Finalement, las de cette complexité, nous rêvons de cet instant révolu où nous pouvions nous asseoir sur les genoux de notre mère et où chaque baiser était le parfait exaucement de notre désir. Que faire d'autre, sinon rechercher l'étreinte qui contenait à présent le ciel et l'enfer : notre fatal destin, encore, et encore, et toujours.