocente et gentille qu'elle en a l'air.

Ce roman palpitant appelle une suite car sa conclusion permet bien des doutes sur l'honnêteté de ses protagonistes, mais nous en saurons plus l'année prochaine. En attendant, je vous encourage vivement à découvrir ce nouvel opus de Nicolas Feuz. Un tout grand merci aux Editions Slatkine de m'avoir permis de le découvrir en avant-première.
Lien : https://patpolar48361071.wor..
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Je mets 5 étoiles à l'auteur, j'en aurai même mis 6 si c'était possible tant il m'a bluffée mais franchement, c'est un zéro pointé pour les éditions Livre de poche. Rien, absolument rien, sur cette édition ne mentionne qu'il s'agit ici du troisième tome d'une quadrilogie; alors même que l'intrigue est clairement imbriquée dans les tomes précédents.
Alors, si ça ne m'a empêchée d'adorer cette lecture et d'être ravie d'enfin découvrir la plume de l'auteur, je me suis spoilé les deux premiers tomes dans les grandes longueurs. Et en plus, vu la tournure que prend ce roman-ci, ce serait presque dommage de lire les autres a posteriori, ce qui n'est vraiment pas sympa pour l'auteur non plus finalement.
Bref,....

Sinon, vous l'aurez compris, côté intrigue, ça en jette. La construction du récit avec des chapitres courts, des allers et retours entre le présent et un passé relativement proche pour donner un éclairage sur ce qui se joue dans une salle de tribunal est diablement efficace. Je ne connaissais pas la plume de Nicolas Feuz et je sens que je pourrais très vite devenir addict.
En plus, le dénouement m'a complètement bluffée, ça faisait longtemps que je n'avais vraiment rien vu venir dans un polar.

Je rappelle juste aux distraits qu'il ne faut pas lire ce roman sans avoir lu les deux tomes précédents.
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En préambule à cette chronique, je dois préciser que L'engrenage du mal est le 3° opus d'une trilogie dont les 2 premiers titres sont : « le miroir des âmes » puis « L'ombre du renard ».
J'avais déjà lu « L'ombre du renard » sans avoir lu le 1° livre de cette trilogie, ce qui n'a pas gêné outre mesure ma découverte… par contre, je vous conseille vivement de découvrir a minima « L'ombre du renard » avant de lire L'engrenage du mal !!
Cette précision énoncée, rentrons dans le livre… et quel démarrage « sur les chapeaux de roues » !
Dès la première page, une montagne commence à vomir des flots de sang puis des cadavres…
« L'engrenage du mal » navigue entre 2 périodes espacées de quelques mois, qui ont cependant suffi à faire basculer Tanja du rôle d'enquêtrice à celui de détenue pour meurtres…
En septembre, elle découvre au hasard d'un entrefilet, dans un journal lu dans l'avion qui la ramène de sa dernière mission en Corse, que sa mère a été assassinée… et son fils de 2 ans est introuvable…
Elle engage alors une course contre la montre, convaincue de connaître les auteurs de ces atrocités…
Et si la réalité dépassait les pires cauchemars… ?
Avez-vous déjà entendu parler de la « touffeur » ou du « voussoiement » ?
Si ces termes vous sont inconnus, c'est que vous n'avez jamais rien lu de Nicolas Feuz 😊
Sa première particularité est d'être citoyen Suisse (d'où un vocabulaire qui peut nous sembler exotique !), la seconde est d'être procureur dans le canton de Neufchâtel, ce qui en fait un excellent conteur d'histoires macabres en tout genre !
Si vous ne connaissez pas encore l'univers de Nicolas Feuz et si le « sanglant » ne vous rebute pas, foncez !
Ses intrigues sont toujours parfaitement réglées au millimètre, bien documentées, et ses personnages suffisamment complexes pour être intéressants.
Une valeur sûre 😊
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