La jeune fille titilla un nouveau cran, avide de faire cesser le supplice sans pour autant s’y résoudre. A quoi servait de fuir une heure ou deux de cette vie artificielle et inutile? Tôt ou tard, elle serait bien contrainte d’y revenir, de gré ou de force, alors autant essayer d’influer un tant soit peu sur les éléments qu’elle pouvait contrôler, avant qu’ils ne lui échappent.
(Comment meurent les fantômes - Sophie Dabat)